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7/10 Quatrième et dernière enquête.
Donatella Berzaghi, un mètre quatre-vingt-quinze, quatre-vingt-quinze kilos, 28 ans et une intelligence d’une fillette de huit ou dix ans et souffrant de nymphomania, admirablement belle, qui vivait recluse au 15 viale Tunizia, portes verrouillées, fenêtres cadenassées, a disparu depuis cinq mois. Enlevée. « Livrée » aux proxénètes selon la police.
Duca Lamberti, reçoit le père – Amazio –, ancien chauffeur-routier et employé au sein de le la Société Gontrand.
Lamberti hérite donc de l’affaire.
Une semaine plus tard on en retrouve, le cadavre de Donatella brûlé dans des broussailles, et au bord d’une route. Pas très loin de Lodi.
Aidé par Lucia et Mascaranti, Duca, toubib radié de l’ordre devenu flic à sa sortie de prison, chemine vers la vérité. D’un jeune « rabatteur », d’une prostituée qui tient le coup en picolant.
Roman noir de la face cachée des Milanais.
En-dessous de Vénus Prive et des « Enfants du massacre ».16/11/2024 à 13:27 Max (772 votes, 8.1/10 de moyenne) 2