Il se passa alors quelque chose d'inattendu... Elle portait une longue et ample robe de satin noir, décolletée au maximum, d'où émergeaient ses bras et ses épaules... et cette robe glissa brusquement du corps de la fille, s'amoncelant en un tas soyeux autour de ses chevilles.
Et Suzanne m'apparut nue comme un ver, sans slip ni feuille de vigne, sans rien que sa beauté, et toute droite, sculpturale, ses seins menus, gonflés de jeune sève frémissants, toute droite et immobile, magnifique d'impudicité, comme surgissant d'une fleur vénéneuse.
Je lâchai prise, un peu soufflé. Elle en connaissait, des trucs pour vous couper la respiration, cette Marie-Chantal !
livre de la série Les Nouveaux Mystères de Paris, livre de la série Nestor Burma
On en parle sur le forum : Léo Malet
Soumis le 24/01/2015 par LeJugeW