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Dans la forêt
7/10 Je plaide aujourd’hui pour que le petit monde que nous représentons découvre les véritables atours de ce roman ainsi que les messages si emplis d’humanité qu’il transporte ....
15/03/2017 à 18:32 6
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Toxique
6/10 On lit « Toxique » comme on enfile un pull-over bien chaud en hiver. La familiarité qui se dégage des acteurs du roman n’a rien de très original mais ce roman est une parenthèse bien écrite, avec un rythme très soutenu. L’auteur est scénariste et cela se ressent à travers ses chapitres courts qui vont à l’essentiel.
04/03/2017 à 07:48 4
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Équateur
7/10 Je suis embarrassée par ce sentiment de légère déception qui m’étreint. Je n’ai pas retrouvé cette empathie si puissante qui m’avais presque étouffée dans « 3000 chevaux vapeur ». Malgré mes efforts je n’ai pas réussi à aimer Pete Ferguson ni aucun autre des personnages.
01/03/2017 à 08:24 6
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Canicule
8/10 Déjà traduit dans plusieurs pays et choix éditorial très judicieux des éditions Kero, ce premier roman a tout d’un grand et assure un avenir serein à une jeune auteure qui verra bientôt son histoire adaptée au cinéma.
25/02/2017 à 06:50 7
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Un cri sous la glace
9/10 Roman polyphonique troublant et captivant, « Un cri sous la glace » est de ces thrillers psychologiques qui ne se font pas oublier une fois achevés.
18/02/2017 à 07:38 3
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Exodes
10/10 J'ai aimé ce roman pour ce qu’il prouve de l’homme, pour l’inhumanité qu’il dégage et la folie du monde perdu qu’il dépeint. A cause des disparités entre nantis et démunis qui s’accroissent, s’amplifient, se démultiplient lorsque la fin du monde approche mais aussi p our tous ces morts-vivants qui s’accrochent à la vie quand elle ne leur réserve que souffrances et violences inouïes.
04/02/2017 à 07:38 6
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Tout n'est pas perdu
9/10 Je craignais un peu que ce genre narratif soit au détriment de l’intérêt des protagonistes mais c’est tout le contraire, justement grâce ou à cause de l’angle d’écriture. Leurs désirs et leurs secrets sont mis à nu, c’est comme une offrande au lecteur.
21/01/2017 à 07:18 3
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Le Bazar des mauvais rêves
9/10 le King traverse les temps comme le commun des mortels traverserait un pont. Il maîtrise le passé, le présent et le futur.
14/01/2017 à 07:22 5
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Aux vents mauvais
9/10 Dans un courant d’air, l’auteure corse a apporté l’émoi qu’un excellent roman noir doit contenir. Elle a fait tomber quelques gouttes de pluie acide sur un gouvernement manipulateur et elle a enveloppé mon âme d’une douce brume, emportant alors qu’elle s’éloignait, quelques unes de mes larmes versées pour son talent.
07/01/2017 à 08:28 5
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Dossier 64
9/10 Sous l’enquête policière, se cache un fond politico-social qui n’est pas sans rappeler certaines inquiétudes sur la montée des mouvements d’extrême-droite. Le sujet sert habilement le récit et l’auteur réussit à parler d’eugénisme et de racisme sans pour autant tomber dans le piège de la dénonciation ordinaire. C’est remarquable d’intelligence et de sensibilité.
31/12/2016 à 08:15 8
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La Prunelle de ses yeux
7/10 Ingrid Desjours, votre récit est pavé de bonnes intentions et j’en ai apprécié le fond. Vous dénoncez certains travers de notre chère patrie et vous y mettez votre cœur et votre sueur. Vous avez gagné mon respect et mon admiration là où d’autres se seraient heurtés à un rempart.
22/12/2016 à 07:47 5
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Le sang du monstre
7/10 « Le sang du monstre », malgré son format réduit, cache de nombreuses et d’importantes questions et passé l’ennui qui pourrait être ressenti, il apporte même quelques réponses. Sauf celle-ci qui est propre à chacun :
Doit-on et peut-on aimer sa mère envers et contre tout ?11/12/2016 à 10:21 3
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Un coeur sombre
9/10 Rares sont les écrivains capables de faire aimer l’archétype du anti-héros mais cet anti-héros là, je l’ai aimé. Je l’ai aimé pour ses faiblesse et ses doutes, pour sa lâcheté et son courage aussi, pour son cœur endurci qui ne demandait qu’à être délivré et pour sa conscience d’être mauvais et de ne, peut-être, rien pouvoir y changer.
03/12/2016 à 07:45 5
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Ne sautez pas !
7/10 L’air de rien, de façon presque naïve avec son écriture fluide et récréative, l’auteur nous livre un joli roman empli de bons sentiments mais certainement pas d’angélisme.
20/11/2016 à 10:58 2
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Le Garçon
9/10 Ce roman est une quête vers l’absolu et vers la beauté. Une allégorie du beau et du laid, du bon et du mal, de la vie et de la mort. L’innocence est perdue par la connaissance et brisée par l’existence, le sexe et la guerre. La grâce est déshonorée par l’homme.
13/11/2016 à 12:05 6
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La Mort nomade
9/10 J’entends le galop des chevaux raisonner dans la plaine et rebondir contre les versants des montagnes et je le vois : Yeruldelgger, fidèle compagnon depuis quelques années déjà. Il a changé depuis notre dernière rencontre : je sens en lui comme une colère contenue et maîtrisée de force. Je le sens vieillis et fatigué de l’Homme, épuisé par la corruption de son beau pays, aimanté par sa culture et ses traditions.
06/11/2016 à 09:39 6
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Le Premier Miracle
8/10 On retrouve le talent de l’auteur, son humour désinvolte, son savoir-faire empathique. On se sent en terrain connu. C’est confortable et familier mais paradoxalement, c’est inattendu et plein de fraîcheur. On retrouve avec plaisir la patte reconnaissable de l’auteur, sa fantaisie sert à merveille ce thriller et ses personnages forcent l’attachement.
30/10/2016 à 07:38 2
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Une Avalanche de conséquences
8/10 Habituée à travailler sur les rapports humains, Elizabeth Georges s’attaque ici à l’éducation qui façonne un être humain dès le plus jeune âge. Les actes et les paroles qui font de nous des adultes, le bon et le mauvais qui remplissent les valises que nous traînons toute notre vie et qui guident nos pas.
22/10/2016 à 08:05 2
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Le Verger de marbre
7/10 J’ai cherché mon chemin à travers les mots de ce roman, n’en comprenant pas la construction. Je me suis égarée dans des transitions brutales, ne saisissant pas les failles temporelles que j’ai trouvées par trop importantes. Je me suis même écartée de la route pendant un long moment, oubliant malgré moi la poésie du texte car trop tourmentée par des chapitres qui se suivaient sans me montrer la voie.
16/10/2016 à 09:54 5
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Lux
9/10 Maud Mayeras concrétise son talent, met sur plateau l’âme primaire de l’Homme, en tire la quintessence même, l’extrait en douceur et en poésie pour la poser délicatement sur quelques feuilles de papier.
08/10/2016 à 08:58 6