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Poings liés
8/10 Le mystérieux grand brûlé poursuit son récit sur le voilier d'Ellen et Matthew, apportant enfin toutes les réponses aux questions suscitées par le tome 1. Mais Ellen doute : ce récit rocambolesque est-il vrai ? Ou s'agit-il des élucubrations d'un écrivain mythomane ? Le tome se termine faisant croire à un simple diptyque mais la série comptant six tomes, il semblerait que nous allons encore suivre les aventures d'Ellen...
23/02/2022 à 12:00 2
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Mortelles retrouvailles
7/10 Un premier tome intrigant, qui débute dans un océan déchaîné où un cargo à la dérive, incendié, avec plus personne à bord sauf un grand brûlé, manque d'envoyer par le fond un voilier où un couple formé d'Ellen et Matthew veulent se rabibocher. Sauvé par Ellen, le grand brûlé raconte alors à celle-ci qu'elle lui fait penser à une femme exceptionnelle qu'il a connu... Flash-back et voici l'histoire de Lison, chirurgienne reconnue, appelée à revenir sur les traces de son enfance dans la montagne, à la suite du décès d'un ami d'enfance, Thomas Sérac. Sur place, nouveau flash-back, et nous voici dans la peau de Lison, enfant...
Un premier tome avec beaucoup de questions et finalement très peu de réponses lorsqu'on le referme. J'espère que le tome 2 nous apportera ces réponses...22/02/2022 à 18:49 3
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Un Printemps vert panique
8/10 Ce 4e et dernier tome de la série dédiée à Martin Malivert, groom dans un grand hôtel parisien, est une nouvelle réussite pour l'auteur. Cette fois-ci c'est la comtesse de Garrivier qui a pris sous son aile l'adolescent. La vieille dame, richissime, aime beaucoup le jeune groom (tout de vert vêtu en cette saison), et cela ne plaît pas à tout le monde. A M. Clérard, directeur de l'hôtel, par exemple. Lorsque la comtesse décède, Martin est son unique héritier. De quoi susciter convoitises, jalousies et suspicions...
On retrouve dans ce dernier tome, tous les personnages importants de la série : Mehdi, M. Sartahoui, Marie-Décembre, Louise-Louve, le commissaire Langoisse, les sinistres Lerond, famille adoptive de Martin... Une belle histoire, plaisante à suivre. L'auteur a ajouté en fin d'ouvrage quelques pages sur Paris ("Le tour du monde en vingt arrondissements", "A table !", "Paris sur grand écran", "A Paris c'est toujours le printemps" et "Rendez-vous de printemps".).22/02/2022 à 18:35 1
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Le Portefeuille de cuir de Russie
6/10 Noël 1928, place Vendôme. Le narrateur, ancien reporter, fait la rencontre de Miss Elsa von Laëghels, une Hollandaise très riche, artiste, intelligente, téméraire et... détective privée. Elle va alors raconter ses souvenirs...
Dans la première des trois nouvelles qui composent le recueil aux éditions Oxymoron, elle raconte comment elle a élucidé une affaire de vol, alors qu'elle est jeune surveillante dans un pensionnat anglais. J'ai trouvé la résolution de l'énigme un peu facile avec des aveux à peine arrachés. Quant aux deux autres nouvelles, elles ne m'ont pas laissé un souvenir impérissable... Bref, trois nouvelles de niveau inégal, sympathique à suivre mais sans plus.20/02/2022 à 13:25 1
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Surface
8/10 Cinquième roman d'Oliver Norek, Surface nous éloigne des métropoles pour nous emmener dans la campagne aveyronnaise. Loin de sa série survitaminée et ultra rythmée dédiée à Victor Coste, l'auteur adopte un rythme plus lent, à l'image de son héroïne qu'il prend le temps de "poser" après la terrible agression dont elle a été victime. D'ailleurs une certaine douceur se dégage de ce roman, contrastant avec le début sanglant puis la découverte d'un squelette d'enfant... Mais certains scènes sont particulièrement marquantes (celle de la plongée sous plafond par exemple) et l'auteur sait accélérer son intrigue ou introduire des scènes de tension quand il le faut.
Très plaisant à lire, porté par une écriture fluide sans être "facile", Surface d'Oliver Norek est une nouvelle réussite pour l'ancien policier qui prouve qu'il est à l'aise à la ville comme à la campagne !20/02/2022 à 10:43 6
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Le Village perdu
7/10 En 1959, dans la petite cité minière de Silvertjärn (900 âmes environ), toute la population disparaît. Sur place, on retrouve seulement une femme attachée à un poteau, lapidée à mort et un nourrisson dans une des nombreuses maisons vides du village. C'est cette "matière" pour le moins énigmatique qu'a choisi Alice Lindstedt, dont la grand-mère a vécu jadis dans le village, pour monter un documentaire, raison pour laquelle elle se rend sur place accompagnée de quatre amis qui forment ensemble l'équipe du film. Evidemment une fois sur place, rien ne se passe comme prévu...
Bon disons-le tout de suite, ce roman au pitch hyper alléchant ne tient pas toutes ses promesses. La faute aux personnages, trentenaires pour la plupart mais qui agissent parfois comme des ados. Une expédition si mal préparée qu'on sait qu'elle va foirer dans les grandes largeurs. Des explications quant au fait que les policiers n'ont rien trouvé à l'époque qui sont finalement peu crédibles... Bref, le roman n'est pas exempt de défauts.
Mais il y a aussi les bons côtés, l'ambiance bien retranscrite, la tension qui va crescendo, l'alternance des récits passé/présent... je regrette néanmoins l'absence de plan dans le livre, plan qui aurait pourtant clairement permis une meilleure immersion dans ce "village perdu".
En bref Le Village perdu est un bon thriller, accrocheur, mais qui ne tient pas toutes ses promesses.17/02/2022 à 12:35 8
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Un Automne rouge sang
8/10 Une très belle surprise que ce polar jeunesse. Martin, adolescent de 16 ans, orphelin adopté par son oncle et sa tante à la suite du décès accidentel de ses parents, est placé par ses tuteurs dans un hôtel pour y être groom. A chaque saison, un uniforme de couleur différente. En automne, c'est rouge. L'hôtel des Quatre Saisons est un établissement prestigieux et si Martin y travaille dur, avec des clients pas toujours plaisants et très exigeants, il lui arrive parfois de faire de belles rencontres. C'est le cas de M. Sartahoui, un homme énigmatique, très cultivé et qui a pris le jeune Martin sous son aile. Mais M. Sartahoui est menacé, des inconnus tentent de le tuer. Martin va se retrouver mêler à son insu à cette affaire, qui prend racine dans une guerre civile sur un autre continent...
Une lecture très plaisante, tant le héros est attachant, l'écriture agréable, le cadre (certains quartiers de Paris dont Montmartre) décrit avec délicatesse et la morale de l'histoire inspirante pour les jeunes lecteurs. Vraiment, une très belle découverte.16/02/2022 à 09:49 1
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Esteban du désert rouge
6/10 Un polar jeunesse gentillet qui permet un zoom intéressant sur les indiens Hopis avec un jeune garçon qui renoue avec les traditions anciennes en l'absence durable de pluie. Pas hyper emballant non plus, une lecture distrayante mais sans plus à mon goût.
16/02/2022 à 09:40 1
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Le Maître d'armes
6/10 Une BD qui prend pour socle historique les tensions grandissantes entre huguenots et catholiques dans la France de François Ier. Les intrigues : l'opposition entre deux maîtres d'armes aux armes différentes (l'un l'épée, l'autre la rapière) et la fuite d'un duo composé d'un ancien chirurgien du roi et d'un adolescent, duo qui apporte une bible en langue vulgaire (comprendre "en français") à Genève, poursuivi par des hommes envoyés par la Sorbonne.
Pitch intéressant mais les presque 100 pages se résument trop souvent à des combats sanglants. Malgré le thème qui m'intéresse beaucoup je n'ai finalement que moyennement accroché. D'autres y trouveront très sûrement leur compte mais pour ma part je reste un peu sur ma faim.12/02/2022 à 09:08 1
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Le Petit Napperon rouge
8/10 Hector Hugo (dont je découvre ici la plume) propose au jeune lecteur une relecture punchie et drôle du Petit Chaperon rouge. Cette parodie, où le loup n'est pas bien méchant, où la galette est synonyme d'argent et la mère-grand une vraie force de la nature au caractère bien trempé, amusera sans aucune doute les jeunes lecteurs (dès 6-7 ans). Un texte court mais franchement réussi.
06/02/2022 à 18:17
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Né d'aucune femme
9/10 Porté par une plume majestueuse trempée dans une noirceur insondable, Né d'aucune femme remue les tripes face à la détresse de la jeune Rose, vendue par son père à un maître de forges dont le dessein est monstrueux. Fruit des petites et grandes lâchetés des êtres humains qui gravitent autour de l'adolescente (du père en allant par l'infirmière, en passant bien sûr par Edmond, le docteur...), une situation inextricable que seuls les mots de Rose, de Franck Bouysse, permettent de saisir, sans ne pouvoir rien y faire.
Né d'aucune femme est un très beau et sombre roman, accueilli par une foultitude de récompenses littéraires et de commentaires élogieux objectivement mérités et auxquels je me joins : merci et bravo M. Bouysse.02/02/2022 à 12:46 6
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Le Démon de Mehdi
8/10 … ou comment en une trentaine de pages (et une dizaine de minutes de lecture), traiter du racisme et du vol.
Mehdi est amoureux. Mais l'élue de son cœur, Barbara, en pince pour le beau Mamadou. Pour elle, pourtant, il va faire et dire des choses que sa mère Sandra ne peut accepter...
Un texte bien écrit, pas dénué de suspense même si l'intérêt réside avant tout dans sa morale. Une réussite.02/02/2022 à 12:45 1
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Alerte sur Peenemunde
6/10 Après un premier chapitre un peu abscons avec un jargon prétentieux sur le lancement d'une fusée, l'intrigue commence véritablement : nous sommes en pleine Guerre froide, les Occidentaux veulent mettre la main sur Wolfgang Kirst, un scientifique autrichien, ancien nazi convaincu, arrêté par les Soviétiques à la fin de la Seconde Guerre mondiale et qui désormais participe activement à l'élaboration de satellites en RDA pour le compte du bloc de l'Est. Pourquoi Kirst a-t-il retourné sa veste à ce point ?
Je me suis ennuyé durant la première partie du roman, seulement intéressé par la tirade de Kirst sur ses motivations puis lorsque l'on comprend que tout cela est du vent, alors le récit devient intéressant et la tentative de ramener le scientifique à l'Ouest est agréable à suivre (avec un suspense croissant et des scènes d'action réussies).
Attiré par la belle couverture de Michel Gourdon, j'ai pendant un bon moment cru que je ne garderais que cela en tête après lecture mais finalement c'est un roman d'espionnage très honnête dans le contexte fascinant de la Guerre froide, "vécue" par l'auteur et ses personnages.31/01/2022 à 21:31 2
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La Marque du condor
Patrick Cothias, André Juillard
8/10 Paris, février 1625. Ariane de Troïl a bien grandi. Après les tristes événements du tome précédent, la voilà résidant dans la capitale. « Masquerouge », elle surprend la secte de l'araignée (composée notamment de Marie de Médicis et du frère du roi) en plein infanticide. Masquerouge gêne de plus en plus... et l'on fait appel au Condor (dont le lecteur reconnaît vite les traits) pour provoquer le gêneur.
Un dernier tome qui clôt la série « Les 7 vies de l'épervier » de façon réussie mais l'ellipse entre le tome 6 et le tome 7 m'a un peu gêné (je lis sur Internet qu'il faut lire la série « Masquerouge » pour savoir ce qu'il s'est passé pendant ces 8 années séparant les deux tomes). La fin est en revanche à la hauteur des autres tomes et met une sacré claque au lecteur...
Très heureux d'avoir pu découvrir cette série que je conseille chaudement notamment à celle et ceux qui aiment les récits adossés à l'Histoire.31/01/2022 à 21:14 2
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Menaces dans la nuit
7/10 Vingt ans après "Les Doigts rouges", Marc Villard remet en scène Ricky, maintenant âgé de 11 ans et qui vit avec son frère et sa sœur, tous les deux étudiants. Il va se faire tout un film quant à son voisin (à la mine patibulaire et dont il va découvrir qu'il travaille aux abattoirs) : il violente sa femme et va bientôt la tuer. Le prof de batterie de Ricky essaye de le rassurer mais rien n'y fait, Ricky tremble pour sa voisine...
Une courte nouvelle qui joue sur les apparences, avec une chute qui surprendra sûrement les jeunes lecteurs, cibles de ce polar "Mini Syros".31/01/2022 à 20:56 1
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L'Assassin habite à côté
7/10 Le jeune narrateur (dont on ne sait pas le nom) nous raconte la peur de sa vie : la maison d'à-côté, à l'abandon, vient enfin d'accueillir un nouveau voisin. Mais cet homme semble très étrange. Volets souvent fermés, lourds sacs poubelles sortis la nuit, vêtements tâchés (du sang ?) et cris dans la nuit...
De quoi faire frémir notre narrateur (puis son pote Totor) et surtout le très jeune lecteur (idéal pour les 6-7 ans) !30/01/2022 à 11:12 1
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Les Somnambules
10/10 Ce livre est excellent. Je sais, ce n'est pas une surprise, tous les avis sur PP et ailleurs l'ont déjà précisé. Mais quand même. Chuck Wendig croque la société américaine avec une justesse remarquable. C'est un roman qui nous raconte l'Amérique d'aujourd'hui. Et finalement, ce qu'il y a derrière les somnambules passe presque au second plan, au moins jusqu'à ce que l'on apprenne ce qui se trame derrière tout cela.
La place de la religion et son instrumentalisation, la place des médias, l'extrême-droite, les fake news, les réseaux sociaux et les excès liés, les nouvelles technologies (les nanotechnologies notamment), la tentation millénariste, l'obsession eschatologique, le suprémacisme blanc, une population américaine surarmée... Tout cela est formidablement dépeint. Oui les Etats-Unis d'Amérique sont bien malades. Et choisir le prisme des somnambules pour mettre en lumière tous ces maux est une idée fabuleuse.
En outre Chuck Wendig a créé des personnages auxquels on s'attache (Shana, son père, Benji, Sadie, Marcy, Arav, le vieux rockeur Pete et même, finalement, le révérend Matthew) ou qu'on déteste comme Ed Creel, Ozark Stover (véritable croquemitaine) et sa sinistre bande... Il réussit donc à tisser une vaste et brillante histoire qui se déploie sur près de 1200 pages en permettant aux lecteurs de s'identifier aux différents protagonistes qui la composent.
Enfin, Les Somnambules induit un réflexion sur l'intelligence artificielle, une réflexion aux conclusions franchement inquiétantes.
Pendant un peu moins de trois semaines, ce roman m'a accompagné, quotidiennement. Quand je le refermais, je me repassais inconsciemment ou presque ce que je venais de lire. C'est dire ce que dégage ce roman !
Un grand merci à toutes celles et ceux qui ont mis en lumière ce formidable titre car il est très probable que sans cela (et notamment la sélection PP), je ne l'aurais jamais lu. Vraiment, merci !29/01/2022 à 10:00 11
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La Part du diable
Patrick Cothias, André Juillard
9/10 Nous sommes 6 ans après la mort d'Henri IV. Le jeune Louis a bien grandi mais reste encore sous la coupe de sa mère Marie de Médicis et du clan italien avec les Concini. Mais les temps vont peut-être changer... Louis XIII décide l'arrestation de Concini et la libération de tous les prisonniers de la capitale ! Parmi eux, une vieille connaissance, Germain Grandpin, qui va se rendre en Auvergne...
Des scènes assez crues (comme dans la plupart des tomes précédents) et réalistes grâce au dessin toujours aussi réussi d'André Juillard. Les dernières pages de ce tome 6 laisse le lecteur sous le choc... avec le sentiment qu'une page de la série se tourne. Reste un dernier tome... je suis très curieux de savoir comment le duo d'auteurs a choisi de terminer cette excellente série.28/01/2022 à 19:16 2
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La Magicienne trahie
Grzegorz Rosinski, Jean Van Hamme
7/10 Lu lorsque j'étais adolescent, j'ai relu ce titre pour savoir si je le trouvais toujours aussi bon. Le dessin a vieilli, les couleurs sont bien plus criardes que dans mon souvenir (Gandalf-le-fou a les cheveux littéralement jaunes et porte des vêtements aux couleurs rose et violet). Mais mon intérêt pour cette série a été vite ravivé. D'abord par cette scène de l'abandon de Thorgal enchaîné à un rocher dans les eaux glaciales (tout l'album se passe dans des décors de glace, dans une Scandinavie empreinte de magie noire et dont l'ancrage chronologique est incertain). Puis cette magicienne borgne, avide de vengeance (dont on découvrira le motif plus tard dans l'album), la confrontation de Thorgal avec les deux frères (un géant et un nain)... bref, ce fut un réel plaisir de relire ce premier tome. Cette intrigue ne compte que 33 pages auxquelles ont été ajouté une courte histoire mettant en scène Thorgal se réveillant dans un endroit luxuriant, sous une glacier, au côté de deux soeurs lui expliquant qu'elles ont respectivement 300 et 150 ans... une histoire très mystérieuse à l'ambiance inquiétante et la conclusion un peu déroutante...
Je poursuivrai ma relecture de cette série (dont je n'avais lu à l'époque que quelques titres).28/01/2022 à 18:31 1
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Ta carrière est fi-nie !
6/10 J'avais bien aimé "Absolument dé-bor-dée", son précédent ouvrage. Cette fois-ci, même si j'ai ri (moins), souri (moins aussi), j'ai trouvé que Zoé Shepard exagérait dans sa description de sa mise au placard, au point de ne plus être crédible. L'absurdité des tâches données par des personnages tout aussi absurdes (élus comme fonctionnaires), ça fonctionne au début mais à force, on se lasse parce qu'on n'y croit pas (les scènes au Kenya notamment, ou encore la bêtisé incarnée avec "Coconne").
Et puis je me suis demandé quelles étaient les véritables motivations qui ont poussé l'auteure à reprendre la plume...
Bref, un roman qui fait parfois rire, sympathique entre deux polars, mais guère plus.27/01/2022 à 17:42 2