El Marco Modérateur

3271 votes

  • Le Royaume sous le sable

    Grzegorz Rosinski, Jean Van Hamme

    7/10 Après deux mois de pérégrinations, notre famille accoste sur une île où vivent des hommes qui bénéficient d’une technologie très avancée, avant de devenir leurs prisonniers. Talkie-walkie, lévitation, pistolet laser, capsules qui captent les souvenirs, fusée : le moins que l’on puisse dire, c’est que ces individus sont particulièrement en avance sur l’époque, et ce choc des civilisations est un peu brutal à mon goût même s’il y avait déjà eu des épisodes présentant ces techniques précédemment. Ce mélange autochtones – directement inspirés des Touaregs – sables mouvants – Atlantide est très dynamique et original, qui me donne déjà envie de passer au tome suivant.

    06/12/2021 à 17:55 3

  • Le Sabre et le lotus

    Jean-François Di Giorgio, Cristina Mormile

    8/10 Un jeune homme disparaît près du lit d’une rivière. Takeo fait une fois de plus la démonstration de son habileté en se débarrassant de plusieurs ninjas pour ensuite aider la jeune femme qui a vu son promis disparaître à le retrouver. Un graphisme toujours aussi remarquable, quelques passages gentiment coquins, quelques moments d’action particulièrement réussis (notamment la seconde confrontation avec les ninjas). Autant le tome précédent m’avait un peu déçu, autant celui-là me réconcilie sans mal avec cette belle série !

    25/04/2022 à 17:58 2

  • Le Sabre sacré

    Yves-Marie Clément

    6/10 Un bon petit polar se déroulant au Japon, avec un protagoniste bien sympathique : aveugle, aimant en secret une camarade, et judoka de talent. L'intrigue est bien menée, l'histoire tient la route. Petits bémols : destiné à un jeune public, c'est court et il m'a semblé que l'auteur aurait pu aller plus loin dans l'originalité et la densité dramatique. Le sabre sacré conviendra à un lectorat de collège mais ne propose probablement qu'une simple lecture récréative aux adultes, sans souvenir mémorable.

    16/05/2010 à 19:52

  • Le Sacrifice

    Grzegorz Rosinski, Jean Van Hamme

    7/10 Thorgal est toujours mourant, et le reste de sa famille doit continuer à affronter des adversaires, entre chevaliers troubles et écumeurs des routes. Le moribond et Jolan vont été happés par un univers fantasmagorique. Une série de péripéties baignées d’un puissant imaginaire, où j’ai trouvé que les traits (et surtout les couleurs) de Grzegorz Rosinski font des merveilles. Un opus très divertissant et inventif, c’est indéniable, même si la surenchère d’événements, créatures, et autres épreuves, jusqu’au final où pointe une réelle émotion, finit par devenir un poil lassant.

    19/02/2022 à 08:35 2

  • Le Saint des seins

    Guillaume Nicloux

    6/10 Un ton sombre et un style emporté pour une histoire qui défile rapidement entre les mains du lecteur. Si l’ensemble se lit avec plaisir, il faut néanmoins reconnaître que l’intrigue est assez simple, voire simpliste. Un Poulpe mineur à mes yeux, même si à aucun moment, et encore moins après-coup, je n’en ai regretté la lecture.

    11/08/2014 à 00:23 3

  • Le Saint des tueurs

    Garth Ennis, Steve Pugh

    8/10 Autre époque, mais personnages similaires : un flashback permettant de connaître l’histoire – ou la légende – du saint des tueurs qui œuvra durant le temps des cowboys. Personnages très caractérisés et souvent sinistres, explosions de violence (la première dans cette BD se déroule dans un salon), les codes du western fidèlement réinterprétés, et des actes sacrément sauvages (scalps, viols de cadavres, fusillades nourries). « Tu as de la chance qu’il ne t’ait pas tuée ! Cet homme est pire que Satan ! ». Un massacre et un incendie homériques à Ratwater pour clore ce récit sombre et furieux.

    11/12/2023 à 19:47 2

  • Le Salon de beauté

    Melba Escobar

    7/10 Bogota. « La Maison de beauté » est un établissement sélect où l’on prend soin de riches clientes. Parmi les petites mains, Karen, une jeune maman qui déploie bien des efforts pour mettre de l’argent de côté et ainsi permettre à son fils de la rejoindre. Mais c’est un jour Sabrina, une adolescente, qui demande des soins à l’institut, avant d’être retrouvée morte le lendemain, officiellement d’un problème cardiaque. Et si sa mort n’était en réalité pas naturelle ?

    Ce seul ouvrage traduit en français de Melba Escobar séduit d’entrée de jeu. La plume de l’écrivaine est enchanteresse, gracile et élégante, donnant à voir de beaux portraits de femmes. Il y a bien évidemment Karen, principale protagoniste du roman, confrontée de plein fouet à la misère de la Colombie, prête à tout pour permettre à son enfant de quitter Carthagène et de lui offrir une jeunesse correcte. Mais est-ce encore possible quand il faut accumuler les heures de travail auprès de clientes parfois brutales, dédaigneuses, aux caprices incroyables, et avec une monnaie dévaluée, où il faut des milliers et des milliers de pesos pour s’offrir trois fois rien ? De même, son jeune âge et ses atours attirent l’attention de mâles prêts à troquer le désir charnel qu’elle provoque contre cet argent qui lui fait tant défaut. Dans le même temps, le lecteur sera marqué par d’autres beaux portraits de femmes, comme Consuelo Paredes, la mère de Sabrina, ou encore Lucia, devenue écrivaine de l’ombre pour son mari, bien plus jeune qu’elle, qui ne la conçoit que comme sa plume et non sa chérie, au point de ne plus la considérer avec la décence qu’elle mérite. Melba Escobar décrit donc avec beaucoup de tact et de justesse la condition féminine colombienne, avec une large palette de dames, toutes conditions sociales confondues, qui ne peut que faire écho au sort, plus global, de ces malheureuses, dévalorisées, réduites à des ventres, soumises au bon vouloir de prédateurs sexuels ou politiques. L’intrigue passe d’ailleurs au second plan, ce qui décevra probablement certains lecteurs.

    Même si l’aspect purement policier ne constitue pas sa plus flagrante qualité, voilà un roman original et très humain, sans effet lacrymal de mauvais aloi ni pathos étalé à la truelle. De belles nuances féminines éclairent ce texte subtil, et c’est en soi une grande vertu.

    05/11/2019 à 20:07 2

  • Le Salon du prêt-à-saigner

    Joseph Bialot

    7/10 … ou la terrible croisade meurtrière de Yosip Vissarianovitch dans le quartier du Sentier. Des meurtres, du sang, beaucoup de mystères, des policiers aux abois, des journalistes prêts à tous les jeux de mots possibles, des foules estomaquées par cette vague d’hémoglobine… La langue de Joseph Bialot est remarquable, mâtinant les envolées lyriques et poétiques (les nombreuses séances de corps-à-corps et de fusillades sont de petits bijoux littéraires, à lire et relire), l’humour (notamment dans les réactions des médias aux divers crimes où chacun interprète les assassinats en fonction de ses penchants idéologiques ou politiques), et le sombre (bien des passages sont durs, sans pour autant tomber dans la description malsaine ou extrême). L’intrigue est bien ficelée, et c’est avec un plaisir continu que l’on enchaîne les chapitres (courts et découpés en brèves parties), même si la révélation finale, avec les motivations profondes de Yosip, n’a rien de renversant. Etonnant paradoxe, d’ailleurs : tout est bien agencé, huilé, charpenté, mais je ne suis pas persuadé de me souvenir longtemps du cœur de l’histoire. En revanche, je me rappellerai longtemps de certains moments (comme Yosip et Vania avec la machine à couper), d’une ambiance générale soufrée et délétère, et d’une écriture au cordeau.

    29/08/2018 à 17:57 3

  • Le Samouraï qui Pleure

    Laurent Scalese

    8/10 Un restaurateur japonais ainsi que sa famille retrouvés massacrés à Paris : meurtres ou suicide collectif ? Un suspect dont l'arrestation débouche sur la mort de trois policiers. Quelque chose de louche et inquiétant se trame dans l'ombre, c'est du moins l'intime conviction du lieutenant Élie Sagane. Alors que son équipe se met en chasse, elle ignore qu'elle vient en fait de se dresser sur la route de la très puissante mafia japonaise et que cette dernière est prête à tout pour parvenir à ses fins, quitte à sacrifier les policiers qui lui barreront la route.

    Laurent Scalese fait partie de ces auteurs français que l'on ne présente plus. Écrivain reconnu par la critique, le public et ses pairs, il entamait en 2000 sa carrière avec cet ouvrage. Pour les connaisseurs, sa patte apparaît rapidement : personnages campés avec réalisme, intrigue tendue, style visuel. Le fait que Laurent Scalese en vienne à travailler à de nombreuses reprises pour la télévision n'est pas surprenant : le livre, à l'instar de ses autres romans comme L'ombre de Janus ou Le baiser de Jason, tire partie d'une écriture lapidaire qui laisse la part libre à l'action et aux évolutions de ses personnages. A n'en pas douter, l'auteur s'est beaucoup documenté avant de se lancer dans l'édification de ce récit, notamment sur le milieu policier, la culture japonaise ainsi que les terribles yakuzas, sans jamais tomber dans les poncifs souvent inhérents au genre. L'ensemble, nerveux et racé sans pour autant tomber dans la surenchère pyrotechnique, retient sans peine l'attention du lecteur sur les quatre-cents pages, sous-tendu par une intrigue qui panache les éléments attendus du genre tout en demeurant original.

    Avec ce thriller, Laurent Scalese s'imposait d'emblée parmi les auteurs français du genre à suivre de près. La suite de son œuvre est tout aussi intéressante, jusqu'à son dernier roman, La cicatrice du diable, dont la sortie en poche se fera en juillet prochain.

    22/03/2011 à 18:22

  • Le Sang de la Mariée

    Laurent Scalese

    8/10 A Paris, un tueur en série défraie la chronique : il enlève de belles femmes avant de leur faire revêtir une robe blanche de mariée, après quoi il les tue. Le commissaire Elie Sagane et son équipe vont alors tout mettre en œuvre pour appréhender ce dément, d’autant que celui que les médias surnomment « le Tueur des mariées » va bientôt s’orienter vers les proches de Sagane.

    Encore une fois, après les excellents L’ombre de Janus et Le baiser de Jason, Laurent Scalese nous gratifie d’un très bon roman. Les policiers sont bien campés, humains et intéressants, le tueur sanguinaire et angoissant, le scénario bien construit et s’appuyant sur une documentation très solide, les rebondissements intelligemment amenés, et l’écriture sèche de l’auteur est toujours aussi agréable à lire : aucun mot de trop, le lecteur plonge vers l’essentiel.

    Au final, Le Sang de la mariée est un très bon ouvrage qui ravira sans difficulté le lecteur et qui réaffirme – si besoin était – les indéniables talents de son auteur.

    18/01/2008 à 06:52

  • Le Sang des bêtes

    Philippe Delaby, Jean Dufaux

    8/10 La ville est polluée de messages rappelant à l’Empereur ce qu’il a fait à son frère Britannicus. Au programme : un combat dans un égout, les plans de la nouvelle Rome à venir, Arsilia qui subit un mauvais sort, une scène d’amputation, des « expositions » de cadavres afin de rendre honneur aux combattants défunts, etc. Une esthétique magnifique, beaucoup d’action et de sang pour un récit très dynamique et prenant.

    04/01/2023 à 18:26 3

  • Le sang des maudits

    Leighton Gage

    9/10 Assurément, Leighton Gage est un remarquable écrivain, nouant une intrigue forte autour de personnages denses et humains. Sans effet de style déplacé ou surenchère pyrotechnique, il a érigé une histoire prenante et originale, dont on ne peut qu’espérer qu’elle donnera des suites tout aussi captivantes.

    27/01/2013 à 12:39

  • Le Sang des Sirènes

    Thierry Serfaty

    9/10 Jan Helleberg, expert en immunologie, vient de mourir d'un accident de voiture. Du moins, c'est ce qu'il croit dans un premier temps, parce que la Vie lui offre une ultime chance : remonter le temps pour comprendre qui l'a assassiné, à la seule et unique condition qu'il ne cherche jamais à modifier le cours des événements. Commence alors pour le lecteur un retour vers le passé double, au cours duquel Helleberg va observer sous un tout autre angle de vue les dernières étapes de sa vie, et également recueillir le témoignage post accident de Lara, sa compagne.

    Le Sang des Sirènes est à n'en pas douter un roman marquant, et en premier lieu par la forme du récit. L'alternance entre les propos d'Helleberg et de Lara est en soi une excellente idée, de même que le héros revenant aux sources du drame qui lui a coûté la vie. L'écriture est très agréable, à la fois dépouillée, directe et pourtant largement suffisante pour accaparer l'attention du lecteur. Ici, dans ce roman assez court, il n'y a pas de scènes de violence ou d'action : pourtant, il est impossible de lâcher ce livre avant la chute, très bien amenée. En outre, les connaissances de Thierry Serfaty en immunologie et dans le domaine de la lutte des laboratoires médicaux servent intelligemment l'énigme.

    Au final, Le Sang des Sirènes est un roman très atypique, au scénario parfaitement maîtrisé, et qui marquera durablement l'esprit du lecteur.

    20/11/2007 à 06:52

  • Le sang du Loonois

    Sylvain Cordurié, Alessio Lapo

    5/10 Une histoire prenant pied du temps d’Arthur et de ses chevaliers : le début panache combat entre cavaliers et une sacrée rixe entre des naïades façon elfiques. Une esthétique particulièrement léchée tandis que l’on suit ces personnages féminins user de magie et de persuasion pour prendre le pouvoir. L’ensemble est agréable et distractif, mais le scénario m’a déçu : pas assez évident, trop évanescent, guère mémorable, finalement. Je verrai si je vais lire les deux autres opus.

    28/02/2022 à 16:55 1

  • Le Sang du Temps

    Maxime Chattam

    8/10 Un très bon thriller, original dans la forme, avec une fin qui pemettra à chaque lecteur de choisir sa voie. Un bien bel essai après sa trilogie et qui plus est un essai transformé !

    02/07/2006 à 10:16

  • Le Satellite venu d'ailleurs

    Christian Grenier

    6/10 Une histoire sympathique, jamais crédible, mais qui fait passer un agréable moment. Au-delà du récit, prenant grâce à la plume alerte et efficace de Christian Grenier, les jeunes lecteurs retiendront également des éléments instructifs ayant trait notamment à l’espace, l’astronomie et la physique, avec un lexique final instructif. L’ensemble est divertissant et intéressant, sans être pour autant mémorable.

    16/07/2017 à 09:03 1

  • Le Secret de l'Abbaye

    Brigitte Aubert

    7/10 Quelques longueurs à mon goût, mais un style inimitable avec pas mal d'humour, et une enquête très divertissante !

    22/07/2011 à 14:25

  • Le Secret de l'éventail

    Serena Blasco

    5/10 … ou comment Enola Holmes, dans ce quatrième tome de ses enquêtes, en vient à rechercher une jeune femme qui a disparu, en s’intéressant tout d’abord au langage des éventails. J’avais apprécié la première bande dessinée, en me souvenant prioritairement de l’esthétique : sucrée, délicieusement girly (cela n’est pas nécessairement une critique de ma part), avec des teintes charmantes et un dessin exquis. Même si je ne suis pas spécialement fan de ce genre de graphismes, il faut reconnaître à Serena Blasco une patte très particulière et reconnaissable entre mille. En revanche, l’intrigue m’a bien plus laissé sur ma faim. Le coup du langage codé des éventails (en fonction de leur ouverture, de leur position par rapport au visage, etc.) était sacrément intéressant, mais le reste de l’histoire m’a paru bien palot. Une histoire de famille, quelques personnages savoureux, mais au niveau de l’intrigue pure, ça ne vole pas très haut et ne me laissera aucun souvenir durable. Même l’apparition (très furtive) de Sherlock Holmes n’épice guère cette fade affaire.

    11/10/2020 à 18:41

  • Le Secret de la petite demoiselle

    Jess Kaan

    8/10 1903 à Malo-les-bains. Deux personnes sont retrouvées mortes, la première noyée par la marée, la seconde pendue. Les deux victimes étaient des investisseurs et les circonstances de leur décès sont suspectes. Afin de lever le voile sur cette affaire, le directeur du cabinet du maire fait appel à Ernest Hornes. Ce dernier va alors mettre à jour un terrible complot qui tourne autour d’une mystérieuse « petite demoiselle ».

    Issu de la collection Belle Epoque, cet ouvrage de Jesse Kaan est une très belle réussite. S’y conjuguent, avec un talent indéniable, les ingrédients du polar historique, du roman d’action et du livre d’espionnage. En fort peu de pages (environ cent-quatre-vingts), l’auteur nous charme de bout en bout. Les scènes d’action sont très réussies, l’enquête est intelligemment bâtie, et les divers personnages enchantent. Ernest Hornes est, à ce titre, un être que l’on aurait plaisir à retrouver, pratiquant la savate (ce sport lui sera souvent salvateur), toujours prompt à séduire les femmes mais révélant au fil des chapitres un cœur tendre, obstiné et particulièrement efficace. Le lecteur va côtoyer des individus particulièrement retors et savoureux, depuis ces Apaches prompts à user de la violence jusqu’aux conjurateurs en passant par Von Malenhof qui prévient de ses crimes en utilisant des roses blanches. Il serait faux cependant de penser que ce livre n’est que purement distractif : même si Jesse Kaan sème quelques indices au long du récit, la nature de cette « petite demoiselle » n’apparaît que dans l’épilogue. Et il s’agit d’un rebondissement astucieux, érudit et singulièrement détonnant.

    Voilà un bouquin qui arrive sur la pointe des pieds, chez un éditeur malheureusement pas assez médiatisé, et signé d’un homme bien plus connu et reconnu pour ses nouvelles que pour ses romans. Alors profitons de cet avis pour proclamer haut et fort que Jesse Kaan est un auteur qui mérite amplement de plus nombreux échos médiatiques, car l’esprit et l’efficacité qui animent sa plume sont délectables.

    15/12/2016 à 18:31 1

  • Le Secret de la salle aux momies

    R. L. Stine

    6/10 Une première histoire assez gore par rapport aux autres productions de R. L. Stine, bien plus rêche, avec quelques scènes que les plus jeunes trouveront flippantes ou écœurantes. En revanche, le scénario part un peu en vrille, avec des (tentatives d’) explications qui veulent expliquer l’irrationnel de manière cartésienne, mais n’y parviennent pas du tout (ouch, le coup des protéines dans les cheveux…). Mais les ambiances sont suffisamment pesantes et prenantes pour embarquer le jeune lecteur. Mais la seconde histoire est à mon avis ratée : elle part dans tous les sens, sans le moindre fil conducteur, et ne donne lieu qu’à une succession de scènes moyennement surprenantes ou originales.

    04/05/2016 à 22:03 1