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La Divine Surprise
7/10 Le livre, un vrai roman noir à la française (si ça veut dire quelque chose) tient surtout grâce à sont style, pas le plus abouti de ADG mais avec déjà énormément d'inventivité, voire de poésie.
04/01/2018 à 15:52 4
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Prière d'incinérer
6/10 Efficace même si ce n'est pas le plus inspiré des Pronzini que j'ai lus
04/01/2018 à 15:49 1
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Liberté sous condition
6/10 D'accord avec les avis qui précèdent : ça part comme du Thompson, donc du très bon, mais la fin très convenue, et qui plus est optimiste pour du Thompson, flingue un peu la bouquin.
04/04/2017 à 08:05 5
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Le Boucher des Hurlus
8/10 Dans la lignée de tous les bons Amila : du très bon roman populaire, roman sur l'enfance en temps de guerre et une écriture au plus proche de la sensibilité de ces bambins qui ne gardent pas leurs idées dans leur poche.
31/03/2017 à 13:12 5
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Cosmix banditos
5/10 Dans le genre loufoque, ça se lit. Mais c'est peut-être un peu trop loufoque pour moi, c'est à dire qu'il manque tout de même une dimension réaliste qui me semble essentielle dans le polar pour ne pas risquer de verser dans l'artificiel.
21/03/2017 à 07:57 1
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Suzanne et les ringards
7/10 Simple, avec une petite voix mélancolique, regard sans complaisance sur un certain micro-milieu, et twist final. Comme quoi nul besoin de surenchère pour écrire un bon polar. Juste du talent.
07/03/2017 à 11:54 3
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Mémoire en cage
8/10 Sur la forme, Thierry Jonquet, par une construction très habile et la diversité des voix narratives, réussit à nous passionner pour une intrigue a priori très linéaire. Sur le fond, un second tour de force, avec un personnage central handicapé mental, qui évite tous les pièges du sordide et du larmoyant avec cependant un traitement sans concession.
06/03/2017 à 11:44 6
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Nuit de fureur
8/10 Ce livre de Thompson n’a pas l’humour noir de « 1280 pop. », ni la folie de « L’assassin qui est en moi » ou encore la virtuosité narrative de « Hallali ». Mais en nous dessinant une humanité sans issue positive possible et en rendant impossible l’identification à un seul des personnages, c’est sans doute le plus âpre de ses romans.
06/03/2017 à 11:33 5
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La Bête de Troufignac
6/10 Roman noir au style loufoque. Un peu trop peut-être même : on est dans le genre potache. Mais on passe un bon moment avec plein de trouvailles langagière et situationnelle drolatiques.
03/03/2017 à 08:01 3
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Le Fleuve des ténèbres
6/10 Roman d'espionnage avec des espions et des machinations. Le tout s'enchaine assez bien. Le cahier des charges est donc rempli. Mais ça manque sacrément d'âme et de style.
28/02/2017 à 14:51 1
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Le Dernier Baiser
7/10 C'est un livre qui se lit facilement, bien que l'intrigue soit plus compliquée qu'il n'y paraisse. Je ne l'ai cependant pas trouvé exceptionnel car dès les premières pages, j'avais l'impression de lire un Chandler (ce que dit Pouy également de Crumley), mâtiné de Malcolm Lowry, c'est à dire en un peu plus alcoolisé... et avec il est vrai une patte propre à Crumley.
23/02/2017 à 17:08 2
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Une poire pour la soif
7/10 Cet unique roman de James Ross a toutes les qualités d’un bon roman du sud, principalement par son portrait d’une petite communauté de petites gens dont les petits appétits limitent singulièrement la portée de vue. Et, fatalement, ils finiront par s’affronter autour d’un magot, dont on ne dira pas qui l’emmène au paradis. Mais pas de doute, c’est aussi un roman noir…
20/02/2017 à 08:39 6
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Fin de fiesta à Santa Barbara
9/10 Vieux souvenir de lecture. Un excellent souvenir pour un road book qui a quelque chose de The Big Lebowski
17/02/2017 à 13:02 3
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Les Eaux mortes
4/10 J’ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce livre, et d’ailleurs je n’y suis pas entré. J’ai trouvé son style pas maîtrisé (mais c’est son premier livre, donc ça peut se comprendre), lorgnant pour le contenu un peu trop du côté des clichés, avec notamment une bluette qui a singulièrement plombé mon plaisir. A la décharge de Pagan (dont j’avais apprécié Last affair), je venais d’enchainer la lecture de deux chefs d’œuvre de Thompson. Donc forcément, celui qui allait suivre allait essuyer les plâtres…
17/02/2017 à 09:23 2
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Pottsville, 1280 habitants
10/10 Nick Corey est shérif, comme Lou Ford de L’Assassin qui est en moi. Mais là ou Lou est quasi psychopathe, Nick n’est qu’un simple désœuvré. Bon, pour un désœuvré, il s’active tout de même beaucoup, principalement dans le domaine de l’alignement des cadavres. Les deux romans ont des similarités : deux shérifs donc, deux monologues intérieurs et deux séries meurtrières et deux logiques implacables, suivies méticuleusement pas nos deux meurtriers. Mais autant Lou suit la logique d’un malade mental, autant Nick n’applique que la logique d’un pauvre type qui ne sait pas prendre en compte toutes les données d’un problème, ou en tous cas souffrant d’un certain nombre de biais. D’où l’inévitable effet comique qui , de ce fait, est beaucoup plus présent dans 1280 pop. et qui du reste a d'après moi beaucoup gagné avec cette nouvelle traduction.
Deux livres qu’on ne peut s’empêcher de rapprocher sans pour autant donner le sentiment d’une redite. Ils forment un diptyque formidable, indispensable à tout lecteur de roman noir.
14/02/2017 à 11:10 4
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L'Assassin qui est en moi
9/10 Nick Corey est shérif, comme Lou Ford de L’Assassin qui est en moi. Mais là ou Lou est quasi psychopathe, Nick n’est qu’un simple désœuvré. Bon, pour un désœuvré, il s’active tout de même beaucoup, principalement dans le domaine de l’alignement des cadavres. Les deux romans ont des similarités : deux shérifs donc, deux monologues intérieurs et deux séries meurtrières et deux logiques implacables, suivies méticuleusement pas nos deux meurtriers. Mais autant Lou suit la logique d’un malade mental, autant Nick n’applique que la logique d’un pauvre type qui ne sait pas prendre en compte toutes les données d’un problème, ou en tous cas souffrant d’un certain nombre de biais. D’où l’inévitable effet comique qui , de ce fait, est beaucoup plus présent dans 1280 pop.
Deux livres qu’on ne peut s’empêcher de rapprocher sans pour autant donner le sentiment d’une redite. Ils forment un dyptique formidable, indispensable à tout lecteur de roman noir.
14/02/2017 à 11:09 4
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La Baleine scandaleuse
7/10 Même s’il pèse 50 tonnes, le fil qui relie ce polar au roman noir est ténu. Mais cela reste un très bon roman qui a le mérite de changer un peu nos habitudes de lecteurs de polars.
10/02/2017 à 08:24 2
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Dictionnaire des littératures policières, Tome 2 : J-Z
9/10 La base jusqu'à l'an 2000, qui intègre même pas mal d'infos sur le roman d'espionnage. Ensuite, il faut avoir sa propre collection de magazine sur le sujet pour se tenir à jour, les mises à jour ne viendront sans doute jamais, ou alors dans le cadre d'une future nouvelle édition. Mais je ne me séparerai pas de celle-ci qui commence à être annotée un peu partout... Seul bémol pour moi, il manque quelques articles de synthèse comme par exemple une histoire globale de l'édition..
08/02/2017 à 12:53 4
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Dictionnaire des littératures policières, Tome 1 : A-I
9/10 La base jusqu'à l'an 2000, qui intègre même pas mal d'infos sur le roman d'espionnage. Ensuite, il faut avoir sa propre collection de magazine sur le sujet pour se tenir à jour, les mises à jour ne viendront sans doute jamais, ou alors dans le cadre d'une future nouvelle édition. Mais je ne me séparerai pas de celle-ci qui commence à être annotée un peu partout... Seul bémol pour moi, il manque quelques articles de synthèse comme par exemple une histoire globale de l'édition..
08/02/2017 à 12:52 4
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Une brève histoire du roman noir
8/10 Un livre un peu trop court à mon goût, mais un livre de passionné, avec des cris du coeur plus que de véritables analyses, qui réussit tout de même l'essentiel : donner envie de lire les auteurs qui sont abordés.
08/02/2017 à 12:47 4