A Galway, Stephen, petit truand irlandais, déplore la perte récente de son meilleur ami Tommy, abattu lors d’un braquage par le troisième membre du trio.
Siobhan, sa petite amie, travaille dans une banque d’affaire. Elle va se charger de blanchir l’argent sur place, tandis que Stephen va l’attendre de l’autre côté de l’Atlantique, le couple ayant prévu de se retrouver à Tucson.
Seulement sur place, rien ne se passe comme prévu. Stephen retrouve par hasard Juan, un ancien compagnon de chantier reconverti dans le banditisme local. Mais surtout, il rencontre Sherry, la copine de ce dernier, un peu trop belle pour qu’il puisse résister.
Pour Stephen, le cauchemar américain ne fait que commencer…
Cauchemar américain ne fait pas partie des deux séries (R&B et Jack Taylor) de Ken Bruen, mais les éléments ayant fait sa renommée sont ici bien présents.
On y retrouve une certaine nostalgie typiquement irlandaise (bronach, en gaélique), l’auteur nous offrant par la pensée de Stephen de très belles réflexions sur l’amitié, sur la fidélité, ainsi que sur l’Irlande et ses habitants. Comme toujours, Ken Bruen a le sens de la formule et nous assène ses petites phrases, souvent aussi justes qu’humoristiques.
L’intrigue, qui s’apparente à un road-movie, est assez décousue et comporte de nombreux flash-backs, ce qui pourrait dérouter certains lecteurs. Cependant, une fois que l’on accepte de se faire balader par l’auteur, elle se laisse lire agréablement. On en vient alors à suivre le périple américain de Stephen, un parcours pour le moins semé d’embûches.
Au final, Cauchemar américain est un bon roman noir, qui ravira les fans de Ken Bruen mais qui pourrait s’avérer assez difficile d’accès pour les autres.
En effet, ce roman assez particulier n’est sans doute pas le meilleur qu’on puisse conseiller pour faire découvrir ce grand nom du roman noir irlandais.
A Galway, Stephen, petit truand irlandais, déplore la perte récente de son meilleur ami Tommy, abattu lors d’un braquage par le troisième membre du trio.
Siobhan, sa petite amie, travaille dans une banque d’affaire. Elle va se charger de blanchir l’argent sur place, tandis que Stephen va l’attendre de l’autre côté de l’Atlantique, le couple ayant prévu de se retrouver à Tucson.
Seulement sur place, rien ne se passe comme prévu. Stephen retrouve par hasard Juan, un ancien compagnon de chantier reconverti dans le banditisme local. Mais surtout, il rencontre Sherry, la copine de ce dernier, un peu trop belle pour qu’il puisse résister.
Pour Stephen, le cauchemar américain ne fait que commencer…
Cauchemar américain ne fait pas partie des deux séries (R&B et Jack Taylor) de Ken Bruen, mais les éléments ayant fait sa renommée sont ici bien présents.
On y retrouve une certaine nostalgie typiquement irlandaise (bronach, en gaélique), l’auteur nous offrant par la pensée de Stephen de très belles réflexions sur l’amitié, sur la fidélité, ainsi que sur l’Irlande et ses habitants. Comme toujours, Ken Bruen a le sens de la formule et nous assène ses petites phrases, souvent aussi justes qu’humoristiques.
L’intrigue, qui s’apparente à un road-movie, est assez décousue et comporte de nombreux flash-backs, ce qui pourrait dérouter certains lecteurs. Cependant, une fois que l’on accepte de se faire balader par l’auteur, elle se laisse lire agréablement. On en vient alors à suivre le périple américain de Stephen, un parcours pour le moins semé d’embûches.
Au final, Cauchemar américain est un bon roman noir, qui ravira les fans de Ken Bruen mais qui pourrait s’avérer assez difficile d’accès pour les autres.
En effet, ce roman assez particulier n’est sans doute pas le meilleur qu’on puisse conseiller pour faire découvrir ce grand nom du roman noir irlandais.