Deux courtes nouvelles d’un écrivain profondément ancré dans les luttes sociales et politiques de son pays. Il délaisse ici le roman policier pour nous guider dans un énigmatique univers industriel.
L’araignée n’est autre qu’un mystérieux syndicat, qui anonymement et non sans humour rappelle aux ouvriers que leur travail s’inscrit dans un fonctionnement économique global, dont ils oublient parfois la dimension idéologique. Évidemment, la puissance du syndicat ne tient qu’à un fil : la constance et l’engagement de chacun…
On en parle sur le forum : Paco Ignacio Taibo II
Soumis le 10/04/2014 par Hoel