Mai 1947. Tandis que la fièvre existentialiste s’empare de la rive gauche, un criminel s’en prend à Jean-Paul Sartre avant de choisir ses victimes parmi les piliers du Tabou, cette cave de la rue Dauphine dont Juliette Gréco et Anne-Marie Cazalis ont fait le centre du monde… ou tout au moins de Paris.
Pourquoi ? Comment ? La stupeur envahit Saint-Germain-des-Prés alors que les gros titres sur le « tueur existentialiste » se bousculent en une des journaux. Paul Baulay, jeune reporter à “Paris-Matin”, mène l’enquête avec d’autant plus d’implication qu’il joue dans l’orchestre de Boris Vian et connaît le quartier comme sa poche.
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Soumis le 21/02/2014 par Hoel