Sanglé dans sa vareuse d'uniforme à la coupe rigide, le lieutenant-colonel de la police populaire Diekener observait, le front plissé, l'ordinateur électrique chargé des ultimes calculs et le bloc central de contrôle, surmonté de ses quatre chronomètres géants.
Diekener, un solide Poméranien de quarante-cinq ans aux cheveux blonds et drus taillés en brosse, était anxieux, comprenait mal pourquoi les services de la Sécurité de Rostock avaient tenu à ce qu'il assistât aux essais...
On en parle sur le forum : Collection "espionnage" de Fleuve noir (1950-1987)
Soumis le 29/06/2019 par LeJugeW