Alors qu’il creusait une tombe dans un cimetière des Flandres, Jean-Pierre Claeneboo, fossoyeur, heurte une bombe qui pulvérise les lieux et le pauvre homme.
Les analyses montrent qu’il ne s’agissait pas d’obus, comme on en trouve beaucoup dans le coin, mais de mines anti-char russes placées là intentionnellement. On parle d’attentat et au vu de l’importance du dossier, la gendarmerie locale est dessaisie de l’affaire au profit de la criminelle et c’est Stéphane Marquet qui hérite du dossier.
Une fois sur place, il se heurte à l’hostilité des trois frères restant qui refusent de parler mais d’autres personnes plus loquaces, la femme de ménage notamment, lui apprennent que la maison a été fouillée par un inconnu juste après l’attentat. Après le décès de l’aîné dans un accident de voiture une semaine auparavant, la vengeance devient un mobile évident pour Marquet.
On en parle sur le forum : Le cimetière des morts qui chantent, de Maxime Gillio
Soumis le 03/04/2009 par El Marco