3/10 Histoire improbable, alors que ce genre de récit doit être un minima crédible (à mes yeux du moins).
Style narratif pesant à fatigant.
J'ai lu les 50 dernières pages en diagonale pour le finir au plus vite (car j'ai encore un peu de mal à ne pas finir un livre même si je le trouve médiocre)

01/07/2011 à 21:55 erta (99 votes, 7.5/10 de moyenne) 1

8/10 C'est dur, très dur, d'autant plus quand on se dit que la réalité rejoint largement la fiction... On aime et on déteste tout à la fois Carole Matthieu, tout en prenant conscience que c'est le monde du travail qui la met dans cet état... Un polar oui, mais qui bouscule les consciences.

15/06/2011 à 14:07 Sybil (642 votes, 7.5/10 de moyenne) 1

9/10 L'auteur nous entraine avec lui dans la descente aux enfers d'un médecin du travail... Un roman noir, très noir, qui prend aux tripes, du grand Ledun, à lire de toutes urgence!

21/05/2011 à 11:15 Haoua (50 votes, 8.3/10 de moyenne) 1

10/10 Le meilleur roman de Marin Ledun, lu deux fois tellement j'ai aimé. On entre dans l'histoire sans pouvoir en sortir.

08/05/2011 à 03:25 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne) 1

9/10 Un roman d'une grande noirceur, déprimant il faut bien le dire, mais d'une réalité révélatrice. Arrêtons de nous voiler la face, Marin Ledun dévoile ici ce que tout le monde pense tout bas mais n'ose dire tout haut. Il y a de plus en plus de Carole Matthieu dans notre société, comment peut-on accepter de tels mal-être au travail dans notre monde d'aujourd'hui? comment cela est-ce possible? comment y remédier? Il y avait bien longtemps que je n'avais lu un roman de Marin et du retard à rattraper et finalement je m'aperçois que l'auteur a énormément progressé dans la maitrise de son écriture et que c'est bien le roman noir que je lui préfère, il excelle !

13/04/2011 à 10:57 Mag (372 votes, 8.1/10 de moyenne) 1

9/10 Carole médecin du travail dans une grande entreprise de téléphonie.Jour après jour , la préssion du résultat,l'individualisme , la sauvagerie du monde financier , l'accumulation des traumatismes des employés vont pousser carole au point de non- retour. Une descente en enfer ou la folie frolle la réalité.Marin Ledun sort certainement avec "les visages écrasés" son meilleur livre......

12/04/2011 à 12:04 voxac30 (147 votes, 7.8/10 de moyenne) 1

10/10 Il ne faut pas avoir peur des mots : ce roman noir est une merveille! Dès qu'on lit les premières lignes on est happé par cette histoire que vit cette femme medecin du travail qui franchit la ligne jaune afin de soulager sa conscience et de libérer les salariés de son entreprise.
Ce roman est d'une noirceur extreme, oppressant et prend aux tripes comme jamais.
Marin Ledun améliore son style et son écriture de roman en roman et avec cet opus il frappe un grand coup.
Comme le disent Fredo & Holden : A lire de toute urgence!!!!

07/04/2011 à 20:02 rossonere (309 votes, 7.2/10 de moyenne) 1

10/10 10, parce qu'un roman aussi intense et proche de notre vie, c'est rare, tres bien écrit, Fredo a tout dit
à lire d'urgence

07/04/2011 à 08:22 holden (280 votes, 7.9/10 de moyenne) 1

9/10 Je partais avec un a priori négatif : le choix du sujet n'était-il pas opportuniste, pour surfer sur les drames qui ont fait la une de l'actualité ? Mais finalement il est traité avec beaucoup de subtilité, au contraire de ce que l'écriture pourrait laisser penser. On sent que l'auteur connaît le phénomène, qu'il s'en inspire et le dénonce mais qu'il ne l'exploite pas. Les mots ont déjà été utilisés par les autres lecteurs : il s'agit d'une descente aux enfers qui prend aux tripes, très éloignée d'une vision simpliste et manichéenne. Je ne trouve pas non plus l'histoire improbable ; après tout, les noms qui reviennent sont peut-être une dizaine, ce qui n'est pas énorme sur une entreprise de 70 salariés environ. Le style quant à lui est rude et saccadé, mais il colle parfaitement au récit et surtout à la personnalité du personnage principal. On ne peut pas dire que c'est une lecture "plaisir", mais c'est à lire - vraiment.

25/11/2011 à 19:39 Horatio (294 votes, 7.5/10 de moyenne)