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Les Ogres du Gange
9/10 Je me suis régalé, j'en ai pris plein les mirettes. L'auteur m'a transporté à Calcutta, dans une histoire particulièrement passionnante. Je viens déjà d'ouvrir la suite pour rester dans l'ambiance !
02/04/2012 à 21:35 1
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Luz
7/10 Une histoire douce-amère, la nouvelle petite perle de Marin Ledun.
25/03/2012 à 22:00 2
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Le Dernier Contrat
9/10 Le parfait opus de la collection Vendredi 13 pour aller de paire avec le Samedi 14 de JB Pouy. Un polar dont la dose d'anticipation n'est pas si loin que ça de notre quoitidien. Une fois que l'on s'habitue à la narration à la première personne qui prend un malin plaisir à nous décrire les quelques tocs du personnage, le livre se dévore et se savoure. Avec ce casting de personnages attachants et truculents, on se régale !
14/03/2012 à 11:38
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Rampart Street
8/10 Une nouvelle petite merveille de David Fulmer qui fait revenir son personnage après un exil volontaire de celui-ci à la fin du précédent volume. Saint Cyr se voit confier une mission et personne ne va parvenir à l'empêcher de trouver les réponses à ses questions. Pourtant, le chemin est jonché d'embûches... J'ai pris grand plaisir à retrouver cet univers et ces personnages, entre deux épisodes de Treme et du Louis Prima entre les oreilles. Une série à découvrir d'urgence !
08/03/2012 à 12:55 1
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Enfants de poussière
9/10 L'écriture de Craig Johson (avec Sophie Aslanides toujours à l’œuvre pour notre plus grand plaisir) nous retranscrit à coup de petits rien anodins toute l'humanité qui fait le charme de son casting. Une odeur de café, de tourte chaude, le grincement d'une latte de bois, la poussière que l'on frotte sur un vêtement ou la fraîcheur d'une bière, un sourire en coin, un regard appuyé, un petit sarcasme, ce sont ces petits détails qui, mis bout à bout, donnent corps à ces personnages et à l'histoire en réveillant les cinq sens du lecteur. C'est ce qui caractérise l'écriture du romancier et qui fait que l'on prend autant de plaisir à le retrouver livre après livre.
03/03/2012 à 21:32 5
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Blue Jay Way
8/10 Plutôt que d'être une fable sur le côté sombre de la vie Hollywoodienne, Blue Jay Way est avant toutes choses une histoire de destins. Peut être là la seule et unique étiquette que l'on peut coller au livre, DESTINS.
Et c'est en cela que je trouve beaucoup de points communs entre ce roman et un autre du même éditeur : Seul le silence de RJ Ellory.
Les deux histoires sont difficiles à ranger dans un genre bien particulier et ils évoquent un personnage plein d'humanité mais empreint d'une grande naïveté, dont le destin n'est plus véritablement entre ses mains. Ils jouent aussi avec le point de vue du narrateur qui va raconter sa vie dans un livre, livre dont on se retrouve finalement à tourner les pages.20/02/2012 à 20:42 2
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Stieg Larsson avant Millenium
Guillaume Lebeau, Frédéric Rébéna
8/10 Je fais partie des lecteurs qui ne connaissent rien de la vie de Larsson et c'est assez plaisant de découvrir les nombreux points communs qu'il a avec les personnages de sa trilogie. Du coup, je considère cette bd, superbement illustrée, comme une parfaite mise en bouche en vue d'approfondir la question.
13/02/2012 à 00:24
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Trash Circus
8/10 Frédéric Haltier est un sociopathe, un misanthrope, un drogué, un pervers et un homme riche. C'est un drôle de cocktail pour le funambule qui fait office de héros principal de cet étrange Trash Circus. En équilibre instable et franchissant régulièrement la ligne rouge, Fred Haltier parvient à attirer la sympathie des lecteurs d'une bien curieuse manière : on sait que cet individu, qui prend son plaisir en faisant vivre l'enfer autours de lui, va récolter ce qu'il a semer. Cet électron libre est consumé par la peur et la haine. Et ce qu'il consume est également ce qui le nourrit. L'enfer est son paradis. En 221 pages, Joseph Incardona vous envoie son poing dans la tronche et son genou dans l'entre-jambe, avec son roman punk et trash, qui porte bien son nom.
07/02/2012 à 15:53
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Repentirs
9/10 Dans Repentirs, Luc Fivet nous concocte une histoire fascinante avec, entre autres, un personnage particulièrement captivant, l'expert en peinture François Regard. Celui-ci devient un véritable détective quand il s'agit d'étudier un tableau afin de déterminer si celui-ci est un vrai ou un faux. L'art du détail n'a pas de secret pour lui et donc pour le lecteur, qui n'a alors qu'une seule envie : se ruer sur son ordinateur pour voir les toiles évoquées dans le livre et en connaitre encore un peu plus sur ce grand peintre Johannes Vermeer, un des plus célèbres du siècle d'or. J'ai refermé le livre avec l'envie d'en ouvrir un autre consacré au peintre. Ça serait pour moi une première incursion dans le monde de la peinture néerlandaise et c'est au roman de Luc Fivet que je le dois.
Je vous invite vivement à commencer l'aventure en vous procurant l'édition électronique de ce superbe roman, qui recèle sont lot de surprises, en cliquant sur le lien suivant : http://www.lesvolubiles.com04/02/2012 à 22:07
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La fièvre des corps célestes
9/10 J'ai goûté ce roman comme on savoure un met dont on croit bien connaitre les ingrédients mais dont la dégustation se révèle être une explosion de saveurs. Carmen Duca nous fait découvrir à la fois les indices d'une enquête qui semble insoluble et un verbe soutenu qui nous invite parfois à partir à la quête de son origine. La fièvre des corps célestes va vous clouer au lit pour un bon moment : jusqu'à la dernière page. Le roman est un régal pour les papilles des lecteurs et titille occasionnellement nos cinq sens. Vivement le prochain roman !
02/02/2012 à 12:08
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Le crépuscule des Gueux
8/10 Intrigues, caractérisation des personnages, dialogues, titres des chapitres, rythme, propos, messages, développements et conclusion de l'intrigue : tous les compteurs sont au vert dans ce nouveau roman de Hervé Sard. Foncez tête baissée sur la nouvelle pépite d'un excellent raconteur d'histoire.
25/01/2012 à 12:08 3
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Lune captive dans un oeil mort
8/10 Mon premier Garnier, pas le dernier. Très touchante la préface de JB Pouy, qui confirme l'univers commun des deux auteurs. Je suis resté un peu sur ma faim concernant l'intrigue et l'utilisation de l'élément perfide du groupe. Les ellipses entre les chapitres peuvent désarçonner le lecteur mais finalement, elles contribuent à le plonger dans une sorte de transe. Un peu comme si le lecteur entreprenait la lecture du livre en jouant à 1, 2, 3, Soleil : à chaque fois qu'il ré-ouvre les yeux, les personnages et l'intrigue ont fait un bon en avant. Une histoire de dingues avec une fin apocalyptique. Si vous aimez un Gars une Fille et Scènes de ménages avec Marion Game et Gérard Hernandez, vous aimerez cette version plus que noire !
22/01/2012 à 09:12 2
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Les Fleurs de l'ombre
8/10 Malgré un début un peu nébuleux, j'ai finalement passé un bon moment. Certains twists sont un peu prévisibles (c'est certainement voulu) mais l'ensemble reste assez perturbant. Steve Mosby explore la mise en abyme littéraire en nous laissant parfois un peu étourdi, surtout à la fin. À voir, les films The Woman (pour la famille de dingues, 2011) et Nuits de cauchemar - Motel Hell (pour les fleurs aux graines insolites, 1980). Un bon opus qui rejoint Un sur deux pour son vilain assez effrayant. À noter la belle unité entre les couvertures des deux livres.
22/01/2012 à 08:55
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Glacé
9/10 J'ai passé un bon moment en compagnie des personnages de ce roman. Le cœur de l'intrigue semble figé dans un bloc de glace et il faut patiemment attendre que celui-ci fonde pour découvrir la vérité. Un peu alambiqué, un poile prévisible mais le dosage me semble bon et surtout, efficace. Je serai au rendez-vous du prochain roman de Bernard Minier.
08/01/2012 à 11:44 3
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Batignolles Rhapsody
8/10 Avec ce court roman de 150 pages, c'est vous qui vous faites votre BO dans votre tête. Une petite "douceur" à se glisser dans le gosier, qui fera plaisir aux fans du groupe, à dévorer sans modération.
29/12/2011 à 12:11
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Le Cramé
8/10 Très difficile de lâcher le roman une fois commencé. L'idée de placer un bandit au sein d'un commissariat est une bonne idée. Un grand classique mais c'est toujours jouissif. Cela permet de créer des situations parfois drôles, tendres, et aussi tragiques. Une lecture que je conseille vivement, malgré une fin chaotique dans la forme (les origines du Cramé que l'on nous déballe d'un bloc sous un prétexte peu crédible) et dans le fond (un pseudo groupe d'actions dont les motivations sont plus que tirées par les cheveux). Malgré ces quelques maladresses, Le Cramé est un roman enthousiasmant et percutant avec une grosse pincée de moments très dure. À lire.
21/12/2011 à 11:14 4
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Mygale
9/10 Thierry Jonquet tisse méthodiquement une toile qui emprisonne autant le prédateur que ses proies. C'est diabolique et complètement fou. Je conseille vivement le film de Pedro Almodovar, La piel que habito, s'inspirant de cette histoire tout en prenant certaines libertés qui donnent une nouvelle apparence à cette toile d'araignée...
15/12/2011 à 12:15 5
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Vilaine fille
8/10 Quand Seth Banner (O. Bonnard ?) se lance dans l'enquête sur la mort d'une actrice dans la Cité des Anges, il découvre vite que la Mort endosse de multiples costumes. En y regardant de plus près, le héros découvre que ces anges ressemblent plus à des démons et que la température commence à monter dangereusement... Olivier Bonnard signe un roman passionnant, qui s'aventure habilement dans l'univers du hard-boiled, tout en regorgeant d'anecdotes sur le milieu du cinéma.. Seth & Martin sont des personnages très attachants. Je serai au rendez-vous du prochain romain !
12/12/2011 à 14:36
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Contractors
7/10 Bon roman de Marc Wilhem qui utilise Contractors pour revenir sur les attaques du mystérieux groupe AZF et explorer certaines pistes évoquées depuis par les enquêteurs. Comme dans Doux comme la mort de Laurent Guillaume, le roman place des barbouzes dans un échiquier politique où il devient bien difficile d'avoir bonne conscience et de garder les mains propres. Une belle galerie de personnages que j'espère revoir à l'occasion dans un autre romand e l'auteur.
09/12/2011 à 15:05
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Meurtre aux poissons rouges
Andrea Camilleri, Carlo Lucarelli
8/10 Je me suis régalé avec ce petit olni de 150 pages qui me permet de découvrir les héros respectifs d'Andrea Camilleri et de Carlo Lucarelli. L'autre plaisir vient en fin d'ouvrage avec le témoignage de l'éditeur de l'édition originale Daniele di Gennaro, qui nous raconte la genèse du livre et surtout, qui nous révèle ce qu'il est, dans sa forme (shut, c'est la surprise !). Une petite douceur, un entre-deux que je conseille vivement!
27/11/2011 à 17:51