schamak

104 votes

  • Juste une ombre

    Karine Giebel

    2/10 Le style est une catastrophe. La psychologie des personnages taillée à la machette.
    Pas pu dépasser la 50ème page.

    28/03/2016 à 21:22 1

  • Le vrai Michael Swann

    Bryan Reardon

    2/10 Il me reste encore 100 pages et je me demande si je vais pouvoir aller au bout.
    Si son premier roman, JAKE, a été une excellente surprise, le second opus de Bryan Reardon est une véritable purge.
    Lourdement écrit (les images sont d'une platitude abyssale), les dialogues écrits par le squelette de Barbara Cartland, des personnages de papier glacé à baffer avec fer à repasser brûlant, ce thriller mou du genou sans suspense ni souffle et dégoulinant de mièvrerie ne vaut rien. Walou. Peau de zob. Nada. Que tchi.
    A se demander si c'est le même gars derrière ces mots.
    Un roman grotesque.
    Nullissime.

    17/08/2021 à 00:18 2

  • Sauf

    Hervé Commère

    2/10 Je précise, bien que cela coule de source, que cela n'engage que moi. Personne d'autre.

    Ce livre - encensé partout - est une vaste blague.
    Une mascarade.

    Incongruité de l’histoire.
    Personnages sans épaisseur (le héros quelle fadeur !).
    Absence de crédibilité (pour captiver je suis pas contre un brin d’exagération et quelques grosses ficelles, pas pour le n’importe quoi !)
    Problème de temporalité (très difficile de situer l’action)
    Écriture plate (ok pour la simplicité mais un peu de trouvaille stylistique aurait été appréciable)

    Les 50 dernières pages, c'est d'un grotesque, d'une telle débilité !

    Grosse perplexité.

    28/04/2018 à 19:16 7

  • Sur la dalle

    Fred Vargas

    2/10 Quand sort la recluse était déjà médiocre.
    Celui ci est pire.
    Dans un mélange de tristesse et de colère, j'ai cessé la lecture. Pas pu aller au-delà de la page 160 (sur 509).
    Ce livre est une véritable purge. Il ressemble à un scénario fait d'interminables et d’assommants dialogues en enfilade.
    Oubliez l'atmosphère évanescente des premiers romans, ici, tout est sur-expliqué ad nauseam.
    L'enquête ? On s'en contrefiche.
    Mais le plus consternant, ce sont les personnages fadasses ou absents (Danglard) et notamment le plus important d'entre-eux.
    Adamsberg, totalement méconnaissable, a perdu son âme. Bavard aux confins de la niaiserie, on se demande comment il peut susciter l'admiration de ses pairs.
    Rupture consommée entre Vargas et moi.

    02/07/2023 à 22:54 5