Bienvenue à Carson Mills, petite ville du Midwest américain. Vous y croiserez ses pasteurs, son shérif, sa bibliothécaire, ses femmes de bonnes familles, ses champs de coquelicots… et Jon Petersen. Un homme si mauvais qu'il semble être le Mal incarné. Violent, pervers, machiavélique, il terrorise tout le monde, à commencer par sa femme et son fils.
Avec Que ta volonté soit faite, Maxime Chattam renouvelle totalement son écriture. Exit les thrillers aux descriptions sanglantes, l'auteur propose cette fois-ci un roman particulièrement noir et psychologique, et c'est une vraie réussite. Il nous entraîne dans ce coin reculé des États-Unis avec ses personnages marquants et une intrigue si sombre qu'elle fait froid dans le dos.
Si ce texte peut déconcerter le lectorat habituel de l'auteur, il pourra aussi réconcilier les lecteurs de la Trilogie du Mal qui trouvaient les derniers livres de Maxime Chattam trop violents. Quant au final, il pourra également diviser, mais ne laissera certainement pas indifférent.
Pour son vingtième roman, on ne peut que saluer cette prise de risque de la part de l'auteur, qui a choisi ici de bousculer ses habitudes et ses lecteurs, plutôt que de leur proposer un nouveau thriller dans la lignée de ceux qui ont fait son succès.
Bienvenue à Carson Mills, petite ville du Midwest américain. Vous y croiserez ses pasteurs, son shérif, sa bibliothécaire, ses femmes de bonnes familles, ses champs de coquelicots… et Jon Petersen. Un homme si mauvais qu'il semble être le Mal incarné. Violent, pervers, machiavélique, il terrorise tout le monde, à commencer par sa femme et son fils.
Avec Que ta volonté soit faite, Maxime Chattam renouvelle totalement son écriture. Exit les thrillers aux descriptions sanglantes, l'auteur propose cette fois-ci un roman particulièrement noir et psychologique, et c'est une vraie réussite. Il nous entraîne dans ce coin reculé des États-Unis avec ses personnages marquants et une intrigue si sombre qu'elle fait froid dans le dos.
Si ce texte peut déconcerter le lectorat habituel de l'auteur, il pourra aussi réconcilier les lecteurs de la Trilogie du Mal qui trouvaient les derniers livres de Maxime Chattam trop violents. Quant au final, il pourra également diviser, mais ne laissera certainement pas indifférent.
Pour son vingtième roman, on ne peut que saluer cette prise de risque de la part de l'auteur, qui a choisi ici de bousculer ses habitudes et ses lecteurs, plutôt que de leur proposer un nouveau thriller dans la lignée de ceux qui ont fait son succès.