xavier

853 votes

  • Trauma

    Jeff Abbott

    7/10 Mon premier Abbott . Roman à 100 à l'heure, il faut s'accrocher. Incursion dans le domaine du stress post-traumatique plus qu'intéressante.

    19/08/2007 à 06:41

  • Requiem pour un poisson

    Christine Adamo

    5/10 Le manque de vrai suspense et la construction du roman (un chapitre ou époque par personnage) coupent le rythme

    09/10/2007 à 10:12

  • Miséricorde

    Jussi Adler-Olsen

    6/10 Une intrigue assez classique, du déjà vu, ce qui lasse un peu. L'association des deux personnages est intéressante, le rythme des 100 dernières pages m'a réveillé.

    08/02/2013 à 12:31

  • Le Lac d'or

    Jacques-Pierre Amette

    8/10 « Le Lac d’or » a pour cadre le XIIIe arrondissement parisien, entre les décors d’un Leo Mallet, la tristesse des alentours de la bibliothèque François Mitterand et le vivant quartier chinois revisité.
    C’est plus l’histoire d’un flic au bord du naufrage qu’une intrigue policière essayant de découvrir l’assassin d’une prostituée que ce commissaire Barbey a aimé un été. Le policier désabusé est tellement perdu que je m’attendais à une fin plus tragique. L’atmosphère plus grise que noire rend bien les tâtonnements ratés de l’enquêteur dilletante qui sabote à son insu un long travail de surveillance de la DST. L’écriture, travaillée et élégante, sans superflu donne un plaisir supplémentaire à ce bref et bon moment de lecture.
    Bien entendu, le lecteur de roman policier qui cherche adrénaline, suspense et tension narrative, serait déçu.

    18/09/2008 à 19:53

  • Le Livre sans nom

    Anonyme

    5/10 Le début m'a emballé mais au bout de 100 pages, je me suis un peu lassé du style.

    08/02/2012 à 13:26

  • Simenon

    Pierre Assouline

    7/10 Biographie, très complète même si elle est allongée. Donne envie de lire encore plus de romans de Simenon, qui n'a pas écrit que des Maigret, loin de là.

    31/03/2018 à 21:21 2

  • Quai des Enfers

    Ingrid Astier

    5/10 Beaucoup de personnages et de détours pour donner un polar rythmé. Je suis déçu de ce côté. En revanche, pour connaître un aspect plus "fluvial" de Paris, ça vaut le détour.

    18/07/2010 à 05:36 2

  • Le Couturier de la Mort

    Brigitte Aubert

    9/10 Mon premier B. Aubert; un style, un récit, une intrigue et des personnages assez atypiqes. L'écriture est sobre, nerveuse et ô combien efficace. Je suis d'accord avec Mag, Brigitte Aubert est inimitable et même inclassable. Avec des moyens choisis assez simples, des personnes lambda, sans données de lieu et de temps précises ( c'est l'été, on devine que c'est au bord de la mer et même à Cannes, ville natale de BA), une syntaxe simple, un tueur peu compliqué (il tue, il aime tuer) et peu torturé, elle donne un roman délirant et inlâchable. Je ne sais pas comment le noter , le minimum serait 8, je mets 9 pour le côté hors du commun (un des rares auteurs qui a su créer son propre style) quitte à modifier par la suite avec le recul; pourquoi pas un 10? La lecture d'un Aubert est pratiquement indispensable à tout amateur de roman policier. La voie très spéciale empruntée par BA peut certes dérouter; j'ai ce roman depuis un an sur mon étagère et j'avais arrêté sa lecture deux fois après quelques pages, le style ne m'accrochait pas mais le temps a vaincu...avec brio

    11/10/2007 à 02:35 1

  • Transfixions

    Brigitte Aubert

    9/10 Un grand roman de Brigitte Aubert.
    Commencer un polar de Brigitte Aubert, c’est s’engager dans une aventure loin des sentiers battus dans des univers très différent à chaque roman. Si certains regrettent qu’une Fred Vargas ne se renouvelle part, avec Aubert ils sont bien servis. “La Rose de Fer” narrait l’histoire d’un braqueur sur la note complot, espionnage et psychologie, “Ténèbres” sur Jacksonville préférait l’épouvante, “Transfixion” plonge dans l’univers transexuel et des questions d’identification sexuelle.
    L’existence de Bo rime avec calvaire et dérive. Seul Johnny parvient à lui apporter une lueur d’espoir. Lorsque ses amies prostituées tombent une à une sous les coups d’un fendoir, Bo demeure au point central de cet abattage à tel point qu’il/elle devra faire front, mener son enquête pour ne pas devenir la victime ou la coupable idéale.
    L’auteur reprend le thème de la cassure psychique pour construire un personnage attachant dans un degré de désespoir extrême. Les dialogues nerveux et parfois cyniques donnent dynamisme Elle fait vivre des univers méprisés de la prostitution et de la transexualité avec noirceur, humour et humanité sans apitoiement et teinte larmoyante.
    L’intrigue est habilement construite et après avoir mené le lecteur sur de multiples pistes, le dénouement brutal frappe dans les dernières pages. Brigitte Aubert navigue avec adresse dans l’hémoglobine et le gore sans en faire un étalage trop souvent exploité. Je lis trop peu les romans cette reine du thriller français, je vais en lire plus. A chaque fois que je finis une de ses histoires, je dis “bravo”.

    06/01/2009 à 21:24

  • Une âme de trop

    Brigitte Aubert

    9/10 Brigitte Aubert joue sur registre de personnages atypiques, souvent entre vie et perdition. Elvira, infirmière, mal foutue, tente de reconstruire sa personne à travers ses échanges sur Internet, ses DVD, son téléphone et son corps qu’elle soigne au mieux. Elle croise une tribu de gens glauques, un flic bouché, un macho raté, une collègue lourdingue, un proprio-fils à sa maman avant d’être à la merci d’un tueur qui supprime des filles qui lui ressemblent. Son tour approche ? Le style tout teinté d’humour prend par la main le lecteur pour le faire entrer dans une histoire au final décapant.

    29/05/2009 à 04:35 3

  • Transparences

    Yal Ayerdhal

    6/10 Le personnage d'Ann X, omnisciente avec un don d'ubiquité incroyable, qui parvient à déjouer les meilleurs services secrets du monde, n'est pas crédible pour moi et ne m'a pas permis d'accrocher, j'ai arrêté la lecture plusieurs fois. Les personnages abondent et on peut se perdre aussi.
    Certains passages sont bien entendu très bons, comme les premières pages.

    22/06/2007 à 16:46

  • Rasta Gang

    Phillip Baker

    8/10 Le parcours de l’auteur incite tout lecteur désireux de mieux comprendre le caractère inéluctable de certains destins à se plonger dans Rasta Gang. Philip Baker, rasta gangster, a écrit ce roman alors qu’il séjournait dans les geôles britanniques. Le traducteur de cette réédition, Thierry Marignac, croit à sa disparition lors d’une fusillade avec la police de Kingston A lire la préface de ce dernier et le récit de la rencontre du traducteur et l’auteur en cavale dans Brooklyn, la ville noire.
    Dany Palmer, débarqué de la Jamaïque, vit, au début des années 70, dans le sud de New York, avec sa mère, dans un modeste appartement au sein d’un quartier où les vagues d’immigration, jamaïcaines notamment, ont fait partir la plupart des Blancs.
    Avec une écriture précise, directe et sans concession, Baker montre avec réalisme l’implacable évolution des ces adolescents qui apprennent vite à braquer, tuer et dealer dans un monde où la vie n’a pas grande importance. Ce roman, noir et violent, n’oublie pas les aspects sociaux et politiques pour mieux comprendre le texte et donne une description crue de la guerre des rues dans le New York de l’époque avec 300 à 400 bandes qui avaient la gâchette facile. Cette plongée dans le monde des rastas donne une peinture saisissante et puissante d’un univers féroce.

    12/10/2010 à 11:01

  • L'Heure du crime

    David Baldacci

    7/10 Certains rebondissements sont à la limite de la vraisemblance mais on passe de bon moments trépidants.

    27/09/2010 à 07:32

  • La Simple Vérité

    David Baldacci

    7/10 Une histoire mêlant thriller judiciaire, roman policier et course-poursuite pour réparer une erreur judiciaire vieille de 25 ans. La première partie, sur un petit rythme met 150 pages à planter le décor avant de monter en puissance dans la tension narrative. L’auteur n’est pas tombé dans le piège de multiples rebondissements, il a dosé le suspense avec maîtrise sans essayer de leurrer le lecteur tout en calculant au millimètre la dose de rebondissement à distiller. L’intrigue balance entre la Cour Suprême des Etats-Unis, des militaires, un sénateur et des expériences sur le LSD pour la CIA.

    27/08/2008 à 11:31

  • Le Camel Club

    David Baldacci

    7/10 Suspense très habilement orchestré. Les 100 dernières pages m'ont un peu déçu car la super équipe me semble d'une efficacité trop talentueuse pour être pleinement crédible.

    14/02/2008 à 16:06

  • Les Collectionneurs

    David Baldacci

    8/10 Assez entraînant, ce n'est pas le meilleur de l'auteur certes mais un bon thriller désaltérant...

    27/09/2010 à 07:34

  • Les pleins pouvoirs

    David Baldacci

    7/10 Renversements de situation, enchaînements bien menés. Baldacci a visé très haut et très gros mais il ne m'a pas totalement convaincu , j'ai tout de même été pris par l'action

    12/03/2008 à 04:09 1

  • Sous haute protection

    David Baldacci

    8/10 Très bonne intrigue, plongeon dans les méandres du lobby à l'américaine, personnages bien etoffés.

    04/12/2007 à 01:28

  • Un Homme sous Influence

    David Baldacci

    7/10 Malgre quelques episodes a la limite de la vraisemblance, une bonne histoire bien ficelee avec les rebondissements necessaires.

    30/12/2007 à 10:48

  • Un simple génie

    David Baldacci

    4/10 Un Baldacci très décevant et trop convenu.

    21/08/2009 à 18:40