196 votes
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Sous les vents de Neptune
8/10 Un très bon Vargas, empreint de poésie, d'humour et d'humanité. Chaque personnage est un chef d'oeuvre à sa manière, et je me suis régalé des situations, des dialogues (en particulier entre Adamsberg et Danglard) et autres délires animaliers dans la cathédrâle de Strasbourg :-) Petit bémol pour le dénouement, et quelques ficelles un peu grosses, mais l'ensemble est tellement plaisant à lire !
18/06/2012 à 12:15 2
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Sphère
7/10 J'ai bien apprécié le thème cher à la science-fiction, les confrontations des scientifiques, les détails techniques sur les abris sous-marins, et l'ambiance générale effrayante. Mais à un moment, l'intrigue a pris une direction qui m'a un peu déçu, et j'ai saturé devant le manque d'action et de renouvellements scénaristiques. J'ai terminé moins passionné que je n'avais commencé. 6,5/10
06/08/2011 à 16:41
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Stigmate
8/10 Stigmate me laisse presque l’image de 2 romans distincts, et en tous cas, 2 ressentis opposés. Dans les 1ère et 2e parties, j’ai adoré l’ambiance psychologique, due en grande partie au génie et aux réflexions anthropologiques de Kurtz. De plus, on ressent chez ses victimes, libres ou captives, l’empreinte malsaine du dresseur: une paranoïa, un vide affectif et social. Les stigmates du conditionnement de Kurtz sont des chaines psychologiques qui relient pour toujours les victimes au tortionnaire. A partir de la 3e partie, les 150 dernières pages, je me suis réellement ennuyé… le rythme lent, les rapports improbables entre les 3 personnages, la pension de famille… peut-être aussi l’absence remarquée de Kurtz ? Puis le dénouement ne m’a pas convaincu, non plus, mais crée une ouverture pour Instinct, que je lirai bientôt. Pour Stigmate, j’évalue mon plaisir de lecture à 8/10, mais à la fin de la 2e partie, j’aurais mis 9,5/10.
31/10/2009 à 12:28
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Sukkwan Island
7/10 Une histoire assez poignante et pleine de mélancolie au départ. On ressent un lien fragile entre les personnages, dans un milieu hostile qui ne leur facilite pas la tâche. Puis ça dégénère et ça devient vraiment glauque, une situation désespérée, des visions d’horreur, rien n’est épargné au lecteur. J’ai également bien aimé la fin, qui reste dans l’esprit très noir du livre. Globalement, il m’a manqué quelques ingrédients pour que la mayonnaise prenne vraiment, mais je garderai un bon souvenir de cette lecture.
16/11/2013 à 12:58
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Thérapie
9/10 Une 1ère moitié bien flippante avec du suspense, des zones d'ombre et une ambiance glauque. Ca se calme dans la 2e moitié où on bascule plus dans la psychiatrie. L'ensemble du livre m'a vraiment séduit, et je me suis forcé à le refermer, pour dormir un peu, sinon je le finissais en une nuit !
06/08/2011 à 16:27 2
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Total Khéops
8/10 Plus qu'une enquête policière, Total Khéops est un enchevêtrement de tranches de vie, empreint d'humanité et de poésie, dans la cité de la Bonne Mère. Et magnifique personnage que ce Fabio Montale, énigmatique, mélancolique, un peu à côté de ses pompes mais qui n'hésite pas à mettre les pieds dans le plat, au nom de l'amour, l'amitié, la justice. Après la lecture, restent de belles images de Marseille, et un regard juste sur la société.
13/01/2010 à 15:35 1
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Tout ce qui meurt
8/10 J'ai apprécié l'ambiance très sombre de ce roman, ainsi que les décors, en particulier le bayou, les marais, et bien sûr la personnalité de Bird. Par contre, au fil de ma lecture, j'ai un peu mélangé les personnages, et je n'ai pas pu relier précisément tous les événements.
14/10/2009 à 18:55 1
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Train d'Enfer pour Ange Rouge
9/10 Aussi bon que "Deuils de miel" (lu avant, ça ne m'a pas trop gêné heureusement). Sharko nous emporte encore dans une traque effrénée, dans les profondeurs de l'être humain, au coeur du vice. On découvre (ou pas ?) des pratiques du milieu sado-maso, c'est dérangeant, on ressent de la souffrance, du dégoût, mais c'est fait sans voyeurisme, sans racolage. Normal, c'est le style Thilliez: précis et puissant, sombre et poétique, diabolique et humain... je suis addict'.... raaaââhh, je dois absolument espacer mes prises !! ;-)
05/01/2009 à 17:43 1
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Treize et demi
3/10 3,5/10. Un thriller sans finesse, à l’intrigue classique et qui tente de jouer sur la tension psychologique et un suspense en carton. Pendant la moitié du livre, on a une alternance entre 3 histoires distinctes et peu intéressantes, qui vont se rejoindre, ça ne fait aucun doute, mais ça n’avance pas, et rien n’est fait pour que le lecteur s’attache aux protagonistes. Quelques intériorisations de personnages ont retenu mon attention, mais globalement je n’ai été convaincu ni par le fond, ni par la forme. Je me suis ennuyé !
28/09/2011 à 16:09
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Un Cri dans la nuit
5/10 La 1ère moitié est particulièrement lente et "gnan-gnan". Ca s'accélère un peu par la suite - enfin un peu d'action - mais je n'ai pas été emporté par l'histoire, et je ne me suis pas inquiété pour les personnages. OK il y a une tension psychologique, on se pose des questions, on essaie de deviner la fin... Mais vraiment rien d'original. C'était mon 2e MHC, j'arrête les frais.
11/09/2008 à 14:34
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Un dernier verre avant la Guerre
9/10 Un roman noir remarquable, très bien écrit. Kenzie et Gennaro sont des personnages excellents, leurs dialogues sont pleins d’humour et la relation qu’ils entretiennent est très intéressante à suivre. On se doute qu’elle va évoluer dans les tomes suivants, et également que des zones d’ombre sur le passé de chacun vont se lever. La violence est omniprésente dans ce roman, soit dans le passé, soit dans le quotidien des personnages et aussi dans l’action liée à l’enquête. Ce n’est pas pour me déranger, car c’est bien dosé. J’ai simplement moins apprécié les passages plus typés thrillers (poursuites, fusillades), et l'intrigue basée sur une guerre des gangs, qui m’a semblée déjà-vu (mais le roman est de 1994…). C'est finalement un 8.5/10 sur mon échelle.
04/04/2014 à 16:33 5
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Un Monde Sans Fin
8/10 Je regrette les similitudes évidentes avec les Piliers de la Terre, à tel point qu’on pourrait associer presque tous les personnages ou les situations, 2 à 2 : La construction de la cathédrale devient la construction du pont, le bâtisseur et génie Jack devient Merthin, qui ne voyage non plus en Espagne mais en Italie, la féministe avant l’heure Aliéna devient Caris, la brute épaisse William devient Ralph, l’évêque ambitieux Waleran devient le prieur Godwyn, etc. Malgré tout, ce « Santa Barbara à Kingsbridge » m’a de nouveau fait passer d’excellents moments, je me suis attaché aux personnages, et j’admire Follett pour sa capacité à construire de telles fresques. Finalement, moins de surprise que dans le 1er opus, un peu plus de longueurs, donc une cote de plaisir un peu plus basse (7.5/10), mais encore un roman agréable à lire et très distrayant !
07/12/2014 à 19:21
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Un Tour sur le bolid'
7/10 Entre cauchemar et superstition, cette nouvelle nous ramène vers nos croyances et nos peurs d'enfant. Très rapide (comme le bolid') et agréable à lire.
20/08/2008 à 09:43
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Un Train d'Or pour la Crimée
8/10 Histoire superbement racontée par Crichton. L'ambiance de l'Angleterre du XIXe siècle est bien rendue, avec en prime des rappels historiques, sociaux, urbanistiques. Rien à dire, c'est propre, assez court, et agréable à lire.
19/05/2009 à 10:55 1
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Une histoire de fous
8/10 J'ai beaucoup aimé l'ambiance, les personnages, leurs rapports, et les intériorisations. Katzenbach tente de nous faire toucher du doigt l'essence de la folie, et aussi ce paradoxe qui existe entre être fou et en même temps conscient de son état. Il décrit avec empathie des gens qui doutent de leur capacité de jugement, qui savent être atteints, mais se demandent à quel point. Le regard de l'auteur est très humain, ses descriptions sont justes, et quelle écriture !! Ce livre m'a bien accroché, sauf un coup de mou vers les 2/3, une impression de faire du sur-place... et au final, c'est globalement trop long par rapport à l'histoire qui est racontée... heureusement qu'il se lit facilement ! 7.5/10
19/07/2010 à 10:13
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Vendetta
8/10 8,5/10. Ellory met sa superbe plume au service d’une grande histoire de mafia, une société dans la société où baignent criminalité, meurtres, corruption, trahisons. Mais c’est aussi l’histoire d’un homme, Ernesto Perez, personnage raffiné, complexe, autodidacte, à partir de son adolescence, l’origine de son caractère, jusqu’à ses 65 ans, son retrait du business. On observe son évolution au fil des années, et le tout est tellement bien décrit qu’on se prend d’affection pour ce tueur. On le comprend un peu, on lui pardonnerait presque ses actions, ses choix, et on a parfois l’impression qu’il est juste tombé dans un piège ! Je ne reprocherais que la longueur du bouquin, car certains schémas se répètent (les rencontres, les déménagements, les missions, etc.), et une fin moyennement crédible. Mais au final, encore un remarquable roman de RJ Ellory :-)
17/04/2013 à 15:13 2