Sauf

21 votes

  • 7/10 Un bon roman noir avec une première moitié de livre entrainante. La baisse de rythme dans la seconde partie est bien visible mais l’ensemble reste très plaisant.

    26/07/2023 à 13:20 Grolandrouge (1594 votes, 6.6/10 de moyenne) 1

  • 7/10 la 4 eme de couv est vraimment alléchante , a la lecture les chapitres très courts donnent du rythme au récit mais ne fait que survolée une intrigue au potentiel important , cela finit par ressembler a un telefilm standard.

    30/06/2022 à 10:57 latimer (705 votes, 6.9/10 de moyenne) 1

  • 7/10 Un bon roman d'Hervé Commère qui se lit vite et qui est très visuel. J'imagine sans mal qu'une future adaptation, sous forme d'un téléfilm, soit un jour envisagée. Pour autant, je n'ai pas retrouvé la profondeur qui était de mise dans Ce qu'il nous faut, c'est un mort que j'ai nettement préféré. En premier lieu, j'aurais aimé que la psychologie des personnages soit plus développée. Commère a clairement fait le choix de privilégier scenario alambiqué et révélations de fin de chapitre, un peu au détriment de ses personnages, insuffisamment développés. Alors certes, Sauf n'en demeure pas moins agréable à lire mais ne restera pas gravé dans ma mémoire. En bref, une relative déception au regard du talent de Commère.

    05/12/2019 à 19:52 ericdesh (983 votes, 7.4/10 de moyenne) 7

  • 8/10 Deuxième escapade, pour ma part, dans l’œuvre de Hervé Commère que j’ai découvert avec ce qui fut pour moi un véritable coup de cœur : Le Deuxième Homme.

    Sauf reprend les mêmes règles d’écriture : un roman raconté à la première personne, ce qui nous permet de nous identifier au personnage et ainsi de vivre par lui ses déboires existentiels ; des retours passés présents dans la composition des chapitres ; et surtout (je ne sais pas si c’est un thème de prédilection de l’auteur), une trame qui porte sur la recherche d’identité du protagoniste principal.
    Et, il faut le souligner, un style d’écriture qui rend la lecture prenante et développe une intrigue des plus efficaces. Cependant, j’ai eu un peu de mal à accepter qu’un homme, somme tout ordinaire, puisse aussi aisément découvrir la vérité cachée depuis des années sur sa famille. « La police ne me l’a jamais demandé, mais à vous, je vais tout dire » ou bien « Il est temps que j’avoue tout ».

    Malgré tout, j’ai vraiment passé un agréable moment de lecture et je continuerai à lire les livres de cet écrivain que je place au-dessus de la liste des auteurs de polars hexagonaux contemporains.

    25/11/2019 à 12:36 JohnSteed (631 votes, 7.7/10 de moyenne) 10

  • 7/10 Lorsqu’il avait six ans, Mat a vécu la disparition de ses parents, brûlés lors de l’incendie de leur manoir en Bretagne. Il est depuis propriétaire d’un dépôt-vente. Un jour, une inconnue vient déposer un album photo où il apparaît. Mais un détail va venir enrayer la perception du passé, un anodin anachronisme qui va l’obliger à plonger dans des secrets de sa propre famille.

    Hervé Commère, à qui l’on doit Les Ronds dans l’eau, Imagine le reste, Le deuxième homme ou encore Ce qu’il nous faut c’est un mort est revenu l’an passé avec cet ouvrage qui se dévore plus qu’il ne se lit. Un rythme trépidant, au fil de chapitres particulièrement courts, déroulant une intrigue complexe et sacrément échevelée. Narré à la première personne, l’histoire embarque dès les premières pages, et nous ne serions guère éloignés de la vérité en prétendant que chaque fin de chapitre se clôt sur un cliffhanger, obligeant le lecteur, avec avidité, à se ruer sur la suite pour satisfaire sa soif de suspense. D’entrée de jeu, les événements s’enchaînent : cambriolage, course-poursuite, un voleur qui est victime de deux balles (l’une tirée par un policier, la seconde d’origine inconnue), des révélations qui se succèdent à une cadence effrénée, etc. Un tempo particulièrement enlevé, tellement efficace qu’il en viendrait presque à donner des leçons à des références littéraires anglo-saxonnes et autres films. Cependant, ce qu’Hervé Commère obtient en puissance de percussion, il le perd un peu en crédibilité : les éclaircissements sont à ce point nombreux et féconds que l’on en vient parfois à douter de la vraisemblance globale du récit, tandis que certains personnages n’ont pas le temps d’être développés et en viennent à n’être que des spectres, éthérés et sans réelle densité. Mais l’exercice, pour les lecteurs amateurs de sensations fortes et d’intrigues vécues avec entrain, ne pourra que les charmer voire les hypnotiser.

    05/09/2019 à 19:52 El Marco (3455 votes, 7.2/10 de moyenne) 8

  • 8/10 Très bon roman, bien écrit, bien construit.

    10/03/2019 à 20:07 flolabbe (2 votes, 8.5/10 de moyenne) 2

  • 7/10 Pour ce roman, Hervé Commère a privilégié de prime abord l'efficacité, le rythme, le suspense d'une intrigue qui démarre pied au plancher et embarque avec une grande facilité. On suit avec une certaine émotion les découvertes du héros sur son passé, on apprécie l'humanité des personnages... mais un peu moins que d'habitude chez cet auteur dont la grande force et la marque de fabrique sont justement son empathie exceptionnelle. Si tout est carré, bien ficelé dans la première partie, les choses tiennent un peu moins bien debout dans la deuxième, où certains événements s'avèrent tirés par les cheveux. Néanmoins j'ai à nouveau apprécié cette lecture et le style fluide d'Hervé Commère.

    25/11/2018 à 18:45 Dodger (471 votes, 7.7/10 de moyenne) 6

  • 8/10 Un très bon roman. On est intrigué par ce retour du passé. L'histoire , bien écrite, se déroule jusqu'à ce qu'on apprenne le fin mot de l'histoire. ..

    13/10/2018 à 18:14 calimero13 (1074 votes, 7.4/10 de moyenne) 2

  • 6/10 Un peu déçu par trop de facilités et d'invraisemblances...

    07/09/2018 à 15:41 guimouts (428 votes, 7.8/10 de moyenne) 2

  • 7/10 Qu'est-ce que je l'aime Hervé Commère ! Mais là...là... je n'ai tout simplement pas reconnu sa patte, son style inimitable, sa manière bien à lui de présenter les protagonistes de ses histoires. Je n'ai pas retrouvé l'émotion qui m'avait submergée dans "le deuxième homme" ou l'intensité des relations humaines de "Ce qu'il nous faut c'est un mort". Un peu déçue de ce roman qui manque un chouilla de coeur et d'âme, tout ce qui ne fait jamais défaut, en général, chez mon chouchou.
    Les décors sont superbes, le scénario tient en haleine mais comme l'a signalé Shamak, la crédibilité passe au second plan. L'auteur ne nous avait pas habitués à cela.
    J'ai apprécié ma lecture, page turner indéniable, mais "mon" Hervé Commère m'a manqué, tout simplement.

    17/08/2018 à 07:58 Ironheart (848 votes, 7.4/10 de moyenne) 9

  • 7/10 Un bon moment de lecture mais un roman inférieur à J'attraperai ta mort ou Des ronds dans l'eau. L'intrigue démarre bien, fonctionne et se lit vite. Comme toujours avec Commère l'écriture est accessible, sans fioritures, mais également sans personnalité. Les surprises sont nombreuses avec des rebondissements à chaque fin de chapitre. Cependant, la dernière partie en Norvège patine et manque de crédibilité, il est difficile d'y d'adhérer complètement.

    21/06/2018 à 10:24 zonedead (417 votes, 7.4/10 de moyenne) 7

  • 8/10 Cinquième roman d'Hervé Commère, "Sauf", une fois ouvert, ne se lâche plus. J'ai trouvé ce roman magnifique et précis et plein de rebondissements.

    30/05/2018 à 17:58 matt3743 (4 votes, 7.8/10 de moyenne) 2

  • 8/10 C’est dur de condenser une bonne intrigue en moins de 300 pages, sauf si l’on sait manier la plume comme on pilote une voiture de course. Hervé Commère est de ces auteurs qui font du drift dans les virages.

    27/05/2018 à 16:17 PoisonIvy (346 votes, 7.7/10 de moyenne) 6

  • 2/10 Je précise, bien que cela coule de source, que cela n'engage que moi. Personne d'autre.

    Ce livre - encensé partout - est une vaste blague.
    Une mascarade.

    Incongruité de l’histoire.
    Personnages sans épaisseur (le héros quelle fadeur !).
    Absence de crédibilité (pour captiver je suis pas contre un brin d’exagération et quelques grosses ficelles, pas pour le n’importe quoi !)
    Problème de temporalité (très difficile de situer l’action)
    Écriture plate (ok pour la simplicité mais un peu de trouvaille stylistique aurait été appréciable)

    Les 50 dernières pages, c'est d'un grotesque, d'une telle débilité !

    Grosse perplexité.

    28/04/2018 à 19:16 schamak (112 votes, 6.2/10 de moyenne) 7

  • 9/10 C'est avec un immense plaisir que j'ai dévoré les pages du nouveau roman d'Hervé Commère. Plaisir décuplé en retrouvant au fil des pages cette construction de l'intrigue qui est devenu sa marque de fabrique et qui avait trouvé naissance avec J'attraperai ta mort et les Ronds dans l'eau. D'ailleurs cette signature, c'est avec l'image des Ronds dans l'eau que l'on peut le mieux lui donner une forme. Alors oui, ses personnages vivent des histoires hors du commun mais il transpire d'eux un amour comme on en croise rarement dans les livres du genre. Même les seconds rôles portent en eux ce petit truc poétique, à la fois mélancolique et optimiste, qui ne peuvent laisser les lecteurs insensibles. L'image du rond dans l'eau est ce qui définit parfaitement bien les histoires de Commère : mathématique, irrémédiable et simplicité. Je n'ai pas lu ses deux précédents romans mais il faut que je rattrape ça, un peu comme je viens de me faire rattraper par un de ces fameux ronds dans l'eau. Merci Hervé Commère.

    19/04/2018 à 20:07 Fredo (1207 votes, 7.9/10 de moyenne) 10

  • 8/10 Encore un très bon roman d'Hervé Commere que je recommande aux récits plein de surprises.

    10/04/2018 à 19:55 jeanmid (46 votes, 8.3/10 de moyenne) 3

  • 7/10 Sur les ruines d'un passé consumé, Hervé Commère pousse son personnage principal vers l'acceptation d'une destinée tronquée, à la découverte de ses racines...
    Tout de suite, on est cueillis par l'estampille Commère, comme on pourrait parler d'un label, ou d'une AOC : auteur obligeamment charitable...
    Avec l'intime en abscisse, et l'affect en (dés)ordonnée, Hervé Commère envisage un nouvel algorithme humaniste : quand le point d'origine est faussé, peut-on s'imaginer que la trajectoire de nos existences soit réellement la bonne, l'unique ?
    Un récit profondément altruiste, hédoniste, une histoire de famille qui invite les grands gamins que nous sommes à lever le camp, affronter nos tempêtes ( intérieures), pour se détacher de ce que nous avons été, devenir un individu à part entière, et rejoindre la rive du monde des adultes... Sain et SAUF...

    05/04/2018 à 20:09 jackbauer (727 votes, 7.2/10 de moyenne) 10

  • 9/10 Le retour de mon chouchou comme si ce roman avait été écrit pour moi. Une succession de poupées russes , le drame familial fondateur qui va déployer ses tentacules, un quatuor de choc qui bouscule les codes tout en les parant de dorures, les absents qui brillent par leur présence. L’amour et l’argent , ces ressorts permanents, comme l’explique Gary, façonnent un roman à tiroir que j’ai dévoré de manière compulsive en 5 Heures.
    Les paysages sont superbes et le décor scandinave, berceau du dénouement , est tonitruant.
    Hervé, you rock !

    17/03/2018 à 10:07 clemence (339 votes, 7.7/10 de moyenne) 9

  • 8/10 En bref, un roman policier qui saura vous surprendre ! La découverte d'un album photo qui aurait dû disparaître il y a des dizaines d'années donne un point de départ à Hervé Commère pour nous emmener dans une intrigue familiale captivante et étonnante, avec un suspense croissant.

    10/03/2018 à 17:32 Riz-Deux-ZzZ (500 votes, 6.9/10 de moyenne) 5

  • 9/10 Imaginez une histoire qui n’entre pas habituellement dans les conventions du thriller, mais racontée avec tous les ingrédients qui font les (très) bons thrillers.
    Sauf est un roman qu’on n’oublie pas. J’en ai été remué, j’en ai eu des nœuds dans le ventre, ce qui m’arrive de plus en plus rarement à force de lire autant. Preuve qu’Hervé Commère est un auteur à part.
    Sauf n’est pas qu’un roman noir. C’est aussi une histoire d’amourS ; amour beau ou dévoyé ; comme sait si bien en parler cet auteur unique. Un récit qui fait vibrer chaque fibre de votre être ; cœur, tripes, cortex cérébral…

    08/03/2018 à 06:52 Gruz (299 votes, 7.8/10 de moyenne) 9