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0/10 Francis Huster a cru écrire un polar en sortant des sentiers battus et via une nouvelle "voix". Il a produit un roman d'une vulgarité rarement atteinte à ce jour. Profusion de "merde", "couilles", "foutre" dans les 100 premières pages du texte. Je n'ai pas été plus loin. Au bout d'un moment, j'ai sorti mon stylo pour entourer certains mots qui reviennent sans cesse. Genre presque 50 fois un mot en rapport avec "merde". Je passe les références au vomis et service trois pièces de ces messieurs... J'ai relevé une centaine de mots du genre qui reviennent régulièrement, presque à chaque page, jusqu'à l'overdose ! Quasiment aucune page n'est épargnée. À ce niveau là, c'est vicieux. J'ai tenu 120 pages à lire les pensées du héros de Francis Huster ( François Holzer, alter-égo de FH ?) vomir sa vulgarité, c'est complètement hors sujet pour le coup. Ce n'est plus de la verve, c'est une véritable logorrhée, on est même à deux doigts du syndrome Gilles de la Tourette
Carton rouge !
26/08/2015 à 10:05 Fredo (1202 votes, 7.9/10 de moyenne) 1