Le Somnambule

(Der Nachtwandler)

9 votes

  • 6/10 Roman étrange et déroutant. L'histoire est un peu alambiquée, confuse mais reste intéressante. Une première partie plaisante, mais la suite est très confuse. Heureusement, les derniers chapitres donnent une explication assez originale.

    10/01/2022 à 17:27 Franck 28 (726 votes, 7.7/10 de moyenne) 2

  • 5/10 La thématique était alléchante, mais il y a eu trop de confusion qui enlève le plaisir de lecture. Trop de rebondissements, Trop de fausses pistes. Trop, c'est trop. Sans parler de la fin qui n'a rien arrangé, d'une invraisemblance à en rire de ridicule et l'absence de repères spatiotemporels que je déteste particulièrement quand je lis un roman.

    13/09/2020 à 19:33 LeoLabs (338 votes, 7.3/10 de moyenne) 5

  • 6/10 Des longueurs tout au long du livre où l'on ne sait pas si il s'agit des rêves du protagoniste ou de la réalité, rendant confus le récit. Par contre, une très belle fin assez originale concluant bien le bouquin.

    29/04/2018 à 17:33 jasonkite (261 votes, 6.9/10 de moyenne) 3

  • 6/10 Si vous cherchez un « thriller haletant », Le Somnambule pourra sans doute faire l’affaire. Pour autant, si vous ne connaissez pas encore Sebastian Fitzek, je vous conseillerais plutôt Thérapie ou Le Briseur d’âmes. Et si comme moi, ce type de « pageturner industriel » n’est plus votre tasse de thé (ou ne l’a jamais été), vous pouvez passer votre chemin sans regret.

    10/03/2018 à 19:51 Hoel (1164 votes, 7.6/10 de moyenne) 6

  • 9/10 Leo Nader a emménagé avec Natalie, sa femme, dans un appartement qu’il pensait inaccessible pour leurs revenus communs. Somnambule, il a été traité dans son enfance par le psychiatre Volwarth, et il pensait ses crises définitivement passées. Mais un matin, Natalie dévoile son visage, massacré. Leo lui a fait subir ce passage à tabac au cours de l’une de ses crises inconscientes. Leo décide donc de recontacter Volwarth et s’équipe d’une caméra qui va lui permettre de filmer ce qu’il fait la nuit lors de ses égarements involontaires. Le début de la descente aux enfers.

    Avec ce roman, Sebastian Fitzek frappe fort. Très fort, même. Le pitch séduit d’entrée de jeu, et le rythme imposé à l’intrigue, qui ne faiblit jamais, entraîne le lecteur jusqu’à la fin, le souffle haletant. L’histoire, dédaléenne, machiavélique, est brillante, hérissée de multiples rebondissements, avec des personnages secondaires très intéressants. En malheureuse victime de son somnambulisme, Leo attire immédiatement l’empathie, et l’on suit avec une attention soutenue les diverses épreuves qu’il va subir. Autre trait marquant de cet ouvrage : l’immeuble où habite Leo. Un bâtiment qui constitue, à lui seul, une entité, voire un individu. Composé de secrets, de pièces dérobées, de couloirs clandestins, comme autant de chausse-trappes, faisant bien évidemment écho à la situation incroyable que va vivre Leo. Est-il réellement coupable des maux dont il en vient à s’accuser lui-même ? Comment son psychiatre peut-il avoir été en contact avec Natalie ? Que recèlent ces diverses énigmes qu’il va devoir résoudre ? Un scénario palpitant, effréné, ménageant de nombreuses scènes d’angoisse, magnifiquement tissées par Sebastian Fitzek comme autant de toiles d’araignées. Et que dire du final – plus exactement, de ce triple final, diabolique, rebattant toutes les cartes de l’histoire, au point nous obliger à repenser le livre dans sa globalité pour mieux en saisir tout le sel ?

    Un roman de très haute volée, au-dessus duquel planent les ombres de la folie, la schizophrénie et de la paranoïa, et qui ne délivrent les clefs des multiples serrures que dans les ultimes pages, après bien des frayeurs. Le type même du bouquin qui déstabilise et désarçonne, et laisse le lecteur pantois. Une réussite totale.

    07/11/2017 à 19:47 El Marco (3455 votes, 7.2/10 de moyenne) 6

  • 7/10 Ce roman est un peu déroutant. On plonge avec plaisir dans le 1er tiers de l'histoire, pour avoir l'impression ensuite que c'est du grand n'importe quoi. Ce n'est que lorsqu'arrivent les derniers chapitres qu'on a une explication de ce qui nous avait totalement perdu avant...On devine un peu le pourquoi du comment à un moment donné. En revanche, j'ai bien aimé la toute fin, car finalement, on ne sait pas ce qu'il en est !!! Au cours de l'histoire, on trouve un clin d'oeil (mais est ce fait exprès ?) à une nouvelle de Julio Cortazar intitulée "La continuité des parcs".

    14/09/2017 à 15:08 calimero13 (1074 votes, 7.4/10 de moyenne) 5

  • 7/10 Un roman étrange mais qui m'a perdu. J'ai trouvé cette histoire un peu confuse mais c'est tout de même intéressant. Le sujet évoqué dans ce livre est plutôt original.

    28/04/2017 à 08:49 scarabe (378 votes, 7.7/10 de moyenne) 3

  • 7/10 C'est le genre d'histoire qui me rend accro ! Les deux premiers chapitres m'aspirent et je ne peux plus m'arrêter. Fitzek obnubile l'esprit de son lecteur avec cette histoire de somnambulisme, et cet immeuble ... à vous faire frissonner !
    Ce n'est évidemment pas de la grande littérature, le but réside dans l'efficacité, le suspense et ici le contrat est amplement rempli, un bon thriller.

    16/04/2017 à 16:19 Emil (461 votes, 7.3/10 de moyenne) 6

  • 8/10 Je retrouve le Fitzek qui m'a enthousiasmé il y a quelques années avec Thérapie : entre rêve et réalité, entre éveil et cauchemar, l'auteur allemand nous enferme dans l'immeuble en compagnie de son héros. Immeuble qui devient un personnage à part entière et qui évolue comme le somnambule qui l'habite. D'ailleurs on se pose vite la question de savoir qui habite qui. Avec quelques twists imprévisibles, Le Somnambule vous réserve quelques bonnes surprises...

    23/03/2017 à 16:28 Fredo (1207 votes, 7.9/10 de moyenne) 6