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Le Petit Arpent du Bon Dieu
10/10 Patriarche d'une famille du sud des Etats-Unis, dans un coin de la Georgie, Ty-Ty Walden creuse sa terre depuis plus de 15 ans, avec toute sa famille; afin de trouver de l'or. De l'or qui les rendra riches. Ils creusent, creusent, au lieu de cultiver leur terre. Mais point de filon. Pourtant ils brûlent. Ils le sentent jusque dans leurs os. Alors peut-être ailleurs, caché sous un autre arpent.
1930, c'est l'année des souffrances des plus démunis.
Les Walden sont pauvres et considérés comme des White trash. C'est à dire des " Raclures de Blancs ". Un sous-espèce méprisable en-dessous fu derniers "Nègre " analphabète. Des bannis de la société.
Un candidat au poste de shérif suggère de prendre à son service un nègre albinos. Tous savent trouver de l'or.
Et, pendant qu'ils creusent, la beauté et la sensualité des filles et des brus attisent, les désirs, la jalousie. Toute la panoplie de la tension sensuelle.
Erskine Caldwell ne juge pas. Il ne fait que se pencher et nous raconter la vie d'une famille broyée par la misère sociale, broyée par la crise économique la plus dévastatrice.
Un roman magnifique. Entre Jim Thompson et William Faulkner02/02/2022 à 18:00 10
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L'homme au sang bleu
8/10 Nestor Burma débarque à Cannes, loin de la rue Mogador et de la rue des Petits-Champs. Mais, ici aussi, les cadavres s'accumulent autour de lui. Dont celui qui l'a engagé. Malfrats; fausse mornifle, magouille, macchabées. L'ordinaire en fait.
Pendant son enquête Burma pose se pénates à l'Hôtel du Cirque - un nom prédestiné - où l'accueille une ancienne connaissance et collaborateur occasionnel. Puis, Hélène Châtelain débarque également pour le seconder.
Ambiance de la fin des années 30, quelques mois avant "L'attaque du train d 'or". Une bonne histoire de Nestor qui met toujours le mystère ko, sans Marc Covet et Florimond Faroux.02/02/2022 à 16:57 4
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Fleurs amères
8/10 Varg Veum réapparait enfin sobre après une longue cure de désintoxication. Lisbeth Finslo, une kinésithérapeute qu'elle a eu comme patient, lui trouve un job le plus simple. Le gardiennage d'une bicoque pour gens friqués qui se trouve à Kleiva. Lors de la première visite, ils tombent sur un macchabée au fond de la piscine. Un certain Tor Aslaksen. Puis, la kiné semble s'être tirée.
L'enquête de Varg Veum va le mener jusqu'au Schroder-Olsen et à leur usine assiégé par des manifestants écologistes et aux déchets toxiques. Puis, peu à peu va converger vers Camilla, un petite fille disparue ou morte huit ans plus tôt, vers Siv une jeune femme de vingt-six ans qui se comporte comme fillette jusqu'au parents de Camilla.
Les Schroder-Olsen sont des monstres ordinaires engraissé de cupidités. Rien que les affaires.
Veum enquête en promenant son humour singulier à la première personne et se prend pour Hercule Poirot lors du dénouement. Une légère déception les chapitre 50 et 51 que j'ai trouvés un tantinet exagérés.
Malgré ce petit désagrément, c'est un très bon polar.
02/02/2022 à 01:21 7
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Le Témoin solitaire
7/10 L'histoire est simple. L'intérêt est ailleurs.
Résumons l'intrigue. Nous sommes à Brooklyn et surtout de le quartier populaire de Gravesend où Amy vit une autre vie quasi monacale dans un minuscule appartement au sous-sol d'un immeuble, fréquente une église aide des personnes âgées, vivote avec de petits boulots. Auparavant, elle bossait au Seven Bar, faisait la fête avec ses "petites" amies. Alors qu'elle suit un type. Celui se fait refroidir en pleine rue. Que peut-on faire lorsque l'on témoin d'un crime. s'enfuir ? Prévenir les flics ? Ou bien, découvrir qui est le meurtrier ? Amy prend sa décision vers à la page 63, chapitre 6. Amy accumule les mauvaises décisions, les mauvaises rencontre, et collectionne les occasions ratées. On suit Amy... Lynn Therese Falconetti, ( est un clin d'oeil à Renée Falconetti qui a tenu le rôle principal dans la passion de Jeanne d'Arc de Dreyer. Est-ce usant, fastidieux de la suivre dans les rues de Brooklyn. Sans doute. Mais on s'y habitue. L'ambiance New-Yorkaise est palpable.
L'histoire prend un second souffle lorsqu'Allessandra, l'amie, apparait et au moment où Fred, le père d'Amy, s'interpose.
Un roman que j'ai apprécié même s'il m'apparaît en deçà de L'amitié est un cadeau à se faire.30/01/2022 à 13:43 4
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Flic maison
8/10 Dash Hammett ce n'est que six romans et 65 nouvelles. Peu pour certains. Mais un auteur incontournable. On ne peut qu'adorer celui qui a réussi à mettre le crime dans le caniveau. Le recueil regroupe 7 nouvelles qui nous replongent dans l'Amérique des années 20. Celles que l'on connait à travers les films en noir et blanc à photographie parfaitement maîtrisée. Ici, pas de privé riche, aisé ou usant avec habilité ses petites cellules grises. Ici, comme d'autres, il est fatigué, las, il a planqué et il planquera encore, il a bu et soulera, il a encore la chance d'avoir évité les balles jusqu'ici, de faire son job pour le peu de dollars que l'on lui offrent, de rien lâcher et de ne pas se laisser entuber.
Le privé sans nom solitaire de la Continental Op bosse pour l'agence de Los Angeles. il planque donc, surveille, passe la frontière du Mexique. Règlement de compte, vols, chantage et des types ou des femmes ordinaires.
Mes préférées : "Pièges à filles"," Au fer à cheval d'or" et "l'Eléphant vert".
29/01/2022 à 20:23 5
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L'Ange rouge
8/10 Le Commandant Alain Dubak n'est pas un flic ordinaire. Flic borderline. Respecter la procédure et une certaine déontologie ce n'est pas son truc. Il cogne, il frappe pour obtenir d'un gars louche, d'un dealer, d'un suspect ou d'un témoin, qu'il se mette à table, qu'il se "confie" ou qu'il "crache le morceau" le plus vite possible. Ancien des Stups et accro à la coke, il, ainsi que sa fine équipe, se voit confié l'affaire du crucifié de la Saône. Nous sommes en 1998.
Une plongée hallucinante dans un Lyon sombre, à la poursuite d'un serial-killer.
ici, les assassins et les flics se ressemblent. Ce sont des écorchés vifs et ils ne sont pas des anges. Pourtant, j'ai apprécié le personnage de Mamy, la Capitaine Nicole Piroli.
Un roman noir très sombre. Un dénouement brutal.
Un style vif, saccadé et répétitif. Ecriture nerveuse. Un rythme efficace.28/01/2022 à 17:49 4
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Marcas
Éric Giacometti, Jacques Ravenne
8/10 55, rue du Faubourg-Saint-Honoré, le Palais de l'Elysées. La cérémonie de passation des pouvoirs s'achève quand le chef de l'état encore poste révèle à son successeur l'existence du cinquième rituel. Un secret qui se transmet entre présidents. Cinq plus tard, la grogne sociale, le covid, et ce secret refait surface. Un cambriolage et un meurtre rue Cadet.
Marcas, un peu cabossé, reprend du service. avec l'IGPN aux fesse, et comme renfort auprès d'Alice Grier, flic au "Bastion".
Une histoire échevelée. Des bords de la Dordogne dès le 13e siècle jusqu'à Moscou. Je vous laisse découvrir comment Marcas va parvenir à fuir et regagner Paris et ce qui se passe dans les entrailles de certains instituts moscovites.
Du suspense, un soupçon de fantastique.
Un très bon moment de lecture.25/01/2022 à 01:04 4
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La patience de l'immortelle
8/10 Gjhulia Boccanera - Diou pour les plus proches - détective privée qui exerce à Nice est contactée par Jo(seph) Santucci, son ex compagnon et commandant de police dans la même ville. Il lui demande de l'aide. Letizia Paoli, sa nièce et journaliste à France 3 Corse, a été retrouvée carbonisée dans le coffre de sa propre voiture du côté de Sartène.
vingt ans après l'avoir quittée, Diou débarque donc en Corse sans en connaître les codes ou sans les avoirs assimilés. Détective désenchantée, désabusée, nous tutoie. On devient proche, un ami, un confident.
On comprend que les relations familiales sont particulièrement difficiles. Surtout en Diou, Antionette, Diane. Des personnages féminins avec leurs forces et leurs faiblesses, leurs secrets qui les unissent ou les séparent. Puis la petite Marie Stella, ce rayon de soleil.
Entre chagrins, drames, magouilles, vols, écobuages clandestins avec comme décor la sublime Corse sauvage.
L'intrigue est parfaitement maîtrisée. Le roman est bluffant.
C'est ma première rencontre avec Diou. Je vais lire ses précédentes aventures et suivre Michèle Pedinielli.23/01/2022 à 14:37 5
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Le Baiser des Crazy Mountains
9/10 Max Gallagher, un écrivain en mal d'inspiration, plutôt en déclin, s'est réfugié dans un bungalow isolé sur un versant des Crazy Mountains, avec une vieille machine à écrire et du Bourbon. Lorsqu'il allume un feu dans la cheminée, il découvre que le conduit est bloqué par un cadavre. C'est celui de Cindy Huntintong, 16 ans, qui a disparu il y a plusieurs mois. A la demande et par l'entremise de Martha Ettinger, Sean Stranaghan va être engagé par Etta, une ancienne star du rodéo et la mère de la victime pour enquêter sur cette mort atroce et surtout comprendre pourquoi elle a fugué.
Ici moins de pêche à la mouche. Mais toujours ce Montana omniprésent et grandiose, rude, des personnages attachants principaux ou secondaires, tous crédibles. Des femmes membres d'un club libertin, des "Cowboys" abjects.
Une intrigue solide. Une série excellente policière. Que du plaisir.
22/01/2022 à 10:34 5
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Nos derniers festins
8/10 2044 et son été plus que caniculaire. Viandards, Végans, Locavores et autres Extrémistes ou autres Intégristes s'affrontent. L'état à instaurer le Permis Plats-Santé à points. 20 en tout. Que l'on risque de les perdre en quelques plats si on mange trop salé, trop sucré, trop gras. Et on risque de perdre aussi sa couverture santé. Sous le couvert de protection, on flique les citoyens.
Un cuisinier clandestin s'est fait refroidir pendant qu'il préparait une blanquette de veau où les groupes financiers ont des appétits gigantesques.
Trois personnages dominent. Deux contrôleurs alimentaires. Anna Janvier, gloutonne et une sorte d'arrière-petite fille d'Antoine Bérurier, et de son subordonné, Ferdinand Pierraud, débarquant de Paris, ne supportant et allergique aux fruits - (Un comble, le Pôvre). Et puis, il y a Lou, aux commandes du Mas des Collines, un restau " 4 tables " dont elle n'est plus la propriétaire, ex militaire, ex taularde.
L'histoire de l'enquête passe au second plan. il reste cette dystopie effrayante et cocasse où les groupes financiers ont toujours les mêmes appétits voraces.
Original.
J'ai beaucoup apprécié
20/01/2022 à 00:30 5
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1991
9/10 1991, au temps où au 36 on bossait encore à l'ancienne. L'époque du minitel, (encore) de la machine à écrire et du fax. 1991, nous plonge dans les débuts de Sharko. 30 piges un bail.
... Donc, jeune inspecteur, 30 ans, débarque de son Nord avec illusions, sixième d'un groupe qu'il intègre, il est affecté aux archives pour se consacrer aux affaires non élucidés. Et plus particulièrement, sur l'affaire des Disparues du Sud Parisien.
Cependant, Sharko va être vite confronté à la rude réalité de son job, lorsqu'il croise Philippe Vasquez.
Franck Thilliez tisse une très bonne histoire et nous offre deux enquêtes qui ont certaines similitudes.
1991 est une très mécanique sombre et impitoyable où les plaies ne se cicatrisent jamais.
J'ai beaucoup apprécié cette plongée dans le Passé de Sharko.
18/01/2022 à 20:58 10
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Crise de nerfs
8/10 Août 1962 et la mort brutale de Marylin Monroe qui assombrit déjà tout dans la chaleur de l'été. Les vacances au camping de Saint-Laurent-du-Var et salut-les-copains, des scoubidous, voilà pour le côté idyllique. Deux couples avec leurs enfants, mal assortis, mal mariés, mal aimés. l'infidélité conjugale, voilà pour les ingrédients dramatiques. On agite et on obtient une excellente intrigue dans laquelle certains personnages apportent leurs points de vue.
L'un des meilleurs des " Petits Polars"
J'ai beaucoup aimé. Mais dommage que cette histoire se résume qu'à quelques 43 pages. Elle aurait mérité davantage.13/01/2022 à 18:39 1
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Un trou dans la zone
7/10 Une intrigue noire jusqu'à la chute brutale. Un rythme assez échevelé qui devient plus énergique lorsque le Poulpe débarque en Ardèche.
Un opus dans la moyenne de la saga. Bien construit malgré qu'il manque quelque chose en ce qui concerne Miette, la gamine imprévisible. Juste quelques pages - une ou deux, pour la portraitiser et la comprendre.12/01/2022 à 20:52 2
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Méfie-toi, fillette
8/10 Jeanne une étudiante de 20ans, immature, irresponsable, cachotière, qui a du caractère, qui se ne laisse pas démonter, qui brusquement croit tomber sur le grand amour de sa vie quai B du RER de la station des Halles avant d'être confronter à un groupuscule qui prépare un attentat.
Jeanne sprinte, court, grimpe, tombe sur moins de cent pages. Un rythme élevé. De l'humour. Un très bon moment de lecture.11/01/2022 à 22:19 2
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True Story
8/10 Un roman à la construction particulière. Une sorte de puzzle littéraire sur les conséquences d'une rumeur qui vous broie et vous torture. Est-ce vrai ou faux.
la rumeur est un piège qui nous dévore entre faux-semblants et non-dits.
L'auteure y mêle point de vue des protagonistes, journal intimes, textos, scénario. Et il faut attendre les dernières pages pour connaître la...
Audacieux dans sa forme, audacieux dans le fond.
Une très belle découverte.08/01/2022 à 19:59 3
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La Règle de quatre
5/10 Je suis allé jusqu'au bout (de la version poche). Et j'ai été déçu. Je me suis fait avoir en lisant la quatrième page de couverture. Cela m'arrive.
Pourtant, j'imaginais que j'allais découvrir un roman proche du Club Dumas d'Arturo Pérez-Reverte que j'ai apprécié.
Et, toute monde... ne peut pas être Umberto Eco.
Pourtant, "l'intrigue" m'apparaissait géniale ou intéressante. Mais ici c'est long, ennuyeux, traitée d'une écriture désinvolte et paresseuse, un manque évident de maîtrise de la narration et la description de la vie estudiantine de Princeton ne fait que nous perde et nous égarer.
Je l'ai lu il y a trois ou quatre ans et j'ai eu une pensée aux traducteurs Hélène Le Beau et François Thibaux.
07/01/2022 à 14:02 4
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Le Quaker
8/10 Glasgow en 1969. Un tueur en série qui a la manie de citer la bible. Il prend pour cible des jeunes femmes profitant de leurs soirées dans un dancing. Le même mode opératoire. Après les avoir violées, ils les tue en les laissant quasiment nues dans les rues. Le Quaker a toujours filé entre les mailles des flics. Pour y remédier on fait appel à Ducan McCormack flic solitaire et détesté par tous ses collègues.
C'est glauque, lugubre, poisseux, dans un Glasgow, face sombre, qui se transforme et dont les quartiers se vident de ses habitants. Une intrigue bien ficelée. Un rythme un peu lent mais on reste attaché à cette à histoire et particulièrement à ses personnages.06/01/2022 à 19:51 5
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Le cri de la fiancée
8/10 Une excellente intrigue servie par le dessin sobre et sombre d'Anthony Pastor.
Une réussite cette BD.
Je ne fais que confirmer les commentaires qui ont été déjà faits.02/01/2022 à 08:21 2
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Un été 22
9/10 Un véritable bijou. Déjanté pendant quelques cinquante pages.
Un amour de nouvelle.02/01/2022 à 08:12 3
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À vol d'oiseau
9/10 Tandis qu'il cherchent le lieu idéal ou approprié pour le mariage de Cady, le shérif Walt Longmire et Henry Standing Bear assistent au suicide d'Audrey Plain Feather depuis le sommet de Painted Warrior.
Ils vont s'immerger dans cette enquête pour comprendre si c'est vraiment un suicide, d'un dramatique accident ou d'un meurtre et côtoyer l'agent Fédéral Cliff Cly et surtout la très belle, la très énergique, la très zélée Lolo Long, la nouvelle Long, la nouvelle cheffe de la police tribale.
Un Walt Longmire toujours pétris d'humanité. De l'humour.
Un régal de lecture.02/01/2022 à 08:10 4