Fredo

1157 votes

  • La théorie des six

    Jacques Expert

    4/10 C'est bien l'alternance de personnages mais quand les deux principaux parlent à la première personne, où est l'intérêt ? Tout le casting tape sur le système, le tueur et l'enquêtrice étant étrangement semblables, aussi beaufs et bas du front l'un que l'autre. Le bon côté c'est que c'est écrit gros et que ça se lit vite. Une grosse déception.

    19/04/2009 à 09:07

  • Le Golem de Londres

    Peter Ackroyd

    4/10 J'ai lu le début et j'ai du vite renoncer à poursuivre ma lecture. Digressions excessives et changement de narrateur pour un même personnage m'ont condamné à abandonner sa lecture. J'ai vu le film, pour me faire cueillir par cette fin que l'on sent quand même venir.
    Donc à voir plutôt qu'à lire.

    20/03/2018 à 11:41 3

  • Le Problème à trois corps

    Liu Cixin

    4/10 Lu 30 pages. Et le livre m'est tombé des mains.
    Le véritable problème de ce roman est qu'il est impossible d'aller plus loin tant le style n'est vraiment pas bon, pas du tout littéraire, voir indigeste.
    Autant le pitch est particulièrement alléchant, autant le texte est chiant.
    Je passe mon chemin et je regarderai la série tv sur Netflix.

    01/01/2023 à 20:40 3

  • Le Voyageur sans visage

    John Katzenbach

    4/10 Une intrigue très longue et une fin pas du tout méritée pour ce jolie casting, fait de ce roman un objet à conseiller aux fans pures et dures de Katzenbach. Disons que l'auteur faisait ses gammes.

    26/01/2009 à 10:36 1

  • Monestarium

    Andrea H. Japp

    4/10 Lu à l'époque pour le Prix des Lecteurs du Livre de Poche, le roman m'est très vite tombé des mains : le jargon d'époque incompréhensible et les trop nombreux renvois en bas de pages (qui sont parfois plus conséquent que le texte lui-même) m'ont rapidement complètement découragé d'aller plus loin dans la lecture.

    06/08/2015 à 20:41

  • Ne plus mourir, jamais

    Marc Eisenchteter

    4/10 J'ai eu un mal fou à en venir à bout ... En fait, je ne suis jamais arrivé à éprouver de la compassion pour cette héroïne ambigüe. A trop vouloir jouer avec des effets narratifs à la première personne, l'auteur m'a perdu en route. Dommage, parce que son CV me fait toujours autant baver.

    10/06/2008 à 14:50

  • Origine

    Diana Abu-Jaber

    4/10 Difficile pour moi de m'attacher à cette héroïne et aux différents personnages qui l'entoure, tant il est évident que chacun joue son rôle sur une tonalité qui n'est pas la sienne. À force de vouloir entourer son personnage d'un épais brouillard, Diana Abu-Jaber finit par noyer son lecteur. Selon l'éditeur, c'est un thriller intelligent. Selon moi, c'est une histoire sur les origines qui manque certainement d'humanité. Peut être que c'est finalement l'essence même de ce livre.

    01/05/2010 à 12:03

  • Pas de berceuse pour Fanny

    Sophie Hannah

    4/10 Comme sofi, je me suis ennuyé ferme. Il faut attendre 200 pages pour voir la belle mère arriver enfin et quelques dizaines de pages en plus pour commencer à voir l'enquête avancer ... Le seul personnage qui semble sortir du lot est celui du flic, Simon. Les autres semblent mal "habités" ...

    22/02/2009 à 12:44

  • Peur aveugle

    Paul-François Husson

    4/10 Je me suis ennuyé. Le narrateur et le héros fusionne, du coup, on ne sait plus qui raconte quoi. Le point de départ de l'histoire est intéressant mais son traitement me semble mal négocié. Le lecteur perd ses repères et ne parvient pas à s'identifier au héros de cette fable. Dommage.

    01/05/2009 à 13:20

  • Possession

    Paul Tremblay

    4/10 Je referme le livre à la moitié dans un immense bâillement. L'histoire tarde trop à démarrer. L'auteur utilise différents artifices pour retarder la mise en marche de son intrigue. Et ça en devient pénible.
    Je ne connaitrais jamais la fin de l'histoire et au final, je m'en fiche totalement... Je regrette plus le temps consacré à cette moitié de roman.

    01/10/2022 à 15:33 6

  • Quand les brochets font courir les carpes

    Jean-Louis Debré

    4/10 C'est très (trop) candide, très scolaire, dans la narration pour rendre cette lecture indispensable pour les fans de romans policiers. Par contre, ceux qui veulent avoir une petite idée de ce qui se trame dans les couloirs du Palais Royal ne seront pas déçu du voyage. Mais à choisir dans des romans "politique" entre Brad Meltzer et Jean-Louis Debré, mon choix est vite fait !

    02/07/2009 à 09:58

  • Riches à en mourir

    Frédéric Andréi

    4/10 Ampoulé à en mourir... J'ai ouvert le livre à la première page et je suis tombé sur ce paragraphe :
    "Sausalito, Californie, le jeudi 23 mai

    La minuscule maison flottante était bercée par le crachotement lointain d'une enceinte qui diffusait un blues d'une rareté abyssale. C'était un petit espace qui faisait office de pièce à vivre, un ensemble salon-salle à manger-cuisine où les années avaient déposé les strates d'une improbable décoration cumulative composant ainsi un agréable intérieur rustique. Trois meubles cohabitaient là depuis quelques décennies dans une indifférence totale. Il y avait une table maintes fois repeinte et deux fauteuils dépareillés qui avaient pudiquement caché leur sénilité sous de lourds tissus défraîchis. Sur les murs où s'écaillaient de multiples couches de teintes cariées, des étagères naguère d'équerre regorgeaient d'objets obsolètes dont l'usage avait dû être courant dans un quotidien désormais trépassé."

    J'ai reposé le livre, mon envie de le lire est morte à ce moment là... Le style asphyxie le moindre intérêt que l'on peut porter au fond. Au secours !

    18/03/2016 à 13:07 2

  • Sous les bruyères

    Belinda Bauer

    4/10 Commencé et jamais terminé. À oublier.

    07/08/2015 à 19:23

  • On se retrouvera

    Johana Gustawsson, Laëtitia Milot

    3/10 Un premier chapitre coup de poing et une fin abracadabrantesque. C'est le grand écart que vous proposent Laetitia Milot et Johana Gustawsson, dans un roman qui se lit très vite. Une histoire de mères et de secrets qui ne laissent pas indifférent malgré quelques procédés énormes.

    21/05/2013 à 13:35

  • L'ile des chiens

    Patricia Cornwell

    1/10 C'est un véritable calvaire à lire ... Conwell flingue le potentiel de ses personnages et trouve le moyen de vouloir en faire parler certains avec l'accent, ce qui donne en vf des propos illisibles genre "de penze que ze vais oudrire la porde"... Le début du suicide littéraire de Cornwell ...

    02/01/2007 à 18:02 1

  • Le Mystère de High Street

    Anne Perry

    1/10 D'abord, la forme : 8 euros pour 80 pages, c'est trop. De grosses marges de papier autours du texte nous font penser que cette mise en page est un beau gâchis de papier. Dans le fond, je n'ai ressenti aucune empathie pour les personnages. L'histoire est un grand classique du genre, du coup, en n'y apportant aucune originalité, Anne Perry brode une histoire sans saveur. Et ce n'est pas la dernière pirouette du roman qui va sauver la mise. « ← Et le manuscrit ? [...] Je pense que nous allons découvrir en rentrant qu'il a disparu. » L’ellipse la plus faiblarde que j'ai eu l'occasion de lire... Passez votre chemin.

    09/06/2014 à 19:03 2

  • Family Killer

    Francis Huster

    0/10 Francis Huster a cru écrire un polar en sortant des sentiers battus et via une nouvelle "voix". Il a produit un roman d'une vulgarité rarement atteinte à ce jour. Profusion de "merde", "couilles", "foutre" dans les 100 premières pages du texte. Je n'ai pas été plus loin. Au bout d'un moment, j'ai sorti mon stylo pour entourer certains mots qui reviennent sans cesse. Genre presque 50 fois un mot en rapport avec "merde". Je passe les références au vomis et service trois pièces de ces messieurs... J'ai relevé une centaine de mots du genre qui reviennent régulièrement, presque à chaque page, jusqu'à l'overdose ! Quasiment aucune page n'est épargnée. À ce niveau là, c'est vicieux. J'ai tenu 120 pages à lire les pensées du héros de Francis Huster ( François Holzer, alter-égo de FH ?) vomir sa vulgarité, c'est complètement hors sujet pour le coup. Ce n'est plus de la verve, c'est une véritable logorrhée, on est même à deux doigts du syndrome Gilles de la Tourette
    Carton rouge !

    26/08/2015 à 10:05 1