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L'Immense obscurité de la mort
10/10 Un roman noir, véritable bijou, avec un brin de manipulation. Avec talent, Carlotto nous emmène dans les méandres de deux êtres perdus, Rafaello, braqueur et meurtrier, condamné à perpet, et Silvano, broyé par la mort de sa femme et de son fils.
21/02/2012 à 12:37 4
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Les Yeux fermés
9/10 Un très bon Carofiglio qui a l'art pour nous entraîner au coeur des personnages et de leur tourment avec un paysage judiciaire italien qui connaît les hauts et les bas. Mais l'avocat Guerrieri veille !
21/02/2012 à 05:50 3
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Rouge-Gorge
10/10 L'un des meilleurs Nesbo, voire le meilleur. De la densité, des intrigues qui s'enchevêtrent dans le temps. Sublime!
19/02/2012 à 09:40 2
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L'Oranaise
9/10 Une plongée dans les affres du terminus de la guerre d'Algérie, de l'OAS avec un décryptage des financements occultes (ou pas) des réseaux d'opposants. Une bonne intrigue avec des personnages accrochants.
14/02/2012 à 13:12
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La Femme en vert
9/10 Un extraordinaire roman, qui traite d'un sujet difficile sans tomber dans les pièges du larmoyant et du pathétique. Malgré quelques petites longueurs, un suspense très bien entretenu surtout sur la fin.
13/02/2012 à 12:41 5
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Le Livre sans nom
5/10 Le début m'a emballé mais au bout de 100 pages, je me suis un peu lassé du style.
08/02/2012 à 13:26
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Témoin involontaire
8/10 Un bon livre, davantage un roman d’atmosphère et de quête de soi qu’un roman policier ou judiciaire.
07/02/2012 à 12:09 1
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La Religion
5/10 Les longueurs m'ont endormi, j'ai mis 6 mois à lire ce roman; et encore c'est l'enthousiasme général qui m'a poussé à reprendre ma lecture.
06/02/2012 à 02:56
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La Saison des massacres
6/10 Ancré dans la mafiosi connection, un roman qui retrace l'effarante emprise des pieuvres italiennes sur le devenir du pays. Cependant, je n'ai pas vraiment accroché au style et le foisonnement de personnages m'a un peu égaré.
01/02/2012 à 07:40 1
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Rue Sans-Souci
10/10 Plus qu'excellent, ce thriller, à multiples intrigues, nous entraîne dans une formidable trame très prenante, j'ai dévoré.
29/01/2012 à 12:34 2
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La Chambre rouge
10/10 Un recueil de nouvelles excellentes; les qualificatifs cruels, sadiques, diaboliques, tordus et pervers conviennent à la perfection aux tournures des histoires qui ont des chutes souvent admirables. Un petit bijou.
26/01/2012 à 17:54 2
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La Maison où je suis mort autrefois
7/10 Un bon polar avec une idée originale à lire avec plusieurs strates, intrigue, recherche psychologique et métaphysique. J'ai pourtant été déçu. Après avoir lu divers articles sur le roman, je m'attendais à plus de densité.
26/01/2012 à 09:08 1
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La femme du dimanche
Carlo Fruttero, Franco Lucentini
8/10 Un roman bien écrit et construit dans l'humour par 4 mains, qui lança la carrière internationale des deux auteurs. Comencini l'adapta à l'écran avec Mastroianni et JL Trintignant.
22/01/2012 à 06:02
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L'hiver du commissaire Ricciardi
8/10 De Giovanni nous fait découvrir Naples des années 30 en pleine période fasciste avec un art pour planter le décor et sculpter des personnages à merveille avec une once de fantastique. Un premier roman traduit à ne pas manquer sous aucun prétexte. Je vous le dis.
22/01/2012 à 05:57 7
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L'enquête interrompue
8/10 Un Maigret à l'italienne dans un embrouillamini où se mêlent services secrets, sexualité et argent.
21/01/2012 à 19:56
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La Nuit des bras cassés
8/10 Le roman se lit bien et fait remonter l'intrigue à l'époque du Duce, les vielles affaires ressortent pour toucher les descendants d'aujourd'hui de Marseille à New York.
17/01/2012 à 00:44 2
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Colchiques dans les prés
9/10 Encore un excellent Quadruppani, auteur à découvrir absolument. Un membre de la bande d'insoumis paie pour les copains et vient demander des comptes après 17 ans de prison. L'affaire est menée avec brio et le talent d'écriture de l'auteur sert admirablement la trame.
17/01/2012 à 00:41
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Le banquier assassiné
8/10 Augusto De Angelis ( 1888-1944) est l’un des pères du roman policier italien. Il a su, dans un premier temps, habilement naviguer durant les années 30 en évitant les foudres de la censure mussolinienne, le genre était alors considéré comme suspect. Cependant, De Angelis a connu une fin précoce à la suite d’une dénonciation en 43 qui l’a mené dans les géôles de la dictature.
Romain de naissance, il a néanmoins donné pour cadre à ses romans la cité de la botte la plus européenne de l’époque, Milan. Alors que la plupart des écrivains avaient les yeux rivés sur le hard boiled américain pour s’en inspirer, il a su innover en créant un genre policier italien : « L’essentiel pour moi est de créer un climat, de faire vivre le drame au lecteur ( L’essenziale per me è creare un clima. Far vivere al lettore il drama.) ». Il a inséré de nombreux ingrédients du cru local avec la ville de Milan, ses rues, ses demeures, ses intérieurs, ses hôtels, ses commerçants, ses capitaines d’industrie, ses banques, ses bureaux et surtout un type de policier italien avec un mélange de paternalisme, tyranie et bureaucratie.
Le commissaire De Vicenzi, qui apparaît pour la première fois dans « Le banquier assasiné, Il banchiere assassinato » en 1935 montre finesse, intelligence et une culture étendue avec des lectures allant de Platon à Freud en passant par Oscar Wilde et bien d’autres. De Vicenzi s’appuie sur l’observation et son intuition pour détecter les indices et confondre l’assassin. Au début d’une nuit, son ami Aurigi, trader, vient lui rendre visite au commissariat. Quelques instants plus tard, le flic est appelé pour un meurtre...dans l’appartement d’Aurigi. Le cadavre appartient à un banquier qui a prêté une importante somme d’argent à son ami. Vicenzi déliera un à un tous les fils pour confondre le meurtrier inattendu.
Un bon roman d’énigme, avec un brin de poésie, qui permet de revisiter l’Italie des années 30. La télévision a adapté dans les années 70 " les De Vicenzi".10/01/2012 à 07:26
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Le vase de sable
8/10 Une enquête palpitante menée par le brio du maître.
10/01/2012 à 07:25
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Via delle oche
7/10 Un bon petit noir sordide dans la rue des bordels
10/01/2012 à 07:24