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8/10 Je découvre Albert Simonin avec ce premier épisode des aventures de Max le Menteur et un vocabulaire très particulier. L'intrigue nous mène dans une guerre entre 2 bandes de malfrats parisiens provoquée pour des raisons assez floues au départ mais qui seront très bien résumées dans la dernière phrase du livre.
Une très bonne immersion dans le monde de la pègre parisienne de l'époque et son langage.
Je lirai les 2 autres épisodes de la trilogie très prochainement.07/11/2021 à 08:20 Grolandrouge (1574 votes, 6.6/10 de moyenne) 2
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8/10 Max-le-Menteur, truand vieillissant et rêvant de prendre sa retraite, et son pote Riton de Montreuil ont réussi un joli coup. 50 millions en lingots d'or.
Seulement... ce genre de grisbi, le flouze, l'argent, l'oseille, l'avoine, cela éveille les convoitises.
Et pour garder le grisbi et éviter que vous le fauche, il ne faut pas être trop paresseux du calibre, du crucifix-à-ressort.
Touchez pas au grisbi, où les femmes réduites au premier du monde et raciste au gré de certaine pages, (dans les années 50 on ne s'en offusquait guère), eut l'effet du bombe dans le monde littéraire. Prix des Deux Magots.
A lire ou à relire, si on est pas rebuté par l'argot, en se laissant entraîner par Max dans les rues de Paname.06/11/2021 à 18:56 Max (759 votes, 8.1/10 de moyenne) 2