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Ce qui est enfoui
6/10 Très vite happé par l'histoire, j'ai dévoré le premier tiers du roman. Fluide, très prenant et des échos à l'enfant que j'étais au début des années 90 au moment où se déroule l'histoire. Julien Freu a su saisir à merveille cette époque et ce passage, difficile, de l'enfance à l'adolescence. Les personnages sont bien marqués et certains franchement inquiétants. Le tout est nimbé de surnaturel, laissant cependant la porte ouverte à des explications "raisonnables" grâce à la présence, à proximité des lieux de l'intrigue, de cette énigmatique société la "Distoria"... Hélas, à partir de l'année 1992, j'ai beaucoup moins accroché car c'est bien le surnaturel qui prend le dessus et je dois avouer que je n'ai pas été mécontent d'en terminer l'écoute (rien à reprocher en revanche au lecteur Christophe Grégoire).
Un premier roman pétri de qualités mais dont l'orientation fantastico-surnaturel assumée dans la 2nde moitié ne m'a pas plu.27/01/2024 à 08:39 6
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Suspense à la télévision
7/10 Un 7e tome sympathique sans être transcendant. Tout commence par de mystérieuses attaques dans un train entre Bruxelles et Paris puis immersion dans le monde de la télévision avec le nouveau siège de l'ORTF (qui deviendra la Maison de la Radio), récemment sorti de terre. On y croisera le jeune Johnny Halliday (alias Johnny Largo) et le jeune Hervé Villard (alias Lionel) mais aussi les stars de la TV de l'époque : Sacha Distel, Guy Lux, Léon Zitrone et Pierre Tchernia.
En fait, ce tome est davantage intéressant pour l'époque qu'il raconte (le milieu des années 1960) que pour l'intrigue (chantage, menaces de mort, déguisement...).27/01/2024 à 08:15 2
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Piège pour Ric Hochet
8/10 Un Ric télégénique, une tentative de meurtre, un enfant gravement blessé, un zoo privé tenu par un médecin inquiétant, un garagiste au passé délictueux, la rencontre avec Nadine (petite-nièce du commissaire Bourdon) qui va être bien utile à Ric... des ingrédients de qualité pour une intrigue réussie, un très bon Ric Hochet.
21/01/2024 à 18:40 2
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Face d'ange et la conférence
6/10 Rio de Janeiro. Une conférence de l'O.E.A. (Organisation des Etats Américains) se tient, avec sa cohorte de diplomates, spécialistes, traducteurs, secrétaires, journalistes... et bien sûr d'agents secrets. Face d'Ange et son compère Constantin Bassowich, de la C.I.A., sont appelés sur les lieux car un éminent économiste, le professeur Ramon Aguiz, apprécié des deux camps de la Guerre froide, vient d'être assassiné. L'enquête menée par le duo va les conduire sur la piste d'un groupuscule de jeunes révolutionnaires castristes issus de la bourgeoisie sud-américaine. A moins que tout cela soit un coup monté...
Contrairement à ma précédente expérience avec cet auteur et cette série ("Face d'Ange dans le dédale"), j'ai beaucoup plus apprécié ma lecture. L'aspect sexiste est beaucoup moins présent tout comme les remarques racistes. C'est au contraire ce passage que je retiendrai: "Les Etats-Unis, foncièrement racistes, ne sont qu'une fausse solution au grand problème de l'évolution des peuples et de la convergence des races [sic]. Leur assimilation n'est que fragmentaire et leur creuset n'a été capable que de mêler les apports de sang blanc, méditerranéen ou nordique[sic]. Le Brésil, lui, est le seul authentique creuset qui fond et assimile avec puissance et vitalité toutes les races et tous les destins. Le grand relais du siècle à venir, s'il parvient à échapper à la menace d'une économie fragile, c'est le Brésil". Bon, les 50 dernières années n'ont pas (encore ?) donné raison à l'auteur mais j'ai trouvé ce passage intéressant. A part cela, l'intrigue est plutôt plaisante à suivre même si le côté indestructible du duo peut énerver par moments.
En bref, un roman d'espionnage tout à fait honnête de la célèbre collection "espionnage" de Fleuve Noir.21/01/2024 à 13:50 2
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L'Attaque des titans tome 29
7/10 Dans le dernier chapitre du tome précédent, on en apprenait plus sur l'enfance de Sieg Jäger, la raison pour laquelle il avait dénoncé ses parents et ses motivations actuelles. Dans ce 29e tome l'intrigue prend encore des chemins tortueux avec des personnages qui, une fois encore, cachent bien leur jeu et leurs motivations profondes. Mahr va lancer une offensive d'ampleur pour venger Revelio, alors que les luttes intestines eldiennes se poursuivent. Un tome qui renoue avec l'action et notamment les combats entre titans.
20/01/2024 à 17:37 1
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L'Attaque des titans tome 28
6/10 Manipulations, mensonges, pléthore de personnages... Toujours aussi difficile de suivre cette série et de savoir où l'auteur veut en venir... Ça se laisse lire mais j'ai vraiment hâte d'en voir le bout.
20/01/2024 à 15:58 1
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L'ombre du Caméléon
8/10 Ric Hochet arrêté en pleine rue devant ses voisins. Criminel, le jeune journaliste ? Non, il s'agit juste d'une mise en scène pour faciliter sa fausse incarcération dans le cadre d'un reportage sur les prisons françaises. Hélas pour lui, il va recroiser la route du Caméléon...
Le duo d'auteurs (trio si l'on compte Mittéï pour les décors) joue sur plusieurs tableaux : suspense, mystère, énigme, actions...
Un 4e tome réussi, à l'intrigue appréciable et aux rebondissements appréciés. 7.5/10.17/01/2024 à 18:26 2
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Comme si nous étions des fantômes
9/10 Début 1919. La Première Guerre mondiale s'est terminée trois mois plus tôt. Les champs de bataille sont des tombeaux à ciel ouvert, le danger est encore très présent (engins explosifs, gaz...). C'est pourtant là, dans la Somme, que se rend Amy Vanneck, une jeune Anglaise, sur les traces de l'homme qu'elle aime, Edward Haslam. Ce dernier a disparu au mois d'août 1918 dans des circonstances pour le moins intrigantes : est-il mort ? Est-il un fugitif ? Cherche-t-elle un homme ou un cadavre ?
Dans ce roman historique (et dont le côté "polar" ne saute pas aux yeux dans les dizaines de premières pages), Philip Gray nous plonge dans ce monde d'une infinité de gris, sa plume, son style servant à merveille une intrigue poisseuse, de boues et de brume, de fantômes réels ou supposés. La quête d'Amy nous touche tout en nous permettant de saisir (par des analepses) toute l'horreur de cette guerre. Le roman emprunte des chemins peu abordés du conflit, tels le travail des coolies chinois ou encore l'accoutumance des soldats à la drogue (l'opium ici). L'immédiat après-guerre, ses paysages en lambeaux, ses villages en morceaux et les esprits et corps traumatisés (comme les gueules cassées), tout cela est formidablement bien décrit. Philip Gray n'a, pour autant, pas délaissé son intrigue au profit du cadre historique. Il mène son récit à bien, jusqu'à une chute dans les ultimes lignes que l'on peut voir venir mais qui en surprendra plus d'un.e.
Comme si nous étions des fantômes est un premier roman historico-militaro-policier (!) remarquable, une très belle découverte pour ma part et j'émets le souhait de voir Philip Gray se saisir à nouveau de sa plume pour nous raconter d'autres histoires...17/01/2024 à 09:19 11
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Face d'Ange dans le dédale
4/10 Adam Saint-Moore, un pseudo anglo-saxon pour un auteur gersois (Jacques Douyau), des romans à la pelle, notamment dans la collection "Espionnage" de Fleuve Noir à la "grande époque". Une série, plus particulièrement, celle de "Face d'Ange", membre de la CIA.
Alors, ça dit quoi ? Ben ça dit que ça date... Clichés racistes à la pelle (les Africains sont animalisés) et sexistes (toutes les femmes du roman sont sexualisées).
L'intrigue ? Décevante, car le terrain du Soudan du Sud n'a été que peu emprunté par la littérature policière dans sa plus grande acception mais le conflit de la première guerre civile soudanaise (1955-1972) est à peine effleuré, au profit de l'éternelle opposition entre les deux blocs, le camp de la démocratie et le camp des méchants cocos (soviétiques et chinois). On voyage principalement entre les deux Congo. La chute réserve une (petite) surprise, mais pas de quoi s'en réveiller la nuit.
Et le personnage principal, Gunther alias "Face d'Ange" ? Aucun charisme ou presque, un dur-à-cuire sans intérêt, avec son acolyte Costa Bassowich, très porté sur la gente féminine.
Bref, un roman qui a mal vieilli, qui ne présente pas grand intérêt, si ce n'est, à la limite, de faire ses propres recherches sur les guerres civiles qui ont touché le Soudan (et continuent) depuis le milieu des années 50.15/01/2024 à 21:05 3
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L'Opéra maudit
8/10 Des dessins d'une expressivité incroyable, très colorés (presque trop : les Asiatiques sont littéralement jaunes...), une aventure très mystérieuse qui coudoie le surnaturel sans jamais y plonger... Des scènes inquiétantes, un Jérôme Doutandieu (à mon sens davantage héros que Dick Hérisson) qui côtoie la mort de près, sur fond d'opéra maudit, de maestro isolé dans un palais oriental sur une île au large de Nice, de carnaval niçois, d'une prison à la mortalité élevée et d'un trafic morbide...
Et encore une fois de beaux clins d'œil à Tintin et Hergé (comment ne pas voir par exemple la référence à L'Etoile mystérieuse en fin de BD ? ou encore avec la phrase prononcée par le marin "Ca va provoquer un raz de marée du tonnerre de Brest !" une des expressions favorites du Capitaine Haddock...).
Bref un 3e tome très plaisant à suivre, à l'intrigue qui, en soi, ne m'a pas épaté mais c'est bien cette ambiance inquiétante, mystérieuse qui marque le lecteur.14/01/2024 à 12:27 1
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Inavouable
7/10 Cela faisait des années que je l'avais dans ma PAL (précisément depuis une dédicace le 13 octobre 2018 à Toulouse Polars du Sud ^^) et je n'osais m'attaquer à ce gros roman (par sa taille, 640 pages en poche) alors que la 4e de couv' me faisait très envie. Etrange paradoxe mais "mieux vaut tard que jamais".
Je ne m'attendais pas à cela... je pensais que les parties se déroulant pendant la Seconde Guerre mondiale seraient plus nombreuses. Elles n'occupent qu'une portion réduite et laisse la part belle d'abord à l'attentat dans les Tatras (partie de la Pologne que l'auteur a su bien mettre en valeur) puis à la quête du quator un peu baroque composé d'un quasi-retraité des services secrets polonais (Anatol Gmitruk), une cambrioleuse suédoise hors pair (Lisa Tolgfors), la meilleure historienne de l'art de Pologne (Zofia Lorentz) et son ex, un marchand d'art (Karol Boznanski). Leur graal ? Un très célèbre tableau disparu dans le crépuscule de la Seconde Guerre mondiale, Portrait de jeune homme de Raphaël (les parties sur l'histoire de ce tableau et plus généralement sur l'histoire de l'art et des peintres impressionnistes sont fort intéressantes, au passage).
Roman d'aventures, thriller, suspense, espionnage, Zygmunt Miloszewski convie presque tous les genres du polar au sein de ce roman fleuve dont une adaptation en film ou en série serait pertinente tant le style de l'auteur est visuel. Mais je n'ai pas été convaincu par la fin, que j'ai trouvé presque saugrenue. C'est dommage car je trouvais que le regard que portait l'auteur sur la géopolitique mondiale était pertinent.
Inavouable m'aura accompagné pendant une quinzaine de jours aux quatre coins de l'Europe et même aux Etats-Unis (dans le livre, hein !) pour un moment de lecture appréciable dans l'ensemble (j'ai adoré la partie en Suède, vraiment) mais qui m'a un peu laissé sur ma faim.06/01/2024 à 17:28 6
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Les Voleurs d'oreilles
7/10 Toujours charmé par le dessin (et les couleurs !) de Didier Savard, moins par l'intrigue je dois le reconnaître. Des meurtres en série à Arles depuis plusieurs mois, une similitude pour tous : les victimes ont toutes eu une oreille tranchée. Très vite un jeune bossu, particulièrement cruel et fils unique d'une riche famille, est montré du doigt par les habitants. Ou plutôt sa préceptrice italienne...
Un opus très beau (comme décrit dans l'avis précédent) mais à l'intrigue un peu convenue (même si les références à la vie et l'œuvre de Van Gogh sont très intéressantes et plus généralement l'ambiance des années 30 est bien rendue).05/01/2024 à 19:34 1
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Chaud Beffroi
Christophe Arleston, Serge Carrère
8/10 Lille. Tonton Loco est chez un ami restaurateur pour "apprendre quelques rudiments de cuisine civilisée". Las, une jeune femme débarque en trombe, poursuivi par deux tueurs. Tonton Loco en tue un des deux pendant que la fuyarde poursuit son chemin. Mais hélas pour Tonton Loco les deux poursuivants étaient... flics ! Le marin risque gros, très gros... C'est pourquoi il appelle à la rescousse Léo Loden.
Faux trafic de drogue, clown tueur, courses-poursuites en roller/skate/trottinette,flics ripoux, baron d'extrême-droite, séquestration de vieillard richissime... on ne s'ennuie pas une seconde dans ce tome 9 que j'ai trouvé particulièrement bon. Et toujours cet humour bien senti. Une belle réussite que cette série décidément.05/01/2024 à 18:45
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Rancune de condamné
4/10 Léopold Lacour est condamné à deux ans de prison. Le témoignage de l'inspecteur de la sûreté Pinson a été décisif. "On se retrouvera, je vous le jure. Attendez que je sorte de là-bas !" fait Lacour à Pinson.
Deux ans passent, Pinson a oublié l'affaire quand il reçoit une lettre dudit Pinson... Le face-à-face aura-il lieu ? Si oui, quel en sera le dénouement ? Le condamné tiendra-t-il parole ?
Bon, une nouvelle très courte, rien de bien sensationnel ni de déplaisant et un brin d'humour noir avec le compte à rebours en fin de texte. Comme souvent avec cet auteur, rien d'inoubliable ni de très marquant...04/01/2024 à 18:44 1
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L'Empereur de Chine
8/10 Lu enfant, j'avais été particulièrement choqué par la cruauté de l'empereur chinois, avec têtes coupées et décapitation...
En ré-ouvrant, plus de 25 ans plus tard, cette BD, j'ai d'abord été frappé par la beauté des dessins, de cette fameuse "ligne claire" que j'apprécie beaucoup. Nombre de dialogues et d'écrits, aussi. Une histoire immersive, où, effectivement, les scènes de cruauté sont présentes mais plus suggérées que montrées.
Une très belle BD qui me donne envie de découvrir les autres titres de la série et, au-delà, les titres de Jacques Martin.04/01/2024 à 10:11 2
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TTX-75 à Berlin
8/10 Loin d'être le premier contact avec la collection espionnage de Fleuve Noir mais premier contact avec cet auteur, Richard Caron.
J'ai tout de suite adhéré au ton décontracté, direct du narrateur (roman à la première personne). TTX-75 est un agent de la CIA, d'origine américaine mais directement "recruté à Paris même". Une grande villa à Saint-Cloud comme pied-à-terre et toujours en vadrouille, pardon en mission.
Pour cette intrigue, direction Berlin (Est comme Ouest), en pleine guerre froide. L'objectif ? Faire passer un météorologiste allemand d'Est en Ouest, le professeur Gunter Brücke. Un "détail" : Brücke est un ancien nazi notoire devenu... un communiste notoire. Autre particularité : le transfert se fera en corbillard. Dernier détail : sur place Brücke exige que sa fille fasse partie du voyage...
Une tension latente est présente tout au long de l'ouvrage et il faut attendre la page 145 (sur 218) pour rencontrer un véritable rebondissement. La tension montant crescendo jusqu'à un final mouvementé. Clairement une bonne pioche à mes yeux dans cette vaste collection aux centaines de titres.02/01/2024 à 21:50 3
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L'Attaque des titans tome 27
7/10 Beaucoup moins d'action et beaucoup plus d'échanges entre les différents protagonistes dans ce 27e tome. On doute de plus en plus d'Eren, est-il devenu fou ? A moins qu'il soit manipulé ?
Le Grand Terrassement se prépare, la guerre totale s'annonce à moins (bien sûr) que l'auteur ait un autre dessein en tête... ?02/01/2024 à 21:23 1
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L'Attaque des titans tome 26
7/10 Les longues scènes de combat sont très réussies et occupent une bonne part de ce 26e tome. Mais alors que l'histoire avance bien, patatras, de nouveau un flashback (dans le chapitre 106 "les mercenaires"). Depuis le début de la série, l'auteur enchaîne ellipses et flashbacks, c'est d'un pénible... Reconnaissons cependant que pour celui-ci il y a un intérêt certain car il éclaire l'attaque du camp Revelio et surtout son efficacité.
01/01/2024 à 17:35 1
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L'Attaque des titans tome 25
7/10 La rétrospective énoncée par Teyber devant un parterre de chefs d'État venus du monde entier permet de remettre (un peu) le contexte des intrigues alambiquées. Pendant ce temps Eren échange avec Reiner dans un sous-sol. On sent que ça va péter fort... Et c'est ce qu'il se passe, avec des scènes fortes et dynamiques. De quoi relancer (un peu) mon intérêt même si je suis encore parfois perdu au milieu des nombreux personnages et que j'ai du mal à comprendre où est le bien et le mal (à mes yeux ce dernier est des deux côtés).
01/01/2024 à 17:10 1
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La Mort dans l'art
8/10 Lorsque j'ai ouvert ce "Série Noire" (le titre y est d'abord paru en 1986 en France, sous le pseudonyme de Jack Early), je n'en attendais pas grand-chose. Et donc quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un très bon roman, dans le milieu de l'art au sein d'un quartier "néo-bobo" de Manhattan, SoHo.
Le héros, Fortune Fanelli, descendant d'émigrés italiens (comme une bonne partie du quartier) est un ancien flic devenu privé. L'affaire à laquelle il s'attaque n'est pas commune : le corps d'une jeune fille a été exposé, tel un mannequin, dans une vitrine des galeries d'art du quartier qui pullulent depuis une dizaine d'années. Mise en scène morbide, d'autant plus que Fanelli est passé plusieurs fois devant sans s'en rendre compte, comme tous les autres passants.
Et lorsqu'il identifie la défunte, il se heurte à un beau-père glacial qui a tiré un trait sur sa fille, une mère bouleversée qui vit sous le joug tyrannique de son mari, un oncle homosexuel qui veut tout faire pour identifier le tueur et... un jeune frère qui a disparu !
Rythmé, lecture agréable, personnages attachants, j'ai pris un grand plaisir à découvrir ce titre et cette auteure. Si j'ai bien compris, c'est le seul titre de Sandra Scoppettone mettant en scène ce personnage et c'est franchement dommage...01/01/2024 à 10:50 3