Charliebbtl

128 votes

  • Les Temps sauvages

    Ian Manook

    9/10 Qui a aimé « Yeruldelgger » aimera « Les Temps sauvages ». En tout cas, moi je considère définitivement Ian Manook comme un grand du polar français. C’est tout de même le seul auteur capable actuellement de te faire kiffer des enquêtes se déroulant au fin fond de la Mongolie. Un excellent polar.

    26/04/2020 à 20:34 3

  • Loup et les hommes

    Emmanuelle Pirotte

    10/10 Un petit chef-d'oeuvre, et encore le petit est de trop. Sans doute l'un des plus beaux romans que j'ai pu lire ces dernières années, digne des grands romans du XVIIIe siècle. Un style magnifique et une histoire de fraternité complexe qui vous mènera dans l'Amérique des premiers temps. Le problème avec un roman comme celui-ci, c’est qu’il est tellement beau qu’essayer d’en parler ne saurait qu’en appauvrir la richesse. Alors je vous encourage très fortement à le découvrir.

    05/06/2020 à 17:43 3

  • Metropolis

    Philip Kerr

    7/10 Une lecture plutôt agréable mais qui brille plus par la description de son contexte historique que par son intrigue policière plutôt classique.

    01/12/2020 à 22:58 3

  • My Absolute Darling

    Gabriel Tallent

    7/10 Personnellement, ce fut une lecture assez compliquée voire difficile non du fait de la qualité littéraire du roman qui est indéniable mais de sa thématique particulièrement oppressante et douloureuse. Pour « survivre », il m’a fallu mener deux lectures de front, ce qui est assez rare chez moi. Un roman à lire sans aucun doute mais si vous filez un mauvais coton, attendez quelques jours avant d’ouvrir les premières pages car vous risquez de vouloir en finir rapidement avec la vie.

    01/05/2020 à 07:55 3

  • Par le vent pleuré

    Ron Rash

    8/10 Un roman qui se lit en quelques heures et qui, outre une histoire complexe de fraternité, nous offre des tableaux magnifiques des paysages appalachiens.

    29/05/2020 à 23:30 3

  • Présumée disparue

    Susie Steiner

    4/10 "Tout cela pour ça", c’est sans doute la formule qui convient le mieux pour décrire l’intrigue de ce roman et l’expérience que vit le lecteur en tournant ses pages.
    Concernant l’intrigue, elle est anéantie dès le titre. Mais pourquoi tant de haine ? Et le comble, c’est que pour arriver à son dénouement (plus de 500 pages quand même!), on nous fait subir une pseudo-enquête qui n’avance pas. Même un paresseux aurait été flashé pour excès de vitesse en comparaison de la manière dont est menée cette investigation qui laisse penser que nous avons affaire à une équipe de bras cassés. On a même l’impression parfois que, consciente du peu de substance de son intrigue et du manque de charisme de ses personnages, Susie Steiner a préféré privilégier des chemins détournés qui, au lieu de laisser son lecteur dans le doute, se transforment en des digressions totalement hors-sujet. Manon Bradshaw devient alors une nouvelle Bridget Jones, en version tête à claques (Je me suis même demandé s’il n’y avait pas une référence à "Sex in the City", mais à ce niveau j’ai préféré éviter d’approfondir la question). Certains compatiront sans doute sur ses déboires amoureux. Pour ma part, au bout de 400 pages, je me suis dit qu’il n’était pas étonnant qu’elle soit seule, tant elle est exaspérante. Un passé douloureux n’explique pas tout ! Et le comble, c’est que tous les personnages sont du même acabit : entre le Stuart, dragueur et Casanova de pacotille, et le Davy à l’optimisme quasi sans failles… Tous à baffer ! On fera, peut-être, une petite exception pour le personnage de Lady Hind qui gagne un peu en prestance à la fin du roman en assumant sa position sans pleurnicher.
    En ce qui concerne l’expérience du lecteur, ben, on s’ennuie, on s’ennuie, on s’ennuie, aurait pu dire Danton. On a l’impression d’être au volant d’un diesel qui n’arrive pas à passer la seconde. C’est absolument terrible ! Et la faute à tout cela, c’est cette incapacité de l’auteur à suivre une ligne de conduite. On nous perd constamment au point que l’on se demande parfois dans quel type de roman on s’est engagé. Roman policier ? Roman sentimental ? Young Adult (si, si pour certains passages, on en est là) ? Roman noir ? Enfin, pour résumer, le lecteur est lui aussi « présumé disparu » avant la fin. Et je ne vous parle pas du dénouement : plus tiré par les cheveux, tu meurs ! C’en est presque pitoyable mais c’est aussi très révélateur de l’impression d’enfant gâté qui caractérise nombre de personnages de ce roman (et le comble, c’est que la plupart ont très largement dépassé la trentaine…).
    Je ne m’étendrai donc pas plus longtemps sur le sujet car, vous l’aurez compris, je n’ai pas du tout aimé. Tentez votre chance, cela vous plaira peut-être. On ne sait jamais. Si vous cherchez, cependant, un roman (bien que lent au départ) mettant en scène les interrogations d’une famille sur la disparition de leur fille mais se terminant en feu d’artifice, je vous conseille plutôt "La Descente" de Tim Johnston.

    04/04/2020 à 18:45 3

  • Un Fruit amer

    Nicolas Koch

    8/10 Vous avez vu le film "Mississippi Burning" d’Alan Parker ? Personnellement, j’avais 15 ans quand j’ai découvert ce petit chef-d’oeuvre cinématographique et j’en ai encore des frissons. Eh bien, en lisant le nouveau roman de Nicolas Koch, j’ai cru revenir 30 ans en arrière tant j’ai ressenti cette même sensation d’angoisse et de gêne qui m’avait dérangé à l’époque devant la mise en image de cette facette de l’histoire des Etats-Unis, pays qui se targue pourtant de donner des leçons d’humanité au monde entier. Un très bon premier roman.

    11/04/2020 à 07:51 3

  • Alerte rouge

    Marshall Karp, James Patterson

    6/10 Alors, la sortie d’un nouveau Patterson, c’est toujours pour moi la promesse d’une chouette après-midi de lecture. Le bonhomme connaît son métier et la manière de visser un lecteur dans son fauteuil jusqu’à ce que la dernière page soit tournée. Pour cela, rien de plus simple que de reprendre la recette habituelle :
    Deux flics bien connus de son lectorat : Zach Jordan et Kylie MacDonald, anciens amants (avec un Zach qui n’a toujours pas digéré la rupture malgré sa nouvelle compagne chaude comme la braise en plus d’être psy, Cheryl). On pourra découvrir la chronique de leur précédente enquête ici ;
    De multiples enquêtes qui se croisent sans cesse afin de rendre le lecteur encore plus acco. Enquêtes qui, comme d’habitude, nous entraînent dans le milieu privilégié de la High-society américaine avec son lot d’aigreur, de coups bas et de perversité. A cela, s’ajoute une troisième enquête « sous le manteau » concernant des joueurs de pokers rançonnés par deux gugusses frôlant le ridicule par leur amateurisme.
    Alors comme d’habitude, ça bouge, ça explose, ça provoque des courses-poursuites en plein cœur de Manhattan. On nous emmène même faire un petit tour en jet privé en Thaïlande pour les besoins de l’enquête. On tape sur les riches en les rendant toujours aussi peu empathiques face au sort des pauvres, on en profite pour égratigner la justice et ses représentants aux mœurs pas très catholiques, on cause pratiques sexuelles débridées, dressant ainsi le portrait d’une Amérique (voire d’une humanité) guère reluisante. Mais voilà, il m’a manqué ce petit quelque chose. J’aurais tendance même à dire que trop d’enquêtes tue l’enquête car on se disperse et on se demande si c’est bien au profit de l’intrigue ou simplement pour atteindre le quota de pages attendus.
    Alors oui, j’ai passé un bon moment de détente en lisant ce roman mais il faut l’avouer, l’intrigue est un peu trop facile. On aurait aimé des situations un petit peu plus tordues, des personnages plus machiavéliques que pervers ou blasés. Un peu plus de suspense également. En gros, c’est un roman qui se lit mais qui nous laisse un peu sur notre faim.
    Et puis le côté romance loupée avec un Zach toujours autant obsédé par son ex qui s’en fiche comme de l’an 40, je pense qu’il faudrait passer à autre chose pour le prochain volet de leurs aventures parce qu’en toute honnêteté, le Zach en devient un peu ridicule et la Cheryl va finir par se lasser à mon avis.
    Au final, un polar qui vous permettra d’occuper une après-midi détente même si on espère retrouver un peu l’élan d’avant de Patterson dans ses prochains romans.

    04/04/2020 à 18:48 1

  • Canicule

    Jane Harper

    7/10 Ce que l’on peut dire de ce roman, c’est que la tension est omniprésente de la première à la dernière page. La présence d’Aaron lors des obsèques de la famille Hadler instaure une atmosphère qui ne va cesser d’être étouffante et pas seulement pour des raisons météorologiques. Un bon polar à découvrir si ce n’est déjà fait.

    16/05/2020 à 07:38 2

  • Celui dont le nom n'est plus

    René Manzor

    9/10 Un polar ésotérique (sans tendance à l'encyclopédisme) efficace et au rythme haletant que je recommande très fortement.

    11/05/2020 à 17:40 2

  • Derrière les portes

    B. A. Paris

    7/10 On ne sera pas étonné de retrouver dans ce roman une influence de Gillian Flynn ("Les Apparences") car là aussi, tout repose sur les apparences. Mais à la différence de l’auteur américain, les deux intrigues sont entremêlées. En effet, se succèdent systématiquement un chapitre consacré au passé et un autre au présent créant un suspens de plus en plus intense puisque les histoires sont irrémédiablement amenées à se rejoindre pour un épilogue étonnant. Après la lecture de ce thriller, vous ne regarderez plus jamais vos voisins de la même manière tant il peut se passer des choses surprenantes et étranges derrière les portes.

    30/04/2020 à 19:51 2

  • Diamants de sang

    Marshall Karp, James Patterson

    6/10 Un James Patterson et Marshall Karp fidèle aux précédents. Un rythme toujours aussi effréné même si l'intrigue en elle-même n'est pas des plus originales (la mort d'une actrice d'Hollywood pour une rivière de diamants). Mais il vous offrira un chouette après-midi de lecture en oubliant, durant quelques heures, la morosité actuelle. On retiendra surtout le personnage d'Annie Ryder qui est sans doute la plus grande réussite de ce nouvel opus des aventures du détective Zack Jordan et de sa partenaire Kylie MacDonald.

    18/04/2021 à 19:36 1

  • Du Bleu dans la nuit

    Jean-Charles Chapuzet

    7/10 Cette oeuvre rentre difficilement dans les catégories de romans habituelles. Sans doute, doit-on plutôt le qualifier de « récit » centré sur un fait divers réel. Le narrateur, dont on ignore le nom mais qui parle à la première personne (Est-ce l’auteur ? un personnage fictif ?), se décide, quelques années, après l’affaire, à essayer de retracer les 24 heures qui ont séparé le moment de l’enlèvement et le sauvetage de l’enfant. C’est donc, à travers les témoignages qu’il recense des enquêteurs de l’époque, qu’il réussit ainsi à faire vivre quasiment minute par minute les heures qui ont suivi l’enlèvement. Le lecteur se retrouve ainsi plongé au cœur de l’affaire et de la cellule mise en place par des gradés tous aussi charismatiques les uns que les autres. On comprend alors mieux comment ce genre d’enquêtes est menée, les doutes et les espoirs qui gagnent tour à tour les équipes sur le terrain. Au final, un « récit » atypique mais qui séduit par son ancrage dans une réalité déstabilisante voire incompréhensible pour beaucoup, et pourtant si proche de nous.

    12/04/2020 à 20:50 2

  • En lieu sûr

    Ryan Gattis

    7/10 Un roman noir "urbain" qui ne répond pas à tous les codes du genre puisqu'il tend à donner un peu d'espoir au cœur d'une société et d'un monde qui partent à vau-l'eau. Deux héros, l'un repenti, l'autre toujours membre d'un gang, mais qui ouvrent ensemble les yeux sur leur "avenir" qu'ils peuvent, en fonction de leurs choix respectifs, rendre meilleur ou réduire à néant. Moi qui ne suis pas un grand fan de roman noir, j'ai trouvé celui-ci particulièrement réussi.

    31/08/2020 à 13:37 2

  • En sacrifice à Moloch

    Åsa Larsson

    8/10 Tout comme "Tant que dure ta colère", je dois dire que cette lecture a été plutôt agréable. On est là encore dans un polar somme toute très classique mais efficace. On se plonge avec délice dans les aventures de Rebecka Martinsson et de ses acolytes, l’inspecteur Anna-Maria Mella et le maître-chien Krister Eriksson. On retrouve une nouvelle fois ce va-et-vient entre passé et présent, Asa Larsson appréciant d'explorer les secrets familiaux du passé au travers du présent. Une lecture sans prétention que je recommande chaudement.

    04/06/2020 à 07:17 2

  • Jeu de massacres

    James Patterson, Howard Roughan

    8/10 Encore une fois James Patterson a fait mouche, selon moi. Il reprend la même recette : des chapitres très courts, un rythme endiablé, des morts à la pelle et des enquêteurs un peu dépassés mais déterminés. Toujours pas de super flics, mais des êtres désireux de mettre un terme à une mise en scène morbide organisée par un meneur de jeu adepte des parties de cartes. Au final, une recette qui m’a, encore une fois, offert un chouette moment de lecture. D’aucuns diront que c’est du polar de gare. Eh bien, oui ! Mais de temps en temps, cela ne fait pas de mal et ça vide l’esprit pour quelques heures.

    05/04/2020 à 17:49 1

  • La Chimiste

    Stephenie Meyer

    3/10 Que dire de ce roman sans être désagréable ? Ben on dira déjà : beaucoup de pages (700 quand même) pour pas grand chose. Un roman sans grand intérêt si ce n’est pour servir de somnifères aux insomniaques sévères.

    27/05/2020 à 20:44 2

  • La Cité de feu

    Kate Mosse

    8/10 Je dois avouer que la lecture de ce roman bien épais (600 pages) s’est révélé être finalement une très agréable surprise. En effet, je n’avais pas lu la première trilogie de Kate Mosse mais la thématique de ce nouveau roman fait sans doute partie de mes périodes historiques de prédilection. Et je ne cache pas que le fait qu’une bonne partie de l’histoire se déroule à Toulouse a beaucoup aidé également à mon adhésion. En effet, les scènes toulousaines se déroulent à quelques centaines de mètres de chez moi. En somme, je me suis retrouvé ainsi plongé en plein cœur de l’intrigue malgré moi.
    Ce qui est intéressant dans ce roman, c’est que, dès le prologue, on constate que nous nous lançons dans une aventure au long cours, dans la mesure où l’on se retrouve au XIXe siècle en Afrique du Sud. On pourrait ainsi penser que l’on nous a vendu du rêve et, pourtant, tout s’explique très rapidement puisque cette scène se révèle être la conséquence de faits s’étant déroulés plus de 300 ans auparavant. Alors que le prologue s’achève sur un « drame », Kate Mosse entretient le suspense en nous ramenant en quelques secondes aux prémices des guerres de religion en plein Languedoc. On comprend alors que la résolution de l’énigme soulevée dans le prologue devra attendre le troisième tome, ou comment savoir mettre en place un teasing de malade.
    Pour ce premier tome, je dois reconnaître que l’intrigue est parfaitement maîtrisée, mêlant vérités historiques et fiction de qualité autour d’un secret de famille teinté de jalousie et de désir de vengeance. C’est passionnant et particulièrement addictif. Chaque personnage a un véritable rôle à jouer dans la résolution de l’énigme qui démarre avec un simple courrier anonyme remis à Minou (surnom de Marguerite Joubert) alors que la répression contre les huguenots commence à poindre dans le Languedoc : "Elle vous sait en vie".
    Qui est ce « elle » ? En quoi cette connaissance pourrait s’avérer dangereuse pour la jeune fille ? Voilà quelques questions auxquelles Minou va devoir répondre afin de comprendre quelle destinée lui est réservée dans un contexte historique plus que tumultueux. Kate Mosse, là encore, réussit à entretenir ce suspense tout en dévoilant peu à peu le mystère à travers des chapitres de monologue intérieur où ce fameux « elle » explique peu à peu ses motivations à vouloir impérativement retrouver Minou.
    Quant aux personnages, j’ai surtout apprécié le binôme Piet/Vlad, sorte de frères ennemis dont l’amitié est anéantie lorsque les rivalités religieuses entre catholiques et huguenots commencent à se matérialiser dans les faits. Les scènes de barricades et de démolition de certains quartiers toulousains sont à la hauteur de la rupture du lien qui les unissait adolescents. Chacun est dévoué à sa cause. Piet choisit le camp huguenot car il ne parvient pas à comprendre les valeurs chrétiennes fondées sur des superstitions, des mensonges et des ambitions finalement peu catholiques. Quant à Vlad, on peut lui trouver un petit côté Frollo par son incapacité à combattre ses pulsions amoureuses. Mais c’est surtout son ambition personnelle qui rend le personnage antipathique et si révélateur de l’aveuglement du clergé de l’époque pour qui tous les moyens étaient permis afin d’anéantir la « menace » protestante. On peut, toutefois, se poser la question à la fin du roman : qui, de Piet ou Vlad, mérite le Paradis ? La réponse est finalement assez vite trouvée.
    L’épilogue prépare enfin le lecteur à une attente presque fiévreuse du second tome qui s’annonce particulièrement sanglant. En effet, Kate Mosse a décidé de le placer sous le signe de l’épisode emblématique de cette période : le mariage entre Henri de Navarre et Marguerite de Valois et, bien entendu, la nuit de la Saint-Barthélemy. Réussira-t-elle à faire aussi bien que Dumas avec "La Reine Margot" ? On l’espère grandement.
    Au final, un roman que je vous encourage vraiment à découvrir, que vous soyez amateur de roman historique de bonne qualité ou simplement d’intrigue à suspense qui se lit sans fin. Pour ma part, je n’hésiterai pas à me lancer dans le second tome dès sa sortie.

    05/04/2020 à 12:40 2

  • La Fureur de Frédégonde

    Eric Fouassier

    8/10 Cette suite est totalement fidèle à l’univers des romans d’Eric Fouassier : Histoire, intrigues, amour et trahison. En cela, j’ai retrouvé dans ce nouveau volet tout ce qui me plaît chez cet auteur qui, comme toujours, réussit subtilement à réunir la véritable Histoire avec une enquête totalement inventée et qui, pourtant, aurait pu tout à fait finir dans des volumes d’Annales. Au final, un deuxième volet qui répond pleinement aux attentes créées par le volet précédent. On espère voir rapidement naître de l’imagination d’Eric Fouassier un nouveau roman voire une nouvelle saga tout aussi passionnants. C’est en tout cas mon souhait.

    13/04/2020 à 22:01 2

  • Là où elle repose

    Kimberly McCreight

    10/10 Un polar que j'ai littéralement dévoré. L’intrigue se déroule dans un microcosme où tout le monde devrait se connaître et pourtant ! L’auteur réussit à mettre en place des interconnexions entre les différents personnages et tisse son intrigue comme une araignée sa toile afin de nous entraîner vers un dénouement plein de surprises. Une véritable réussite !

    13/05/2020 à 07:45 2