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Les Monstres
10/10 Toutes ces tortures infligées, ces amours majestueuses, toute cette noirceur derrière la douceur de son regard se posaient inexorablement sur le papier, s’enfermaient derrière les barreaux de ses pages. Une prison de mots qui la laissait respirer plus librement une fois que la clé était enfouie au fond du coffre de son esprit. Antidote impérieux.
17/01/2021 à 12:17 7
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Vox
2/10 Il m’aura manqué certains développements sacrifiés sur l’autel d’une romance presque inutile et de détails scientifiques ennuyeux qui m’ont apportés beaucoup de lassitude et qui ont provoqués ce désamour dépité.
10/01/2021 à 12:16 3
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Impact
9/10 Un auteur éveillé, fier de son nom : Norek
Un homme engagé frissonnant de notre échec
D’un roman, d’un seul il en créa des cauchemars
Jetant, de sa tribune un pavé dans la mare.
03/01/2021 à 12:28 5
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Sukkwan Island
5/10 Il m’en a fallu de la patience pour te garder entre mes mains aussi longtemps, tous ces détails assommants ont participé au fait que tu sois maintenant si mal traité. Te rends-tu compte que tu m’as fait détester cette nature implacable et ingrate que tu décris? Tu as tout fait pour me plonger dans un état d’esprit anxiogène et tu en es parfaitement conscient.
29/11/2020 à 12:39 1
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Les Secrets
6/10 « Les secrets » n’est pas à mon sens le meilleur des romans d’Amélie Antoine. Il y a peu de mystère et si ce n’est sa construction et le talent de son auteure, j’aurais pu complètement et définitivement passer à côté de cette histoire.
15/11/2020 à 10:55 1
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L'Année du lion
9/10 -De la beauté d’âme. De vraies valeurs. De la force. De la violence propre aux vivants. De la solitude et de l’amour aussi. Des choses vraies… loin de cette superficialité dans laquelle nous vivons.....
08/11/2020 à 12:36 9
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La Boîte de Pandore
7/10 « La boîte de Pandore » revisite à nouveau les origines de l’Homme, un des nombreux sujets de prédilection de l’auteur. Une nouvelle théorie, de nouveaux fantasmes, un nouveau rêve.
Là encore, Werber désacralise la mort. On vit puis on meurt. Y-a t-il un avant? Y-a t-il un après?
Là encore, il propose quelque chose de différent.18/10/2020 à 10:17 3
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Et les vivants autour
8/10 Barbara Abel a un don : celui d’entrer dans la tête des gens et de recréer à travers ses mots les sentiments, les ressentis, les peines et les douleurs.
30/08/2020 à 12:40 5
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Les Affinités
6/10 Le grand intérêt de ce roman à mon sens c'est celui de faire prendre conscience de la perte de notre anonymat et de notre intimité. C’est subtil et insidieux mais cela ressemblerait presque à la fouille de nos poubelles à défaut de celle de nos esprits.
23/08/2020 à 09:53 1
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Dans son silence
7/10 Des émotions radicalement différentes se sont emparées de moi tout au long de cette lecture. Passant d’un presque ennui à un plaisir tout à fait sincère, « Dans son silence » aura malmené mon intérêt, perturbé mes impressions, contrasté mon opinion tel un état de bipolarité littéraire.
28/06/2020 à 11:45 2
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Cinq cartes brûlées
8/10 Le style de Sophie Loubière est à la fois élégant et retors. La plongée en immersion dans les ressentis et les affres de son personnage principal est une architecture empathique dont les fondations s’écroulent au fil des pages. Le ciment s’effrite, les couloirs labyrinthiques d’une âme privée d’amour se perdent à chaque étage.
17/05/2020 à 10:44 4
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Le Cheptel
9/10 L’Hydre à plusieurs têtes qu’est « Le cheptel » fait partie de ces romans qui poussent à la réflexion, qui donnent à réfléchir. Et qu’on ne lâche plus une fois commencé.
03/05/2020 à 10:55 7
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Quand on n'a que l'humour...
8/10
Se rappeler qu’avant le chaos et les larmes, le bonheur a existé et se souvenir toujours que lorsque tout est terminé: il n’y a plus trace que pour les remords et les regrets.26/04/2020 à 11:50 1
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L'Epidémie
7/10 « L’épidémie » est le premier roman paru en France de cette auteure suédoise. La qualité d’écriture, les personnages intéressants et fort bien travaillés ainsi que les messages représentés m’ont fait oublier les quelques rares défaut que j’ai pu y trouver. Le style y est habituel aux auteurs scandinaves : nonchalant, emprunt de cette langueur particulière qui leur est propre
19/04/2020 à 11:39 3
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Cauchemar
8/10 « Cauchemar » est une pause dans la bibliographie de l’auteur. Une exception qui confirme la règle, un voyage sur des terres un peu moins méconnues : Les États-Unis. Et pourtant, Cleave ne renie pas son style et on reconnaît bien là la plume de l’auteur néo-zélandais. A croire qu’il réussit à insuffler son âme quelque soit l’endroit du globe.
05/04/2020 à 14:17 5
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Victime 2117
8/10 Comme une déception après l’achèvement d’une longue quête qui mène vers un but auquel on ne s’attendait pas. Comme une attente inassouvie, un mythe qu’on croyait trop inatteignable et qui finalement, s’avère presque banal.
Tant d’années à attendre une explication tout en la redoutant. Tant de pages tournées inlassablement et d’espoir mêlé de crainte en imaginant ce « Pourquoi » qui tardait tant. Tant de mystères enfin dont la partie immergée semblait si démesurée, si inexplicable.29/03/2020 à 14:35 1
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L'Institut
9/10 Tout y est : L’amitié, le courage, la loyauté. Rien ne change, rien ne se transforme. J’ai 15 ans ou 50 ans, peu importe. C’est le monde et les autres qui changent, ce n’est pas moi. Le plaisir et les cauchemars sont toujours là. Peut-être est-ce là le remède à la vieillesse? Ressentir encore et encore quelques plaisirs que certains ont oubliés.
22/03/2020 à 10:19 3
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La Police des fleurs, des arbres et des forêts
7/10 C’est frais un Puértolas. Un peu naïf, un peu candide, souvent onirique. C’est plein de bons sentiments et ça aussi ça réconforte. C’est absurde aussi un Puértolas et j’aime ça l’absurde. Parfois.
01/03/2020 à 10:35 5
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Juste après la vague
9/10 Voici l’histoire d’un renoncement et de ses conséquences. D’êtres forts. De cette force de vivre plus difficile à assumer que celle de mourir. Car résister est plus difficile que se résigner. La résilience est plus compliquée que l’abandon.
16/02/2020 à 08:47 3
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Un Sac
8/10 Le récit est d’une cruauté féroce et sans concession. L’auteure a su adapter son style qui se différencie totalement d’un roman tel que « Une bonne intention ». C’est presque un sentiment d’avarice de mots qui en transpire, comme si les personnages souffraient tant de leur solitude et de leur condition qu’ils n’osaient à peine s’exprimer de peur d’être encore plus seuls.
09/02/2020 à 14:16 1