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Classe tous risques
8/10 Depuis qu’il est en France tout à basculer pour Abel Davos, dit Bil, (inspiré d’Abel Danos, malfrat, tueur à gage et membre de la Carlingue. Raymond Naldi et Thérèse ont été tués en accostant sur une plage de Menton, en tombant sur un douanier et un flic.
Que faire quand on se retrouve seul avec deux fils – 14 et 10 ans - et la flicaille à ses trousses depuis Milan et surtout Turin ?
Tout d’abord gagner Nice, trouver une planque, - un hôtel dont le taulier n'est pas trop regardant et en changer régulièrement -, puis, appeler les potes de Paname. Ceux qui vous sons restés fidèles.
Abel Davos leur a rendu de précieux services. Il estime donc que Riton de la Porte, Jeannot et des autres plus ou moins rangés des affaires et des voitures mettront tout en œuvre pour le secourir.
Mais ses vieux amis sont passés à autre chose.
C’est Éric Stark; la trentaine, qui débarque à Nice au volant d’une ambulance.
Angel, caïd usé, un type sur la pente de la déchéance, survit en multipliant des coups minables.
Davos se sent aussi se sent aussi trahi.
Et la trahison dans le milieu se règle à coup de flingue
Un polar efficace avec quelques clichés.
Les personnages Éric Stark et Jeannot sont intéressants.20/06/2024 à 12:39 1
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120, rue de la gare
9/10 Un Roman graphique superbe. Magnifique adaptation. Le dessin – noir et blanc - de Jacques Tardi est une merveille.
Une histoire complexe depuis un Stalag dans un coin d’Allemagne, jusqu’à Paris occupé, via un Lyon (réaliste) encore en zone libre, et, en passant dans un coin de la Sarthe.
Faroux, inspecteur ; Covet, journaliste qui lève déjà le coude ; Hélène, la secrétaire que l'on filoche et que l'on soupçonne : une inconnue sosie de Michèle Hogan (Michelle Morgan peut-être), et, un des collaborateurs de Burma, Bob Colomer -, truffé de balles sur un quai de Lyon-Perrache.
" La solution se trouve en Zone occupée... et à Paris."18/06/2024 à 21:41 3
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Brouillard au pont de Tolbiac
8/10 C’est la première adaptation en BD de Nestor Burma, le patron de Fiat Lux et le détective qui met le mystère K.O.
Ce 10 novembre 1956, Nestor Burma se rend en métro à l’hôpital de la Salpêtrière au chevet un certain Abel Benoit qui occupe le lit 15 de la salle 10.
« … Un salaud mijote des saloperies. Je t’expliquerai comment sauver la mise à des copains/
L’inspecteur Fabre et Faroux s’intéressent à la mort du chiffonier… du fait qu’il collectionnait les
Au même moment, un individu rappelant les personnages torturés d’Edvard Munch arpente les rues du rues du 13e et surtout le Pont de Tolbiac.
L’individu n’est autre que l’inspecteur Ballin, qui, pourtant en retraite, enquête sur une affaire vieille de vingt-ans.
L’un des meilleurs « Nouveaux Mystères de Paris » où Nestor Burma replonge dans ses souvenirs, tandis que le dessin de Jacques Tardi nous entraine dans l’ambiance sombre de Paris.
Une très belle adaptation.18/06/2024 à 21:01 3
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Les Crayons
9/10 Un 2 novembre, à Château-Chervis, une petite voiture après avoir longé le Donjon (la tour) du château, traversé un pont qui enjambe un cours d’eau, s’arrête devant le café de la Tour. Un homme la soixantaine approchant et sa mère pénètrent dans le Bar-supérette-relais de poste.
Il est 10 heures trente.
L’auteur revient sur les terres de son enfance.
Une sorte de pèlerinage intime et émouvant : 1971 une vielle école communale, des immeubles et maisons limougeauds,
Des souvenirs refont surface :
Un grenier… le Peugeot D3-D4 « Nez de cochon » bleu du ramassage scolaire, Michel, un ami. Catherine, 8 ans, voisine et amie au 23, rue La Fontaine
Le dessin au crayon est superbe.
A posséder et surtout à lire.15/06/2024 à 17:30 2
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Les grandes fêtes
9/10 Au milieu d’une belle journée de septembre, le shérif du comté d’Absaroka rejoint Saizarbitoria qui a arrêté un monospace Chrysler Town & Country tractant une remorque U-Haut, sur le bord d’une rocade. Le chauffeur – Jacob Aaron, de Nogales, Arizona – ou l’un des autres occupants est suspecté de vol de carburant à la station-service Maverik/
Une courte nouvelle subtile dont la chute fait songer à Jack Ritchie13/06/2024 à 19:52 3
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Le Graal du diable
Éric Giacometti, Jacques Ravenne
8/10 Il est difficile et délicat de résumé un roman de la « Saga du Soleil noir » (2e opus du second cycle), sans se perdre dans l’écheveau de l’intrigue ni oublier les protagonistes.
En 1944, dans Paris occupé, tandis que les alliés combattent en Normandie, Tristan Marcas arrêté par les miliciens, croise Solange, ancienne cartomancienne à Pigalle et la « Papesse » de la Milice.
Un colonel, après que les résistants l’aient sauvé, un colonel propose à Tristan Marcas, marchand d’art et espion trouble, de se rapprocher d’Himmler. Il lui apprend que Laure d’Estillac est enceinte et retenue dans un Lebensborn.
Marcas accepte la mission à la seule condition : Exfiltrer sa compagne.
Parallèlement, en 1448, le Prince Vlad Dracul, qui voue une haine sas nom à son frère aîné, échappe au gibet, et, se réfugié auprès de l’Impératrice de Bohème Barbara von Cilli, se lance dans la quête du Graal du Diable.
Occultisme, Légendes, Croyance et Superstition des Nazis.
Efficace et bien construit.13/06/2024 à 19:27 2
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Le Diable à la langue fourchue
9/10 Le shérif Walt Longmire veuf, deux jours avant Noël, en ouvrant le Durant Courant, tombe sur la nécrologie de sa femme. De retour chez lui, porté par le souvenir de Martha, enquille une dizaine de bières. Puis, un charognard à deux pattes, un certain Sherman, qui désire rencontrer Mme Longmire. Il a quelque chose à lui remettre.
Il serait de mauvais goût d’en dévoiler le dénouement.
« Cependant, j’aurais été moins conciliant, beaucoup magnanime… »
Au travers de Walt Longimre montre toutes ses qualités de nouvellistes et surtout humaines.11/06/2024 à 00:02 5
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Le Loup de Matamoros
6/10 Ce loup de Matamoros, qui se déroule à la frontière du Mexique et n’est pas le meilleur des Sam et Sally. Le couple de milliardaires – une lointaine ressemblance avec Nick et Nora Charles les protagonistes de l’Introuvable de Sam Hammett - aventuriers et détectives, sont face à l’ordinaire. 100 000 dollars, des cadavres dont on doit se débarrasser et des ennuis.
08/06/2024 à 14:19 2
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Endorphine
7/10 Le commandant Henry Saint-Donat du DZPJ de Marseille est en pleine dépression depuis la mort de son fils, Octave, et, de sa femme. Au bout du rouleau, il est prêt à prendre sa retraite et à mettre fin à son supplice avec son arme de service.
Alors, qu’il enquête sur la défenestration d’une prostituée de 20-25 ans, il est convié à participer à colloque de l’International Police Association au Québec, en compagnie de Malahide Deloumeaux, sa cheffe hiérarchique. Peut-être que cet intermède lui permettra de faire la paix avec lui-même. C’est une thérapie comme une autre.
Son adjoint – Basile Urteguy, flic-basque-et-musicien – assure la direction l’enquête. Lucie Clert réputée pour son caractère, ses coups de gueule, peste, en enrage.
Des cadavres à Toulouse et à Marseille, conduit le groupe d’enquêteurs phocéens sur les traces d’un Proxénète, pianiste idole de Frédéric Chopin – Frédéric Dupin. Et ses deux hommes de mains Brutus et Jango - Deux grosses brutes.
Quelques longueurs, du rythme, de la violence, et de l’humour dans la noirceur.
Efficace. Une bonne plume.05/06/2024 à 20:58 3
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Sans carte ni boussole suivi de Attaque
9/10 Ce recueil - (Offert par son Libraire et l’Editeur) - contient deux de nouvelles
Sans carte ni boussole: Un couple – le narrateur et sa compagne qui est enceinte –roulant au hasard se retrouve dans un lieu inconnu entre le nord de la Californie et l’Oregon se mettent à pêcher. Un texte Natutre-Writing de 13 pages.
Attaque : Un jeune couple, deux enfants. Le père s’occupe de sa fille en bas-âge. L’aîné joue au Base-Ball avec sa mère devant la maison. Un molosse attaque le fils, le blessant au visage et aux yeux. Tandis que le père culpabilise après avoir tué le molosse devant une petite fille, Benjamin est opéré à Seattle.(20 pages).
Deux magnifiques textes.
Toutefois, j’ai une préférence pour Attaque.
Certains talentueux romanciers ne sont pas à l’aise avec les textes courts. D’excellents nouvellistes ont des difficultés pour produite un roman de bonne facture. Pete Fromm possède ses deux qualités.02/06/2024 à 08:31 2
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La Lisière
7/10 L’ouverture est efficace.
Alors que les Legoff traversent les Monts d’Arrée, en empruntant l’ancienne nationale 785, pour rejoindre Quimper, Hadrien – le mari – s’arrête sur le pas côté. Il a heurté quelque chose. Tom, le fils, douze ans, désireux de se soulager, descend à son tour. Peu après, Vivian constate avec angoisse qu’elle est seule.
Son mari et son fils ont disparu. Un être encagoulé – l’Ankou ( ?), celui qui tranche les âmes - la poursuit avec une hache. Elle croise un chien la gueule couverte de sang.
Un routier la dépose devant la gendarmerie. Vivian raconte sa mésaventure à la lieutenante Maëlys Mons qui dépêche ses hommes et enquête.
Les personnages, bien que complexes, sont survolés. Vivian Legoff vit à « la lisière » entre rêves et réalité. Eva Blair, psychiatre, douée et capable de cerner son ou plutôt sa patiente dès a première séance, « Geronimo » Dylan le Serbe qui veut retrouver son fric, violent, pas de cœur ni aucun état d’âme, tabassant, mutilant et tuant, est doué pour retrouver sans le moindre effort ou si peu.
Puis, Ronan, pauvre gars, toxico et un fétu de paille dans l’histoire, vingt ans, déjà trop malmené dans la vie. D’autres évoqués sont présents dans l’intrigue : Félix le parton pécheur disparu en mer avec son équipage (un clin d’œil à l’un des personnages du « Chien jaune »), Lorie qui rappelle Julie du « Port des Brumes » la servante de Joris).
Au fur et à mesure on devine l’issue, le dénouement prévisible
Une petite déception…
Au-delà de celle-ci, il y a l’ambiance bretonne, ses mystères, ses marécages et sa tourbe.
Et le style et le savoir-faire de l’auteur.
Même si « La lisière » est en deçà de Respire je continuerai à lire Niko Tackian.01/06/2024 à 13:28 5
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Incendiaire
8/10 Lors des fêtes de Noël, dans une maison de retraite, Wat Longmire passe un moment en compagnie de l’ancien shérif Lucian, qui est soupçonné d’avoir incendié, la chambre 32.
En s’attardant sur des vielles photos, suspendues au mur, tandis qu’un de ses amis lui raconte les incendies criminels du Desmet Lodge, de l’Antelope, du Bar sur Main Street, du Dancing, Walt Longmire va cheminer vers la vérité et clore des affaires vielles d »un demi-siècle.
Une vérité tenue qui tient sur un fil. Ce n’est pas si dérangeant, quand on retrouve l’ambiance du comté d’Absaroka et des personnages attachants.
J’ai également fait des recherches sur la « Loi des terres désertiques de 1877 » et celle de 186227/05/2024 à 10:25 4
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Un vieux truc indien
9/10 Une courte nouvelle qui nous entraîne dans le sillage du shérif Longmire et vieil indien Lonnie Little Bird. En route vers un hôpital, ils font une halte dans un restaurant qui vient d’être braqué.
La solution se trouve, sans doute, dans la lecture du Shosbone Shopper. Un journal gratuit…
Une histoire intelligente et brillante.27/05/2024 à 09:54 4
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Les Prédictions de Nostrabérus
7/10 San Antonio, flic et écrivain, est en Suède pour recevoir le prix Nobel de littérature. (Michel Audiard, la Pointure du dialogue, a été l’un lauréat).
Chèque en poche, San Antonio est abordé par un certain Gustav Maeleström, juré du Prix littéraire, scatophage réputé, invite notre commissaire, romancier et lauréat, à dîne. Au cours de ce dernier, son hôte demande à San Antonio de retrouver Borg Borïgm, un meurtrier.
Après avoir renâclé ou renaudé selon son humeur, il accepte de mener l’enquêter, par une ravissante jeune femme, Eggkarte Tequist, fille d’un hôtelier, et, Bérurier qui a des visions et des prédictions !
San Antonio en Suède, en compagnie d’une jolie suédoise par bien farouche, à la poursuite d’un fugitif.
Un prétexte à calembours et à la grivoiserie.
Un bon moment de lecture.22/05/2024 à 11:00 3
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Replay
7/10 Tout commence pour Loïs Miller comme une romance et un conte de fée qui virent au cauchemar.
Tristan Danton n’est pas ce qu’il veut faire croire. Plutôt un névrosé et un ingénieur informatique génial et créateur de jeu vidéo qui préfère vivre dans la Réalité Virtuelle.
Loïs Miller, journaliste scientifique, qui se fourvoie, choisit des impasses et un deal dangereux, a deux amis. Flo qui lutte contre un cancer. Avel, son voisin de l’étage du dessous et journaliste. Les trois se connus à l’école de journaliste de Lille
Tristan Danton est suivi par la professeure Claire Jouan. Une arriviste et une carriétist , régnant sur le CHU de Caen
Loïs a des entretiens réguliers avec le psychiatre jules Mars depuis seize mois. Un psychiatre de la veille école.
RePlay Le nouveau jeu et L’IA happent Loïs Miller qui retombe entre les mains du pervers.
Des longueurs Carriériste des personnages sans véritable de profondeur.
L’idée de départ est cependant intéressante.
Est-ce qu’l’intelligence Artificielle est-elle capable d’effacer nos douleurs persistante, parvenir à nous guérir, ou, à nous accompagner dans nos derniers jours.20/05/2024 à 23:25 2
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Comment j'ai tué ma famille
7/10 Grace Bernard, vingt-huit ans, purge une peine de seize ans, dans la prison de Limehouse en Angleterre, pour le meurtre de Caro, une jeune femme insupportable, entichée de son meilleur ami et décidée à l’épouser. Un meurtre qu’elle n’a pas commis, alors qu’elle a déjà tué. Six membres de sa famille.
Dans la cellule, qu’elle partage avec Kelly qui est tombée pour chantage, Grace Bernard, fille naturelle de Simon Artemis, un milliardaire, raconte ses meurtres qu’elle a projetés dès ses treize ans, au décès de sa mère.
Le premier celui des grands-parents à Marbella, son cousin protecteurs des grenouilles, son oncle obsédé du sexe, la femme de Simon claquemurée dans sa propriété pour à Monaco… et sa fille. Le point d’orgue sera Simon. Après, elle réclamera son dû. C’est-à-dire l’Héritage.
Humour noir et cynisme. Une intrigue décalée et très convaincante Et un dénouement surprenant.
Grace Bernard est parfois antipathique. Mais, on l’aime.20/05/2024 à 23:23 2
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Quelque chose de froid
Hugues Labiano, Philippe Pelaez
9/10 Ethan Hedgeway revient à Cleveland (Ohio) en 1936, après cinq ans dans un pénitencier. Comptable et spécialiste des « basses besognes », il a trahi Frank Milano, le parrain de la ville et réfugié à Veracruz au Mexique/
Alice, la femme d’Ethan Hedgeway, a été tuée sur l’ordre de Milano. Et envoyé Hedgeway « en pièces détachées et enveloppées dans de jolis paquets marrons. Le dernier envoi avait été celle de la tête.
Il se fait coincé par l’inspecteur Merylo, qui est accaparé par l’affaire du « Boucher de Kingsbury Run », il échoue dans un hôtel miteux. Le Maimed King.
Une ambiance proche Dashiell Hammett et de Sam Spade.
Un hommage aux films noirs des années 40 et 50 en respectant tous les codes. Les tueurs, la femme fatale, la vengeance, des flics corrompus.
Scénarisé par Philippe Pelaez, dessiné par Hugues Labiano.
Un album de haute tenue.11/05/2024 à 15:54 1
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La Panne
10/10 Alfredo Traps, quarante-cinq ans, VRP en textile, roulant sur une route de Suisse, tombe en panne. Il doit laisser sa aux mains d’un garagiste. Au lieu de rentrer chez lui et trouver sa femme et ses enfants, en train et pédibus, il choisit de rester dans le village. Il finit par échouer chez vieil homme qui loue de temps à autre une chambre aux quidams de passage.
Dès qu’il est introduit dans la demeure, le VRP est invité à se joindre au dîner avec des amis et à participer à un jeu, un procès fictif.
En effet, les trois amis en retraite, Tajard – le procureur -, Gindre – l’avocat de la défense-, et, le Maître de maison, le juge aèrent leur vieillesse à jouer au tribunal.
Alfredo Traps sera donc l’accusé.
Son « procès » se déroula pendant le dîner gargantuesque et copieusement arrosé d’apéritif, de vins millésimés, d’alcool fort.
Simone, la gouvernante qui a préparé le repas et dressé la table, sert les convives.
Le représentant exclusif du tissu synthétique Héphaïstos se prend au jeu, l’ivresse aidant/
Et si Traps avait vraiment tué Gygax, son ancien directeur ?
Humour noir, originalité.
Dévoré avec un réel plaisir cette longue nouvelle de cent pages, cinématographique.06/05/2024 à 22:14 5
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La Lune de l'âpre neige
7/10 Une tribu anichinabée vit dans une réserve depuis des décennies dans le Grand Nord Canadien.
A la fin de l’automne, Evan, soucieux d’avoir assez de provisions, de viande et de nourritures pour l’hiver, chasse et abat un élan.
Une panne d’électricité isole la réserve du reste du monde. La communauté doit s’organiser, s’entraider, afin de survivre en espérant un aléatoire retour à la normale.
Le retour de deux jeunes gens de ta tribu et, surtout, l’arrivée de Justin Scott vont bouleverser ce qui lie encore la communauté.
Roman post-apocalyptique et dystopique, pessimiste.
L’intrigue, en se fiant au synopsis et à la quatrième couverture, était alléchante. Toutefois, ce roman quelques défauts. Un longue première partie et une seconde – plus rythmée, des personnages manquant de profondeur, Justin Scott, l’antipathique, mal défini.
Il reste néanmoins que c’est un futur plausible.
La Lune de l’âpre neige rappelle ; à quelques égards, Malevil de Robert Merle et Sécheresse de James-Graham Ballard.06/05/2024 à 12:28 2
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Nestor Burma court la poupée
8/10 Une autre mouture de Coliques de Plomb.
Nestor Burma toujours aussi fauché accepte de s'occuper d'une affaire , vieille de plusieurs années. Les époux Bonamy ont perdu leur petite-fille; victime du docteur Mauffrat.
En pénétrant chez le toubib, il assiste à un double meurtre. Celui de Mauffrat et d'un Garde du corps.
Leo Malet est excellent pour évoquer la noirceur et Paname des années 60.02/05/2024 à 18:24 2