El Marco Modérateur

3225 votes

  • Résolu

    Blake Pierce

    3/10 Riley Paige, désormais instructrice au sein de l’UAC (Unité d’Analyses Comportementales), discute avec ses étudiants, répond à leurs questions et se rend vite compte que sa place est sur le terrain et non dans un amphi. Une nouvelle très courte et guère emballante, avec pas mal de clichés à la clef, aussitôt oubliable (et aussitôt oubliée en ce qui me concerne), sans grand intérêt, à part probablement pour les fans de l’héroïne Riley Paige ou les aficionados de Blake Pierce qui leur a glissé ici un petit bonbon, mais une confiserie assez fade, bien trop courte en bouche et ne présentant qu’une importance très secondaire.

    23/12/2023 à 07:48 5

  • Rongés

    Elanne Jesa

    3/10 Une série de meurtres, les victimes étant à chaque fois des agents immobiliers qui ont été mutilés par des rats. Un début sympa mais une suite très mauvaise : personnages stéréotypés, écriture sans âme, des ellipses telles qu'on dirait qu'il manque des morceaux du récit, des temps morts nombreux et une chute beaucoup trop brutale. Une idée de départ sympa mais un traitement raté qui vient tout gâcher.

    03/09/2023 à 18:17 2

  • Sans temps de latitude

    Francis Mizio

    3/10 Une intrigue assez foutraque, avec beaucoup d’éléments qui ne se relient qu’à la fin du roman. Même si tout y est rondement mené, je n’y ai jamais cru. Tout y est trop léger, et le ton badin côtoie trop souvent le burlesque, voire le grotesque, pour ne pas y sombrer.

    30/06/2014 à 18:45 3

  • Tango flamand

    Jean-Christophe Chauzy, Marc Villard

    3/10 Très déçu par cette nouvelle. Un emboîtement d’histoires, de psychologies ou de saynètes déjà vues maintes fois ailleurs, et, ici, jamais développées ni transfigurées, peut-être en raison de la concision du récit. Des passages invraisemblables : comment Jimi retrouve Tina, l’amitié tombée de nulle part entre Jimi et l’accordéoniste, la manière dont Francky se fait en partie avoir par la danseuse. Je reste sacrément sur ma faim avec cette bande dessinée.

    08/03/2015 à 18:27

  • Terminus New York City

    Jean-Luc Bizien

    3/10 Un jeune milliardaire, Justin Case, ayant hérité de la fortune paternelle suite à la mise en détention car accusé du meurtre de son épouse, entouré de trois camarades (une Asiatique experte en arts martiaux, un geek en fauteuil roulant et un avocat, dandy gothique), et décidé à résoudre les erreurs judiciaires. Ici, un homme accusé d’un double meurtre. Une écriture sympathique, avec du rythme, faisant écho aux normes anglosaxonnes du genre, un agent du FBI retors, et un complot ayant fait échouer un innocent derrière les barreaux. Mais en ce qui me concerne, la magie n’a jamais pris. Les personnages, tous autant qu’ils sont, tiennent de la caricature, ou plus exactement du déjà-vu et déjà lu des milliers de fois. Justin Case, au-delà de se trimballer en Maserati Quattroporte et d’user d’un vocabulaire châtié, n’a rien d’original ou de franchement sympathique. Je l’ai même trouvé sidérant de vacuité et d’inexistence, à moins que les autres opus ne lui laissent l’occasion de prendre un peu plus d’ampleur ou de consistance. Ses acolytes, mis à part Matthew Slides à la rigueur, tiennent du poncif littéraire ou cinématographique. Il n’y aura pas eu une seule scène marquante. L’intrigue se laisse suivre, mais à aucun moment, la finesse, l’intelligence ou la perspicacité de Case n’auront permis sa résolution. Quant au complot, il est tellement capillotracté que jamais je n’y ai cru : que de problèmes que se sont volontairement posés les criminels pour si peu, que de raccourcis dans la résolution de l’histoire, que de fils blancs pour coudre cette dentelle insipide qui ne me laissera absolument aucun souvenir. Quant au final, il ressemble à un vague remous dans un gobelet en plastique, sans panache ni ampleur, en plus d’être téléphoné. J’aime beaucoup la littérature jeunesse, et j’ai justement trop de considération pour elle pour l’envisager ainsi, avec cette accumulation de clichés autour d’un scénario inconsistant, sorte de Largo Winch au rabais et dédié aux mômes. Inutile de dire que je passe mon chemin quant à la lecture des ouvrages suivants.

    10/09/2018 à 17:28 3

  • Terrible internat

    R. L. Stine

    3/10 Une atmosphère intelligemment bâtie et un personnage de professeur qui saura intriguer voire remuer les jeunes lecteurs. Mais j’ai trouvé le final – les deux dernières pages – complètement ratées, risibles au possible, et achevant le récit sur une note totalement caduque. Selon moi, un fiasco complet en termes d’achèvement.

    27/05/2014 à 15:58

  • Togo or not Togo

    Pierre Cherruau

    3/10 Un Poulpe bien mou du genou et insipide. Entre le prologue et l’épilogue, de longs passages où Gabriel voyage, rencontre des gens plus ou moins recommandables, et… rien. Pas l’acidité des autres opus, très peu d’action, de l’humour bien moyen. Une histoire certes originale car se déroulant presque intégralement en Afrique, mais le contenu est sincèrement très faible.

    07/09/2014 à 18:34 3

  • Un Crime étrange

    H. R. Woestyn

    3/10 L’inspecteur Pinson, ami de l’écrivain Parent, en vient à parler avec lui d’un voisin découvert mort dans sa serre et dont on ignore l’identité du meurtrier. Le policier demande son aide à l’auteur pour comprendre cette affaire.
    Une nouvelle dont la résolution sera apportée par un élément présent dans la bibliographie d’Alexandre Dumas. Dans ce très court récit (environ 9 minutes en audio), on se contrefiche de l’identité du coupable, c’est davantage le mobile qui est recherché. Rien de bien flambant, le récit est effectivement trop bref et simple, et cette concision vient avorter tout plaisir littéraire. L’idée est sympathique mais son traitement très décevant.

    13/12/2023 à 17:47 2

  • Un Événement à Jérusalem

    Edgar Allan Poe

    3/10 Une nouvelle qui commence avec un trio composé d’Abel-Phittim, Buzi-ben-Lévi et Siméon le pharisien, en l’an 3941, et où il sera question d’un panier descendu du haut des remparts vers les Romains et… Bon, je ne vais pas spoiler la fin, histoire de conserver le suspense, mais ce récit (particulièrement court) est bouffon en diable, peut-être saturé de références et autres indications religieuses, philosophiques et historiques, mais l’ensemble ne m’a vraiment pas emballé. C’est peut-être très savant, je ne dis pas, mais tout m’est apparu trop dense, trop fouillis presque, et la chute, qui devait en constituer le clou, ne m’a arraché qu’un sourire, uniquement indulgent en raison de ma profonde inclination pour Edgar Allan Poe et son œuvre. Bref, ç’aura été pour moi une incroyable déception.

    09/06/2020 à 18:08

  • Versailles Of The Dead tome 1

    Kumiko Suekane

    3/10 Alors qu’elle se rend à Versailles avec son frère jumeau Albert, la jeune Marie-Antoinette est attaquée dans son carrosse par… des morts-vivants. Albert prend la fuite et l’archiduchesse finit par rejoindre la cour, visiblement blessée mais indemne. Sauf que celle-ci est sa demi-sœur, sa « doublure », et que l’on décide alors qu’Albert va prendre la place de la défunte Marie-Antoinette, ce qui est permis grâce à son aspect très féminin. Madame du Barry, Axel de Fersen, Louis XVI évidemment, apparaissent dans ce manga qui, vous l’aurez compris, est un vaste et profond n’importe quoi : visages interchangeables, histoire abracadabrante (même si a priori, ça aurait justement pu me plaire avec un ixième degré assumé), un scénario pour le moment sans intérêt, un graphisme plat et déjà lu des milliers de fois. J’ai failli abandonner cette fumisterie, mais je me demande comment l’auteur va poursuivre, et jusqu’où il est capable d’aller dans cet univers WTF, alors je continue, au moins sur un tome.

    19/10/2021 à 20:15 1

  • Blood + A tome 1

    Kumiko Suekane

    2/10 J’avais bien aimé de Kumiko Suekane son premier tome de « Afterschool Charisma » et détesté celui de « Versailles Of The Dead », aussi me suis-je lancé avec un esprit un peu défiant dans cette autre série de l’auteur… et j’aurais peut-être mieux fait de m’abstenir. Des dessins japonisants à outrance (évidemment, aucun racisme de ma part, je trouve juste lourdement idiot de représenter des personnes ayant véritablement vécu sous des traits passés à la moulinette de la culture dont on provient, ce qui est, là, à mes yeux, du racisme), une ambiance manga débordant d’une allégresse si éloignée de l’historicité, une ambiance anachronique détestable (les musiciens qui apparaissent et jouent comme des rockstars, pitié…), le concept des vampires qui déboule d’un coup dans le scénario non pas comme un chien dans un jeu de quilles mais comme un éléphant obèse et rhumatique sur le dancefloor, des persos lisses et interchangeables au point que je les ai souvent mélangés, des bavardages inutiles et liquoreux (c’est tellement sucré et balourd que ça ressemble à de la meringue liquide). Je me suis ennuyé et agacé d’un bout à l’autre. J’ai l’autre tome sous la main : je vais me le faire vite fait, comme on se débarrasse d’une corvée, et aussi pour savoir si la suite et fin est aussi pourrie que ce premier tome.

    29/05/2022 à 17:14 2

  • Blood + A tome 2

    Kumiko Suekane

    2/10 On prend les mêmes (défauts) et on continue et finit. Des personnages commutables (exemple : les 17 présentés d’entrée de jeu sont aussi dissemblables à mes yeux que les rayures d’un troupeau de zèbres pour un être humain lambda), un Raspoutine purement grotesque, un scénario global hallucinant de n’importe quoi, bien plus de violence par rapport au précédent tome comme si cela pouvait revigorer l’histoire alors que ça ne fait que l’enfoncer davantage dans le marais de l’insignifiance, une esthétique japonisante à l’excès (je respecte infiniment ce pays, son peuple, son histoire et sa culture, mais faire passer l’environnement russe par la moulinette des codes nippons est complètement absurde et risible), des dialogues plats comme un parquet, et un ensemble sans le moindre intérêt. Je suis habituellement plutôt doux dans mes votes et commentaires, mais là, c’est une purge intégrale.

    09/06/2022 à 20:45 3

  • Chambre noire

    R. L. Stine

    2/10 Pour moi, le cas d’école du thriller raté. Aucun suspense, des accroches en fin de chapitres qui s’écroulent dès la première ligne de la section suivante, des personnages stéréotypés que ça en devient risible, et un total manque de profondeur dans la psychologie. Un échec total à mon goût.

    15/01/2014 à 13:47

  • En manque

    Jacques Expert

    2/10 La confession d’un tueur en série confiné chez lui en pleine période de coronavirus. Pour passer le temps, il nous fait visiter son petit appartement en ayant une attention toute particulière pour les chiffres et les nombres. Dix-neuf victimes à son actif et il aurait bien voulu pouvoir continuer encore un peu…
    Une nouvelle particulièrement courte mais à laquelle je n’ai pas du tout accroché. De l’humour, mais à mes yeux, ni drôle ni de bon goût. Ça m’a fait mal au cœur de voir un auteur si réputé s’embourber dans des blagues aussi mauvaises, basses du front et plates comme une table. Aucune originalité dans le portrait de cet égorgeur en série, ni du point de vue psychologique ni dans celui du modus operandi. J’en finis même par me demander quel pouvait bien être l’objectif de Jacques Expert. Nous divertir ? En ce qui me concerne, c’est raté. Nous faire rire ? Raté. Nous faire réfléchir ? Raté. Être atypique ? Raté. Nous surprendre ? Le final est si téléphoné que ça en devient gênant. Nous impressionner, nous émouvoir, nous procurer des sensations fortes, même a minima en raison de la concision du texte ? Raté. Alors, comment est cette nouvelle ? Tout bonnement ratée.

    04/12/2022 à 18:14 6

  • Infection tome 4

    Toru Oikawa

    2/10 Un monstre géant constitué d’asticots et qui vient de bouloter un être humain fonce sur deux personnages… et l’un d’entre eux bavarde et présente des excuses verbales à son interlocuteur. Le pompier se fait poursuivre par cette bestiole dans un escalier, et la créature parvient à modifier sa forme pour s’adapter au couloir. Toujours aussi intelligent, le pompier choisit une cage d’escalier à peine plus petite et se dit que son poursuivant ne parviendra pas à s’engouffrer dans ce volume étriqué… ce que le prédateur parvient bien évidemment à faire. A peine plus tard, une jeune femme propose à ce héros, en échange de son aide… sa virginité. Et la suite est du même acabit. Ce manga aurait pu être angoissant, il ne l’est pas. Original, non plus. Parodique, toujours pas. Une relecture scolaire mais intéressante du thème des zombies, encore moins.

    26/10/2021 à 08:18

  • Infection tome 5

    Toru Oikawa

    2/10 Un début si téléphoné avec la réapparition de Kaori qu’il en est raté, un pompier qui se fait arracher l’avant-bras mais qui n’a même pas mal et qui fait dans la foulée du Steven Seagal avec les articulations d’un zombie, un autre qui se frite à l’aide d’une tronçonneuse face à un mort-vivant, un troisième qui veut y aller au sabre, des flashbacks qui viennent casser le rythme… Y a pas à dire, ça commence mal. L’auteur a l’air de vouloir rendre hommage aux pompiers : c’est une noble intention, mais c’est tellement mal fait que ces hommes du feu doivent en pleurer dans leurs casques de honte. Le ridicule se poursuit avec un zombie boxeur (ça me rappelle quand il était question de faire du monstre chasseur du film « Predator » un as du kickboxing…), des chapitres entrecoupés par des images érotiques de femmes en maillot de bain (mais WTF, pourquoi ?!), des personnages lambdas qui deviennent en un claquement de doigts des pros des armes à feu, un épisode érotico-sentimental dans une salle de bain quand des centaines de zombis sont dehors… J’ai beau être bon public, là, ça pique. J’ai l’impression d’éplucher un oignon : à chaque couche, le soufre se libère, et les larmes me montent aux yeux, mais des larmes provoquées par le risible voire le pathétique de ce manga.

    22/07/2022 à 08:50

  • Infection tome 6

    Toru Oikawa

    2/10 Un début longuet et bavard, au point que j’en ai presque (je dis bien « presque ») fini par regretter l’action, quitte à sombrer dans le grand n’importe quoi. La suite s’avère même tragiquement statique et ennuyeuse, sans le moindre souffle, autour de ce bûcher où reposent des morceaux de corps. Comble de l’ennui prodigué par ce sixième tome : il faut attendre la seconde moitié de ce manga pour qu’il y ait un semblant de dynamisme, comme si l’auteur avait tout donné auparavant, ou s’était enfin rendu compte que sa série ne tenait pas la route. Il s’essaie même au sexe explicite avec un résultat pour le moins navrant. Un opus particulièrement mollasson au point d’en devenir hautement soporifique et sans le moindre intérêt.

    08/08/2022 à 23:30

  • Infection tome 7

    Toru Oikawa

    2/10 Beaucoup de bavardages en ce début de septième tome, avec un flashback faisant remonter une histoire autour d’un séisme et d’un tsunami, et découverte pour l’une des protagonistes qu’elle est en réalité une enfant adoptée : même si c’est plutôt « plaisant », inutile et sans véritable rapport direct avec la série et sa thématique. Il faut attendre environ la moitié du manga pour que l’action prenne (enfin) le pas sur un tel pathos creux et étalé à la truelle, et la suite est analogue à ce que j’ai pu lire dans les précédents tomes : une femme qui parvient à faire un « demi-tour drifté » sans connaissance particulière en conduite, un psychopathe qui souhaite faire avaler la cervelle d’un bébé à une protagoniste (sic), un type qui vient juste de se prendre une balle dans l’épaule et une autre dans la cuisse qui maîtrise « Le Casqué » comme si de rien n’était… Du grand n’importe quoi, et ça n’est même plus distractif à un tel niveau d’incohérence et de néant.

    26/08/2022 à 08:42 1

  • Infection tome 8

    Toru Oikawa

    2/10 Une créature zombie géante attaque une voiture conduite par une jeune femme, mais cette dernière lui a réservé une petite surprise sous la forme de jerricans d’essence dans le véhicule. Le reste du manga est à l’avenant des précédents, avec des passages complètement débiles. Un exemple : une jeune femme se rend compte qu’elle aurait dû faire rouler le barillet de son revolver pour avoir une balle prête à être tirée et, alors qu’elle est agressée par un monstre, elle préfère aller chercher un drap pour le lui lancer dessus ! Toujours rien de nouveau sous le soleil de cette série, plate et souvent navrante.

    17/10/2022 à 18:13

  • L'Or des Maures

    Jacques Mazeau

    2/10 Près des gorges de Kakouetta, un couple de randonneurs disparaît. L’inspecteur de la Police Judiciaire Michel Fabre, spécialisé dans les affaires paranormales, va mener l’enquête aux côtés de Muriel Lacan, docteur en physique et membre d’une unité de parapsychologie. Ils vont alors se rendre compte que depuis plus de cinquante ans, bien d’autres personnes se sont volatilisées dans cette région où une légende raconte qu’un trésor y aurait été dissimulé par les Maures, il y a plus de douze siècles, légende dont parle également Nostradamus dans une de ses prophéties et qui serait en rapport avec un étonnant héritage légué par des extra-terrestres.

    Jouant sur le thème très en vogue de l’ésotérisme et de la religion, Jacques Mazeau a bâti un roman de bien piètre facture. Les personnages principaux – Michel Fabre et Muriel Lacan – n’ont que trop peu de charisme et sont sans réelle profondeur humaine. La langue de l’auteur est très plate, que ce soit pour les scènes d’action ou les descriptions alors que le décor se prêtait pourtant à une aventure haute en couleurs. Par ailleurs, l’intrigue traîne en longueurs, et il faut attendre au moins 200 pages pour que le suspense devienne plus intéressant. Et finalement, dans l’ultime chapitre, les explications apparaissent enfin, mais offrant souvent bien plus de questions que de réponses. A vouloir trop jouer sur la partition pourtant ouverte du thriller ésotérique, Jacques Mazeau ne parvient jamais vraiment à convaincre alors que le sujet promettait cependant d’être prenant.

    Au final, L’or des Maures n’est qu’un roman de plus se fondant sur le paranormal et les versants mystérieux de la religion, mais sans apporter une nouvelle pierre à cet édifice littéraire. Reste un thriller qui ne provoque aucune fièvre ni ne laissera aucun souvenir exaltant au lecteur.

    23/11/2008 à 10:49