La Mort nomade

10 votes

  • 9/10 Très belle fin pour cette passionnante trilogie. Merci Ian Manook pour m'avoir fait découvrir la Mongolie, les Steppes, Oulan-Bator. Les personnages sont superbement écrits et le récit très riche. Yeruldelgger restera dans ma mémoire encore longtemps !

    28/10/2021 à 19:28 newsovski (267 votes, 7.8/10 de moyenne) 3

  • 9/10 le meilleur de la série: Tout y est: le dépaysement, le tragique et un humour qui m'a bcp fait rire.
    Le héros n'est d'ailleurs plus Yerudelger mais plutôt la Mongolie et le désert de Gobi sans oublier l'écologie, la corruption, la politique fric etc. Pas forcément réjouissant d'ailleurs pour l'avenir du monde!

    11/11/2020 à 23:08 eagle4 (816 votes, 7.3/10 de moyenne) 6

  • 9/10 Pour le dernier volet de la trilogie "Yeruldelgger", Ian Manook excelle à nouveau dans l’art du récit et lance son lecteur dans une enquête palpitante avec des personnages tous aussi charismatiques les uns que les autres. On retrouve d’anciennes connaissances telles que Solongo, la légiste et amour précieux et unique de Yeruldelgger malgré les apparences, Zarza, notre flic français préféré d’une efficacité toujours aussi redoutable, et le personnage de Djebe qui prend, ici, une toute autre dimension. Mais il y a surtout, dans cette affaire, la terrible et terrifiante nymphomane qu’est Mme Sue, une « vieille peau » qui fait régner sa loi à coups d’exécutions sommaires ou de coïts quasi bestiaux et qui nous confirme que politique et sexe sont clairement liés de nos jours. En prime, une fin émouvante et à la hauteur de ses prédécesseurs.

    01/05/2020 à 18:59 Charliebbtl (128 votes, 7.5/10 de moyenne) 3

  • 7/10 Un troisième épisode réussi et qui se différencie des 2 premiers puisqu'on y croise peu d'anciens personnages. Pas mal d'action également et une intrigue intéressante. Seul le début est un peu tiré par les cheveux puisque Yeruldegger se voit mandaté par des inconnus pour 3 enquêtes en moins de 24H alors qu'il vit en ermite depuis des mois.

    05/10/2019 à 22:11 Grolandrouge (1594 votes, 6.6/10 de moyenne) 3

  • 7/10 J'ai un poil moins accroché que les deux tomes précédents, j'ai trouvé que Ian Manook en faisait un peu trop, avec des traits d'humour omniprésents dans la première partie du récit, à tel point que j'ai trouvé parfois difficile de prendre au sérieux l'intrigue qu'il l'est pourtant : l'exploitation du sous-sol mongol par des grands groupes canadiens et australiens notamment, au détriment de l'écosystème, du mode de vie des nomades, de la société mongole en général, gangrénée par la corruption et l'appât du gain.
    Un pays un peu à l'image de Yeruldelgger, en retrait dans le roman, qui subit et qui n'a que tardivement les ressources pour dire non.

    21/12/2017 à 18:43 LeJugeW (1816 votes, 7.3/10 de moyenne) 6

  • 9/10 Ce 3e (et dernier) tome offre un plaisir égal, et peut être supérieur au 1er. Par le sujet choisi, pillage économique, pillage écologique, pollution, corruption, par le rôle différent du héros Yeruldelgger, plus que jamais défenseur de la tradition, par les rebondissements tragiques, par l'humour ciselé qui surprend au détour d'un dialogue. On se régale toujours des descriptions des mongols et la Mongolie. Un roman réaliste par bien des aspects, notamment la fin qui laisse entrevoir bien peu d'espoir de voir la sagesse et la raison prendre le pas sur la cupidité.

    17/07/2017 à 13:24 Surcouf (411 votes, 7.3/10 de moyenne) 6

  • 9/10 J’entends le galop des chevaux raisonner dans la plaine et rebondir contre les versants des montagnes et je le vois : Yeruldelgger, fidèle compagnon depuis quelques années déjà. Il a changé depuis notre dernière rencontre : je sens en lui comme une colère contenue et maîtrisée de force. Je le sens vieillis et fatigué de l’Homme, épuisé par la corruption de son beau pays, aimanté par sa culture et ses traditions.

    06/11/2016 à 09:39 PoisonIvy (346 votes, 7.7/10 de moyenne) 6

  • 8/10 Peut être le meilleur roman de la série, dans lequel on apprend à nouveau énormément de choses sur la Mongolie et ses habitants. Une histoire à caractère écologique et qui dénonce la corruption de l'élite mongole, en décrivant un avenir plutôt sombre pour le pays (l'auteur sur ce plan ne termine pas sur une note optimiste). Le personnage principal est cependant beaucoup moins présent que dans les deux premiers volumes et semble assister à l'ensemble comme un spectateur usé et désabusé.

    05/11/2016 à 18:06 gamille67 (2432 votes, 7.3/10 de moyenne) 5

  • 9/10 Ce dernier opus de la trilogie Mongole est le plus PLUS des trois : plus d'humour, plus de tragédies, plus d'émotions, plus de venins, plus d'amour, plus de morts.
    Une merveille dans la caractérisation de personnages et dans le message social et politique. Ce dernier opus est comme le dernier verre d'une excellente bouteille de vin : on est triste et frustré d'en avoir terminé mais on a le sourire pour la richesse des saveurs partagées.
    Эрүүл мэндийн төлөө Yeruldelgger !

    06/10/2016 à 13:38 Fredo (1207 votes, 7.9/10 de moyenne) 6

  • 9/10 J’en sors triste de devoir quitter cette Mongolie si attachante et ces personnages qui le sont tout autant. J’en sors également rempli d’émotions et raccordé différemment au monde qui m’entoure. Ian Manook est décidément un auteur unique en son genre.

    30/09/2016 à 06:32 Gruz (299 votes, 7.8/10 de moyenne) 4