El Marco Modérateur

3231 votes

  • La Règle du jeu

    Garth Ennis, Darick Robertson

    7/10 Un premier tome sacrément débridé et jouissif : de l’humour barré et trash, du sexe, des superhéros, mais dans le même temps, ça n’est pas non plus complètement foutraque : il y a un graphisme léché, une intrigue prenante et qui permet une relecture dynamique, incisive et acide de l’univers traditionnel des superhéros, avec force blagues potaches, scènes d’action et originalité. Je n’ai jamais été un gros fan de ce type de littérature, et c’est peut-être justement pour ça que j’ai bien accroché à ce premier tome (assez long en VF car regroupant les six premiers épisodes de la version VO). Je tâcherai de me procurer la suite.

    20/10/2023 à 07:51 4

  • La Reine des Alfes noirs

    Roman Surzhenko, Yann

    7/10 En catimini, Louve part de chez elle avec son fidèle singe pour aller chercher Thorgal à Bag Dadh malgré les récriminations d’Aaricia. En route, il tombe sur le « petit nain » Tjahzi qui la convainc de venir en aide à son peuple, opprimé par les Alfes noirs pour qu’ils leur forgent des haches capables de détruire l’arbre d’Odin. Un tome très imaginatif, saturé de magie, de créatures étonnantes (comme ces hérissons, ces iguanes et ces taupes géantes, tous domestiqués), certes sans beaucoup d’action, mais plaisant par son ton ouvertement fantasy et féérique.

    30/03/2023 à 18:38 3

  • La Ronde des géants

    Jean-Luc Istin, Jacques Lamontagne

    7/10 Le raz-de-marée s’abat sur la ville alors que la Lance de Lug a trouvé un nouveau maître. Après ce carnage, nos protagonistes ne doivent leur survie face à des pirates que grâce à l’intervention d’archers bretons. C’est ensuite vers Stonehenge (on une construction similaire) qu’ils se dirigent. Encore une bonne BD pour cette très bonne série, avec quelques scènes de sexe et un suspense, encore une fois, habilement maintenu sur le final avec une noyade.

    30/07/2021 à 08:20 1

  • La Signature du tueur

    Christophe Miraucourt

    7/10 Très jeune auteur de romans policiers, Arthur Thaur se rend à la foire du livre de Brive pour des séances de dédicaces. Sur place, il y retrouve un ami, Thomas, ayant perdu l’usage de ses jambes depuis un mystérieux accident qui a coûté la vie à sa mère. Alors qu’il s’apprête à participer à un match de sport, Thomas est agressé par un homme cagoulé. Qui est cet inconnu et pourquoi l’adolescent est-il devenu une cible ?

    Troisième ouvrage de la série consacrée à Arthur Thaur après Ce que je n’aurais pas dû voir et Surgi du passé, ce Signature du tueur charmera sans mal les fans de Christophe Miraucourt. L’écriture y est simple et efficace, et l’ensemble est amplement accessible. Le suspense y est intelligemment bâti, les suspects ne manquent pas, et l’on prend un réel plaisir à suivre l’enquête que mène Arthur. Ses déductions sont habiles, et les narrations qu’il écrit au fur et à mesure du récit, où il consigne sur un traitement de texte ses hypothèses et autres versions des faits, constituent autant d’intelligents petits entractes. Si le dénouement n’est pas, en soi, remarquable d’originalité, il est néanmoins intéressant et crédible, et l’on se régale des répliques très drôles de Thomas, toujours ironique et malicieux quant à sa paraplégie.

    Un nouvel opus enthousiasmant à porter au crédit de Christophe Miraucourt, qui ne cesse de séduire le jeune lectorat.

    10/09/2016 à 18:25 1

  • La Terre du bourreau

    Bill Pronzini

    7/10 … ou comment le cowboy Roy Boone, après avoir eu le malheur de rencontrer la jeune et belle Jennifer Todd, en vient à être pourchassé par des cavaliers inconnus et mettre les pieds (plus exactement, les bottes) dans un beau marécage d’emmerdements. Un bon western, très joliment écrit et mené par Bill Pronzini, avec une plume élégante et un style très agréable. J’ai été charmé par la personnalité de Roy, veuf depuis un peu plus de quatre mois d’Emma, vraisemblablement décédée d’un problème cardiaque, toujours très calme, doué de sentiments preux et s’exprimant avec beaucoup d’élégance, au point de passer pour un véritable paladin. L’intrigue, même si elle n’a rien de remarquable, se laisse lire avec plaisir du début à la fin, et l’on est pris par l’engouement de l’histoire, depuis les terres arides du sud-ouest des Etats-Unis jusqu’à bord du Mohave, cet immense bateau où va se dérouler le presque épilogue. On a son compte de fusillades, de traques à travers le désert et de personnages douteux, mais sans jamais tomber dans l’excès. Bill Pronzini a plutôt choisi la voie de la sagesse, avec une trame simple mais efficace, où l’accent est davantage mis sur les sentiments de ses protagonistes et les belles descriptions que l’action pure ou l’éventuelle noirceur du récit. Probablement pas de quoi épiler un hérisson ni marquer durablement mon esprit, mais une lecture très distrayante, originale – moi qui ne lis que rarement des westerns – et un sympathique moment passé pour ce bouquin fort honorable qui prend, parfois, des allures de roman sentimental.

    04/12/2017 à 17:11 3

  • La Théorie du complot

    Arthur Ténor

    7/10 … ou comment Sébastien Karminsky, un collégien un peu asocial et geek jusqu’au bout des doigts, amateur de rumeurs et autres canulars qu’il aime répandre sur la Toile, en vient à être bouleversé par les attentats du 13 novembre… et décide d’en rajouter une couche de complotisme, jusqu’à être contacté par un personnage baptisé « Lucidas » qui va le faire entrer dans une spirale infernale. L’histoire, très crédible, a fait mouche en ce qui me concerne, et je me suis fait embarquer, de la première à la dernière page de ce roman pour la jeunesse, très bien bâti et intelligemment écrit. Arthur Ténor sait ce qu’est un ado, comprend ses angoisses et ses contradictions, et a imaginé un personnage de Sébastien criant de vérité, au même titre que les autres, de Kévin à Hespérie, tout comme sa mère – veuve – qui va vivre le même calvaire que son enfant. La suite de la vrille dans laquelle bascule notre pro de l’informatique et de la désinformation est savoureuse, à la fois plausible, et c’est justement ce qui la rend d’autant plus inquiétante. Une histoire qui était, est et restera d’actualité, et dont je ne « regrette » finalement que la fin, un peu trop heureuse à mon goût, contrairement à « Je suis CharLiberté ! » (du même auteur et un peu sur le même thème), et donc moins percutante.

    05/07/2020 à 19:35 1

  • La Tour fantôme tome 1

    Tarô Nogizaka

    7/10 Le 23 juin 1952, une femme est assassinée par sa fille adoptive sur les aiguilles d’une immense horloge. Kobe, 1954. Amano Taïchi n’a rien pour remplir sa blafarde existence, jusqu’à ce qu’il vienne croiser la route de Tetsuo Sawamura, et la rumeur voulant que cette horloge maudite soit en réalité un coffre-fort, gardant le trésor d’Ihei Echigoya. Un scénario intéressant et original, des dessins estimables (notamment lors de la visite de Magumi dans la tour et sa rencontre anxiogène), quelques éléments inattendus, et suffisamment de suspense pour se laisser emporter d’un bout à l’autre de ce manga. J’ai vraiment bien aimé.

    24/05/2020 à 18:03 1

  • La Vengeance de la momie

    Evelyne Brisou-Pellen

    7/10 Une histoire prenante, quelque part entre le conte initiatique et le roman d’aventures. Un récit efficace, très accessible pour les jeunes lecteurs, et avec une morale pertinente. Assurément, des collégiens y trouveront du plaisir.

    08/06/2014 à 08:40

  • La Vérité sur le cas de M. Valdemar

    Edgar Allan Poe

    7/10 … ou l’expérience de magnétisme pratiquée par le savant P… sur le corps à peine décédé d’Ernest Valdemar. Une nouvelle sombre et fantastique, où ce qui m’a le plus frappé, peut-être plus que la chute, est l’angle d’Edgar Allan Poe pour décrire les gestes du narrateur : précis, médicaux, presque naturalistes et chirurgicaux. Une minutie qui rend d’autant plus troublante cette expérimentation occulte.

    09/06/2020 à 18:09

  • La Veuve blanche

    Jérémie Guez

    7/10 Rien d'exceptionnel à mes yeux au niveau de l'histoire. En revanche, le rythme, la concision et le style noir font toute la différence. Une plume explosive, très visuelle, qui rendent l'ensemble particulièrement prenant.

    02/09/2015 à 13:02 1

  • La Voiture hantée

    R. L. Stine

    7/10 Quelque part entre le « Christine » de Stephen King et les histoires de revenants, un livre assez sombre et bien mené, jusqu’ à une conclusion intéressante. Le style colle parfaitement à ce récit anxiogène et empreint de paranormal. Un livre qui se lit vite et bien, assurément pour de bons instants d’angoisse pour les jeunes lecteurs auxquels il se destine.

    15/12/2016 à 18:35

  • La Volupté du billabong

    Hervé Claude

    7/10 Une histoire intéressante où le croisement des témoignages et des psychologies fera naître la vérité. Des personnages bien campés, crédibles, pour un récit qui oscille entre polar et drame découlant d’amours déçues. Une réussite.

    18/03/2015 à 18:28 2

  • Labyrinthes

    Franck Thilliez

    7/10 Une femme amnésique dont on ne sait rien et qui a massacré un individu. Le psychiatre explique alors à Camille Nijinski, la policière en charge de l’enquête, que la probable coupable lui a fait des aveux, et c’est à son tour de lui expliquer ce qui s’est passé, en gardant en tête « qu’il y a cinq protagonistes dans l’histoire » : la journaliste, la psychiatre, la kidnappée, la romancière, et… Dans la foulée, le lecteur découvre le parcours de plusieurs femmes : Lysine, journaliste, dont on a essayé d’usurper l’identité et qui met la main sur un film atroce en super 8 ; Véra, psychiatre, victime de sensibilité électromagnétique et vivant dans un chalet ; Julie, enlevée et séquestrée par un monstre qui n’est autre que le célèbre écrivain Caleb Traskman.
    Franck Thilliez clôt sa trilogie consacrée à Caleb Traskman, et je n’ai vraiment pas vu les pages défiler. Une entame sur les chapeaux de roues, des chapitres alternant ensuite entre les trois points de vue façon roman choral, une écriture entièrement dédiée à l’efficacité – sans luxe de descriptions ni figures de styles – pour un récit à la fois endiablé et déroutant. J’ai pris beaucoup de plaisir à me laisser mener dans ce dédale littéraire où les surprises commencent vite à affluer et où chaque détail va finir par avoir son importance et apporter sa pierre à l’édifice lors du dénouement final. Entre parties d’échecs et snuff movies, identités usurpées et références à d’autres œuvres de fiction, psychiatrie et folie pure, je n’ai pas vu le temps passer. Le final joue habilement la carte de la relecture du prologue et, une fois qu’on a toutes les cartes entre les mains, la lumière de la vérité apparaît enfin. Cet épilogue est d’ailleurs vraiment bon, apportant toutes les réponses attendues, mais je dois dire que je l’avais un peu vu venir, peut-être justement en raison de ce prologue qui en disait un peu trop même si c’était sans véritablement l’avouer ouvertement ou parce que ce type de partition a déjà été joué en littérature et au cinéma. Bref, malgré cette petite déconvenue ultime, un suspense de haut niveau qui vient clôturer avec habileté un triptyque réussi, l’un comme l’autre parfaitement calibrés. « Ce que je vais vous raconter, c’est comme ouvrir un roman à suspense particulièrement sombre et en prendre pour cinq cents pages de montagnes russes » dit Fibonacci à la douzième page de l’édition poche : à cent pages près, c’est tout à fait ça.

    hier à 08:21 2

  • Lady Commandement

    Didier Quester

    7/10 Une histoire certes simple mais efficace, et une plume prenante. De l’humour bien mené, des personnages caustiques (ce couple qui écrit des récits paillards dont les titres parodiques auraient tous pu figurer dans la saga de Gabriel Lecouvreur), et pas le moindre temps mort. Il est parfois inutile de chercher l’originalité ou l’exotisme, à partir du moment où l’ouvrage séduit et divertit. C’est ici le cas.

    18/07/2015 à 09:09 1

  • Lady Elliot Island

    Christophe Guillaumot

    7/10 Clara est une youtubeuse, influenceuse presque professionnelle, mais son jeune âge ne l’empêche pas de déjà tomber dans les travers de ce milieu : acide, cassante, entourée de sa meute de suiveurs, elle ne voit le monde que du haut de sa tour dorée. Pour son anniversaire, son père lui offre six billets d’avion pour rejoindre Lady Elliot Island, à l’est de l’Australie. Parce qu’il lui reste deux billets sur les bras après avoir confié les autres à ses proches, elle organise un jeu sur les réseaux sociaux pour dégoter les deux derniers voyageurs, qui seront deux inconnus. Mais sur place, l’île réserve de bien mauvaises rencontres et autres incidents : en voudrait-on à Clara ?

    De Christophe Guillaumot, on connaît surtout ses polars destinés aux adultes, comme Chasses à l’homme ou Abattez les grands arbres, et voilà qu’il se lance dans la littérature pour la jeunesse. On est immédiatement pris par le récit : des chapitres qui s’enchaînent brillamment, un rythme qui ne faiblit pas, et des personnages décrits avec un nécessaire vitriol. Clara est très bien croquée : imbue d’elle-même, ne se considérant qu’à l’aune de la fallacieuse et insipide « popularité » des réseaux sociaux, méprisant avec une morgue inouïe celles et ceux qui ne font pas partie de sa caste, et ce ne sont pas ses récents problèmes de vue qui la portent à plus d’humanité. Mais dès que nos jeunes débarquent sur l’île, les imprévus se multiplient : une araignée dans la chambre de Clara, les communications hors service, un incendie, un vol… Le ton policier est réussi, l’ambiance délicieusement oppressante, et la faune locale ne fait qu’accroître cette atmosphère anxiogène. Cependant, Christophe Guillaumot se perd un peu dans le dernier tiers : quelques passages existentiels et presque chamaniques, avec la présence d’un Aborigène, même s’ils sont agréables, débarquent dans le récit de manière inattendue et pas nécessairement harmonieuse. D’autre part, les motivations du saboteur, même si elles sont crédibles, sont sans réelle originalité, au point de décevoir. Mais il n’en demeure pas moins que la peinture du milieu artificiel dans lequel baigne notre héroïne est une réussite.

    A mi-chemin entre le polar et la littérature blanche pour les adolescents, une nouvelle corde à l’arc de Christophe Guillaumot, dont on espère déjà d’autres polars pour la jeunesse.

    07/01/2021 à 18:53 2

  • Lady Vivian Hastings

    Xavier Dorison, Mathieu Lauffray

    7/10 Parce que son mari est allé en Amérique, Lady Vivian Hastings se trouve fort démunie. Mais des émissaires lui apprennent qu’il est encore en vie et a découvert un fabuleux trésor. Elle va alors faire la connaissance de John Silver, alias « Long John », un pirate. Un graphisme vraiment très travaillé et réussi, avec des couleurs envoûtantes (notamment lorsqu’il est question de « Fernando le fou », le conquistador, ou des embarcations). Un scénario également bien maîtrisé, qui donne envie de connaître la suite de cette série, et suffisamment de suspense quant à la personnalité de Silver également pour continuer avec le tome suivant, en plus d’être un beau prolongement et un hommage savoureux à l’univers littéraire de Robert Louis Stevenson. Moi qui ne suis pas, de base, un grand fan des ouvrages d’aventure, voilà qui me réconcilie avec le genre.

    18/04/2020 à 15:28 3

  • Lapoigne à la chasse aux fantômes

    Thierry Jonquet

    7/10 Une sympathique histoire sur l’amitié et les « gens de rien », portée par la plume alerte et si altruiste de Thierry Jonquet. Au-delà de l’intrigue policière qui repose sur des éléments comme l’escroquerie et la médiumnité, de belles envolées sur des personnages habituellement peu représentés dans la littérature, avec cette cohorte de gentils SDF, soudés par un solide ciment humain et l’envie de voler au secours de l’une de leurs amies, tombée sous la coupe d’un aigrefin.

    10/06/2017 à 17:05 3

  • Laurie

    Stephen King

    7/10 Lloyd Sunderland, soixante-cinq ans, a perdu sa femme six mois plus tôt et se laisse aller. Sa sœur vient lui rendre visite, accompagnée d’une chienne qu’elle compte bien lui laisser, histoire de lui changer les idées. Un récit très sobre, habilement mené, et qui est d’un tact et d’une simplicité redoutable. Une tranche de vie, ou plus exactement, des tranches de vie, avec une belle relation entre Lloyd et ce chien qu’il appelle « Laurie ». Finalement, il ne se passe pas grand-chose dans les trois quarts de cette nouvelle, jusqu’à ce qu’intervienne un événement inattendu (ou du moins, inattendu à mes yeux) et qui vienne secouer la vie de notre héros et mette en relief quelques morales qui restent toujours dans l’implicite, et que chaque lecteur peut aller chercher lui-même. L’ouvrage est dédié à Vixen, le chien de la femme de Stephen King (merci à Pascal pour l’information), et l’on comprend d’autant mieux cette dédicace pour cet hommage, discret et dépouillé.

    06/12/2019 à 17:24 4

  • Lazare dîne à Luynes

    Jacques Albina

    7/10 Gabriel Lecouvreur fait la connaissance d’une avocate, Cécile Péri, à son bistrot préféré. La jeune femme a actuellement pour client un homme, Luc Villach, qui s’accuse des meurtres des frères Chardonnet-Belfond. Le cas est d’autant plus étrange que les faits semblent remonter à la mort d’un original, surnommé Lazare, qui est mort de faim à la porte du domicile des victimes. Le présent se serait-il nourri de ce drame du passé ? Et si, pour tout comprendre, ne fallait-il pas tout simplement relire la Bible ?

    Quatre-vingt-huitième enquête du Poulpe signée par Jacques Albina, cet ouvrage reprend les traits caractéristiques de la série. Le ton y est enjoué, l’action assez présente, et Gabriel Lecouvreur, alias le Poulpe, va de nouveau se coltiner à une sacrée brochette de personnages interlopes, en l’occurrence les fanatiques d’une secte ainsi que les membres d’une famille d’aristocrates assez sinistres. L’ensemble se lit avec un grand plaisir, et c’est toujours un petit bonheur littéraire que de suivre les pérégrinations de Gabriel lorsqu’il va savater du taré. L’intrigue, sans être mémorable, retient facilement l’attention du lecteur jusqu’au final, et les quelques tiroirs de l’énigme tels les mobiles des meurtres ou l’explication de l’assassinat en chambre close, sans être prodigieux d’inventivité ou de panache, sont intéressants.

    Un bon petit Poulpe que voilà, décontracté et jouissif, et qui, sans pour autant demeurer dans les annales, permet de passer un agréable moment.

    26/03/2014 à 17:55 1

  • Le 5e Règne

    Maxime Chattam

    7/10 Un bon moment de lecture autour des thèmes que sont la magie et l'enfance. Des clichés, mais un livre tellement sympathique à lire qu'on ne lui en tient pas rigueur.

    15/07/2006 à 23:09 2