Un secret amer

(Bittersübe Zitronen)

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  • 7/10 Ce polar qui se déroule entre Capri et Sorrente, débute comme un polar espagnol ou argentin – un flic (uniforme) qui vit dans un appartement au-dessus de celui de ses parents et file une aide régulière à son père qui commence à être trop vieux et affaibli pour faire le faire le boulot qui faisait seul. Puis, ce polar continue dans une ambiance très italienne – chère à Piergiorgio Pulixi, (Eva et Marta, les inspectrices milanaises mises dans un placard en Sardaigne), de Valerio Varesi, (Parme, sur les traces de Soreni), ou la sulfureuse Sicile d’Andrea Camilleri et de Montalbano. Et Naples la sulfureuse - et le commissaire Ricciardi.
    Par une nuit sans lune, sur une route de l’Île de Capri, un triporteur traverse la chaussée, et plonge dans le ravin. L’agente Enrico Rizzi est témoin de l’accident. La victime n’est autre qu’Elisa Constantini. Le triporteur, qui a été saboté, appartient à la famille Bellini. Une des familles les plus riches.
    Enrico Rizzi et Antonia Cirillo - (protagoniste la plus intéressante) – sont chargés de l’enquête.
    Une intrique classique à l’ombre des citronniers de la fabrique de Limoncello de la signora Aurora Bellini, géré aujourd’hui par Simon Mugele - le gendre et un ancien ouvrier clandestin.
    Une bonne histoire.

    17/05/2025 à 12:16 Max (831 votes, 8.1/10 de moyenne) 2