1867 votes
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La vie est un sale boulot
8/10 Ondo Mba Alex, alias Chicano, est un jeune Gabonais condamné à 7 ans de prison après un braquage à Libreville qui a mal tourné : la victime, un Libanais, est décédée.
Mais surprise ! Chicano est libéré après seulement 4 ans suite à une grâce présidentielle. Y a t-il erreur sur la personne ? Chicano en est persuadé mais ne demande pas son reste car il n'a qu'une seule chose en tête : reconquérir Mira, sa copine d'avant le braquage.
Problème : Mira ne lui a jamais rendu visite en prison. Est-il possible qu'après 4 ans entre quatre murs, la vie, là, dehors, est tant changée ? Ou bien est-ce justement l'inverse ?
Avec sa langue métissée, cet argot gabonais aux expressions toujours aussi imagées et géniales, Janis Otsiémi nous entraîne dans une aventure musclée, au rythme pêchu, sans temps mort (et le livre ne fait que 140 pages), qui lui permet au passage de dresser un portrait croustillant et piquant de Libreville, du Gabon et de ses habitants.
Une recette une nouvelle fois réussie de la part d'un auteur décidément plaisant à lire.30/06/2017 à 19:24 6
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Détective Conan Tome 21
8/10 La très prenante énigme du château commencée dans le tome précédent trouve son dénouement dans celui-ci. La partie dans la tour abandonnée est très réussie.
La deuxième enquête est un flash-back se déroulant dans un avion, une mystère en chambre close un peu particulier. Cela permet de suivre Sinichi Kudo ado. Si le cadre est sympa, l'enquête en elle-même n'est pas transcendante.
Troisième enquête avec l'assassinat de la femme d'un banquier au moment où ce dernier est au téléphone avec elle... dans un commissariat. L'alibi parfait ? Détective Conan veille !
La dernière énigme est à peine ébauchée (quelques pages), avec pour cadre de nouveau une somptueuse maison où le détective Mouri est convié à l'approche d'un mariage pour le moins intrigant. Comme souvent, le tome se termine par l'assassinat d'un des protagonistes. Pour trouver la réponse... direction le tome 22.30/06/2017 à 10:53
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La Voiture de pompiers disparue
7/10 Le schéma est le même que pour le précédent de la série : on débute par une scène très marquante, ici un immeuble qui explose et s'embrase sous les yeux d'un policier en faction.
Puis l'enquête, menée lentement et qui nous emmène jusqu'au Danemark, permet de faire la lumière sur ce qui paraît être un accident de prime abord.
La série est centrée sur Martin Beck mais je trouve celui-ci finalement très en retrait dans ce roman, les flics Gunvald Larsson (le témoin et sauveur de la scène initiale) et le détestable Kollberg étant beaucoup plus présents.
La lecture fut plaisante sans jamais m'ennuyer mais je l'ai trouvé un peu en-dessous de l'excellent Le policier qui rit, roman précédent de la série.25/06/2017 à 13:05 3
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Incendiaire
8/10 Une nouvelle bien sympathique dans laquelle Walt Longmire passe les fêtes de fin d'année dans une maison de retraite en compagnie de son ancien patron, Lucian. Ce vieux Lucian semble avoir perdu la boule... à moins que l'incendie de sa chambre permette de régler quelques vieux cold case...
Une nouvelle très réussie où j'ai découvert le Desert Land Act de 1877 (très instructif, après quelques recherches !)21/06/2017 à 23:39 4
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Les Anges de New York
6/10 Je rejoins complètement l'avis de mkl qui reflète tout à fait mon ressenti. J'ai eu l'impression que l'auteur n'avait su choisir entre l'histoire des Anges de New York et celle de Frank Parish, un flic désabusé et alcoolique comme on en croise souvent dans les romans noirs et qui n'est pas attachant pour un sou.
Après un début plutôt prenant j'ai souvent éprouvé de l'ennui à l'écoute (livre audio) de ce roman d'un auteur visiblement très apprécié parmi les lecteurs de la base. Peut-être une mauvaise pioche pour mon premier roman de l'auteur car, même si c'est loin d'être un mauvais roman, il ne laissera très probablement pas beaucoup de traces dans ma mémoire...21/06/2017 à 18:52 7
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L'Affaire Protheroe
8/10 Voilà enfin une adaptation BD réussie d'un roman d'Agatha Christie ! La BD est réussie, tant par son scénario que ses dessins (les décors m'ont rappelé le téléfilm pourtant tourné après), adossée à une intrigue de la reine du crime particulièrement prenante !
10/06/2017 à 22:06 1
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L'Homme au complet marron
3/10 Au bout de quinze pages, je me suis dit : "mais qu'est-ce que c'est que cette histoire, c'est incompréhensible !". J'ai alors regardé sur Internet, Babelio notamment, les avis d'autres lecteurs pour savoir si c'était moi qui n'était pas assez attentif ou s'il y avait un réel souci avec le scénario. Les avis lus m'ont rassuré, non pas sur la qualité de l'intrigue, mais sur ma perception de celle-ci : c'est effectivement très difficilement compréhensible si l'on n'a pas lu le roman, ce qui est mon cas.
Les dessins de Mohamed El Baïri sont plutôt réussis mais ne sauvent pas une BD où l'on a l'impression qu'il manque des pages tant les ellipses sont nombreuses.10/06/2017 à 11:18 5
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Meurtre en Mésopotamie
7/10 Je n'ai pas lu le roman original d'A. Christie donc il m'est difficile de comparer mais si je m'en tiens à ce que j'ai lu dans cette BD, je trouve celle-ci très réussie. Les auteurs ont su rendre accessible cette intrigue "exotique" qui grouille de personnages. Les dessins, les couleurs sont aussi réussies. Une BD qui m'a furieusement donné envie de découvrir le roman original.
08/06/2017 à 09:08 2
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Léviatemps
6/10 Le Paris de 1900, l'exposition universelle... chic chic chic, voilà qui a l'air appétissant ! Bon, autant le dire tout de suite, j'ai été déçu par ce roman.
La moyenne actuelle (6.4/10 après 45 votes) avait pourtant été une indication mais je m'étais refusé à lire les commentaires, voulant découvrir par moi-même s'il s'agissait d'un roman qui "méritait" une moyenne relativement basse sur PP dans la production de cet auteur dont j'apprécie les romans.
Et mes premières impressions tendaient à infirmer ce constat : le décor est bien planté, on s'attache aux personnages, l'intrigue est accrocheuse, bref 150 premières pages réussies. Et puis... et puis Maxime Chattam se perd, nous perd dans les 200 pages suivantes, avec une intrigue qui n'avance plus ou si peu, noyée dans les éternelles considérations/réflexions chères à l'auteur sur le Mal, servies ici ad nauseam à tel point que je me suis dit "Léviatemps qu'ça s'arrête" (ok, je sors). Et dire qu'à ce moment-là, il me restait encore 200 pages avant de terminer le roman... Autre point qui m'a un peu énervé, c'est le fait qu'il faille attendre près de 350 pages pour véritablement entrer dans cette fameuse Exposition universelle.
Heureusement, l'intrigue est ensuite relancée par une séance de spiritisme et l'étau se resserre ensuite autour de l'assassin. Les scènes finales sont assez marquantes et l'idée de base (expliquant le titre) est ingénieuse.
Au final, une note qui oscille entre "moyen" et "assez bon", avec le sentiment tenace qu'en moins de pages, l'auteur aurait pu nous servir un roman bien plus marquant, tant les ingrédients choisis étaient les bons.03/06/2017 à 15:07 9
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Le Crime du golf
6/10 Je ne suis pas sûr que cette BD reste longtemps dans ma mémoire. Mais ce n'est pas la faute aux dessins de Marc Piskic que j'ai trouvés très bons, tant dans le trait que dans l'angle choisi pour représenter les scènes et les personnages. Les décors sont aussi très réussis, l'immersion dans l'époque est un succès. En revanche l'histoire ne m'a pas passionné, j'imagine qu'il a dû être difficile d'adapter en 46 pages le roman d'A. Christie (que je n'ai pas lu).
03/06/2017 à 14:55 1
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Détective Conan Tome 20
8/10 La "prise d'otage" d'un stade tout entier trouve son épilogue dans ce tome 20. L'affaire suivante qui mêle magie et huis clos dans un chalet à la montagne (décor récurrent chez l'auteur mais ô combien pertinent) est très prenante et réussie. Elle va faire réapparaître de façon très ponctuelle l'énigmatique "Insaisissable Kid".
Avant-dernière énigme du manga, celle mettant en scène l'apparent suicide d'une jeune femme chez sa soeur. Suicide ou... crime parfait ? Conan résoudra une fois de plus une énigme en apparence impossible.
Enfin la dernière intrigue nous entraîne dans un château loin de tout où le temps semble s'être arrêté. Qu'est-ce qui attend donc Conan et ses amis ? Réponse dans le tome 21.01/06/2017 à 22:26
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De Profundis
8/10 De profundis est un roman incomparable, je n'ai jamais lu un "truc" pareil, ni de près, ni de loin !
Si l'auteure utilise la dystopie pour conter un futur peu reluisant (même sacrément déprimant et glauque !), c'est avant tout pour nous parler de notre présent car, sans entrer dans les détails, c'est bien de notre époque et des futurs possibles qu'elle traite, d'une façon qui va du global (extrémisme religieux, pandémie, communautarisme, repli sur soi...) au régional/local (conflit entre Wallons/Flamands...) jusqu'à la famille et à l'intime.
Et cette touche de fantastique qui nous amène quelques siècles en arrière, dans une campagne faussement préservée.
Les personnages sont intrigants, qu'on aime, qu'on n'aime plus, qu'on aime à nouveau... Les deux héroïnes, Roxanne et Stella vont, je pense, rester longtemps dans ma mémoire, leur caractérisation est très réussie.
Franchement le roman est déstabilisant à bien des égards mais force est de constater que je l'ai lu avec avidité mais aussi mélancolie car ce livre est très sombre malgré quelques touches d'espoir.
Emmanuelle Pirotte, un nom à retenir.01/06/2017 à 22:19 10
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Le double qui tue
7/10 Un épisode plaisant à lire, dans lequel un vieil homme alcoolique semble avoir le don d'ubiquité et dézingue des milliardaires à la pelle. Il faudra toute l'intelligence de Ric Hochet aidé du commissaire Bourdon pour comprendre comment il est possible de tuer des personnes quand on est à des milliers de kilomètres des scènes de crime (petit tour par New York, Hong-Kong et Paris dans cet opus). Dénouement intéressant que je n'avais pas vu venir.
31/05/2017 à 10:33 1
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Pourvu que les bouddhistes se trompent
8/10 Un dernier tome qui clôt tout en noirceur cette série géniale dédiée à Polza, ce personnage hors-norme.
Pour profiter pleinement de la qualité de l'intrigue, je pense qu'il faut lire les 4 tomes dans une relative continuité (ce qui n'a malheureusement pas été mon cas pour ce dernier tome, ma lecture du tome précédent remontant à plus de deux ans).30/05/2017 à 11:25 3
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Germania
8/10 Harald Gilbers nous entraîne dans une enquête fort prenante, avec pour décor une Germania inachevée et même en voie de décomposition avancée, écrasée par les bombardements alliés.
Voilà la grande force de ce premier roman : l'immersion dans le Berlin de 1944, à la veille d'un débarquement allié en Normandie qui fera du bruit...
La documentation amassée par l'auteur est conséquente, juste et utilisée avec pertinence, de telle sorte que l'on n'a jamais l'impression que l'intrigue sert de prétexte à raconter une époque mais bien que cette dernière est très justement au service de la première. C'est remarquablement réussi.
J'ajoute que le héros, Richard Oppenheimer, ex-commissaire juif marié à une "aryenne", est un atout non négligeable tant le personnage est attachant, rappelant un certain Bernie Gunther. D'ailleurs Harald Gilbers n'a pas à rougir de la comparaison avec son illustre "prédécesseur" (quoique toujours actif) Philip Kerr, car avec ce Germania, l’Écossais a désormais un autre auteur de talent qui joue sur la même scène que lui. Bravo !21/05/2017 à 22:59 10
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La Prophétie de l'abeille
9/10 Keigo Higashino ne cesse de m'étonner ! Il navigue entre les genres avec une aisance rare : si ces romans ont en commun une part importante dédiée à la psychologie des personnages, il inscrit celle-ci dans des thèmes très divers et qui, toujours, nous poussent à réfléchir sur nous-même et nos réactions face au(x) sujet(s) développé(s).
Ici c'est le débat ô combien brûlant du nucléaire que l'auteur aborde. Brûlant parce que les Japonais ont subi dans leur chair les bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki. Brûlant parce que l'archipel est recouverte de centrales (près d'un tiers de l'électricité produite au Japon était d'origine nucléaire à la date de sortie du livre, en 1995). Brûlante aussi car l'auteur, sans être médium, pose la question des risques liés à un accident nucléaire (ici provoqué par l'homme, plus tard, à Fukushima, provoqué par la nature et facilité par la négligence humaine). C'est d'ailleurs avec la catastrophe de 2011 en tête que le récit prend une dimension nouvelle car Higashino soulève nombre de questions qui ne trouveront de réponses qu'après le désastre de la centrale gérée par Tepco.
Surtout, l'auteur l'ancre dans un futur plausible, le détournement d'un hélicoptère géant dernière génération, dont les terroristes se servent pour menacer directement une centrale nucléaire. Seul problème : un enfant est à bord. Le suspense est extraordinaire et les nombreux détails donnés sur le fonctionnement des centrales nucléaires, sur l'armée etc... ne ralentissent pas un rythme où la question du sauvetage de l'enfant, celle des motivations des terroristes et leur identité et de l'imminence ou non de la catastrophe nous obsèdent.
J'ai été happé par ce récit stupéfiant et n'ai pas vu défiler les quelques 550 pages de ma version poche. Un seul bémol, soulevé par Dodger dans sa critique plus bas, c'est le manque de consistance de certains personnages, effectivement réduits à un nom et/ou une fonction. Higashino a voulu montrer qu'il maîtrisait le sujet (son effort de documentation est colossal et la traductrice, Sophie Refle, dont je salue le travail, a dû "galérer" pour traduire tout le jargon technique et scientifique) et a parfois oublié, à trop vouloir se montrer précis, de donner davantage d'épaisseur aux différents protagonistes.
Au final, j'ai une fois de plus apprécié ce que nous raconte de façon si habile et subtile cet auteur génial qu'est Keigo Higashino qui, en 5 romans lus de lui, ne m'a jamais déçu.
Si celle et ceux que le sujet intéresse hésitent encore, n'attendez plus et ouvrez La Prophétie de l'abeille, un livre remarquable sur la question du nucléaire !08/05/2017 à 18:45 7
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Treize Marches
9/10 Intrigue passionnante au pays du Soleil levant, un des rares pays développés à maintenir la peine de mort sur son territoire.
Le roman doté d'un grand suspense habilement dosé ne se résume cependant pas à cela, ce n'est pas un moyen de poser la question du pour ou du contre, c'est bien plus subtil que cela. J'ai beaucoup aimé par exemple les deux personnages principaux qui enquêtent, la quête de rédemption de l'un, celle de la réinsertion pour l'autre, la question de la légalité de la mort ordonnée et de ceux qui la donne, de la frontière si fine entre le bourreau et le condamné. J'ai aimé l'ambiance mystérieuse qui règne autour de la maison où a eu lieu le meurtre impliquant Ryô Kihara, condamné à mort depuis, toutes les scènes dans les bois que je visualise encore, cette quête/enquête passionnante de bout en bout... bref, un vrai coup de cœur, une super découverte que ce polar japonais, merci aux éditions des Presses de la cité d'avoir eu la très bonne idée de publier en français cet excellent roman sorti il y a 16 ans au Japon et aux lectrices/lecteurs du forum de l'avoir mis en avant notamment en le sélectionnant pour la finale du prix Découverte Polars Pourpres.07/05/2017 à 17:23 8
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Détective Conan Tome 19
9/10 Le début de ce tome est la fin de l'enquête précédente, et l'on comprend lors de sa résolution que Aï est un personnage que l'on est amené à revoir.
L'enquête suivante est prenante : un écrivain célèbre a décidé de renouer, après quelques années, avec son héros, à la plus grande joie du détective Mouri. Coïncidence : la fille de l'écrivain sonne chez le détective car... son père a disparu ! Mais qui alors continue d'écrire ? Est-il en danger ? Une intrigue très plaisante à suivre.
Ce très bon tome se poursuit avec un voyage à Osaka, la ville de l'autre grand détective adolescent de la série, Heiji Hattori. Un tueur en série y sévit. Gosho Aoyama nous immerge véritablement dans la 3e ville du Japon, avec des monuments, des plats typiques du sud du pays... Très sympa de profiter de cette enquête pour en apprendre plus sur la culture de cette partie du pays du soleil levant. J'ai trouvé à ce titre très pertinents les paragraphes rédigés en fin de tome par l'éditeur pour nous éclairer davantage.
Pour la dernière intrigue, retour à Tokyo où un maître-chanteur prend en otage tout un stade de foot ! Arrivera t-il à ses fins ? Réponse dans le tome 20.03/05/2017 à 19:38
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Détective Conan Tome 18
8/10 Fin de l'énigme débutée dans le tome 17, où balcons et ascenseurs jouent un rôle certain... L'intérêt pour l'histoire personnelle de Sinichi/Conan est relancée avec trois nouvelles enquêtes. La première fait ressortir une (éventuelle ?) ex-relation de l'adolescent du passé. La deuxième est marquée par l'apparition d'un nouveau personnage qui va devenir récurrent : Aï Haibara, très proche des "hommes en noir" à l'origine du "rajeunissement" de Sinichi. Les deux dernières enquêtes ne sont pas des plus palpitantes mais ont le mérité d'introduire ce personnage très énigmatique. Est-elle réellement la victime qu'elle prétend être ?
Un bon tome dans l'ensemble. 7.5.03/05/2017 à 19:09
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Ce qu'il nous faut c'est un mort
7/10 Un roman plaisant à lire, qui traite d'une problématique très actuelle, la délocalisation d'usines françaises à l'étranger.
La force du roman réside dans ses personnages, tous (ou presque) attachants et que l'on suit avec plaisir à travers les décennies. L'intrigue est bien ficelée mais peut-être un peu trop "claire" pour des lecteurs aguerris : j'ai malheureusement un peu trop vite découvert le "pot aux roses", j'aurais aimé être cueilli par la fin, c'est raté.
Il n'en demeure pas moins que les ateliers Cybelle, ses ouvrières et son histoire presque centenaire m'ont beaucoup plu. Les remerciements en fin d'ouvrage tendent à montrer que l'auteur souhaite s'inscrire dans le prolongement d'autres œuvres et d'autres combats qui l'ont inspiré pour l'écriture de ce roman.
Un roman réussi donc, que j'aurais aimé cependant encore plus percutant.30/04/2017 à 12:35 9