Tout le monde connaît la célèbre histoire du Chien des Baskerville d’Arthur Conan Doyle. Elle a été adaptée au cinéma, à la télévision, a inspiré nombre d’autres récits où plane encore la face angoissante de ce terrible molosse. Il fallait du cran et du panache pour se lancer dans une énième relecture de ce livre monumental. Richard Unglik a opté pour un angle d’attaque original : cet album où les Playmobil servent à illustrer l’histoire. C’est un ouvrage détonnant où l’on s’attarde autant à relire le texte qu’à observer avec attention ces tableaux magnifiquement mis en scène. Les éclairages léchés, le soin apporté aux décors, et même les expressions faciales de ces petits jouets constituent autant de petits enchantements, page après page. Comme l’enfant qu’il n’a jamais cessé d’être, le lecteur replonge aux origines de ses premiers jeux, retrouve son âme malicieuse et parcourt avec un entrain gamin ces feuilles délicieusement travaillées. C’est aussi l’occasion de redécouvrir le texte d’Arthur Conan Doyle puisque Richard Unglik a eu le bon goût d’en conserver l’essence sans le simplifier par pure facilité éditoriale.
Il s’agit donc d’un album mémorable, s’adressant en priorité aux jeunes lecteurs, mais également aux adultes qui se délecteront de cette réinterprétation surprenante et mémorable. Et… en avant les histoires !
Tout le monde connaît la célèbre histoire du Chien des Baskerville d’Arthur Conan Doyle. Elle a été adaptée au cinéma, à la télévision, a inspiré nombre d’autres récits où plane encore la face angoissante de ce terrible molosse. Il fallait du cran et du panache pour se lancer dans une énième relecture de ce livre monumental. Richard Unglik a opté pour un angle d’attaque original : cet album où les Playmobil servent à illustrer l’histoire. C’est un ouvrage détonnant où l’on s’attarde autant à relire le texte qu’à observer avec attention ces tableaux magnifiquement mis en scène. Les éclairages léchés, le soin apporté aux décors, et même les expressions faciales de ces petits jouets constituent autant de petits enchantements, page après page. Comme l’enfant qu’il n’a jamais cessé d’être, le lecteur replonge aux origines de ses premiers jeux, retrouve son âme malicieuse et parcourt avec un entrain gamin ces feuilles délicieusement travaillées. C’est aussi l’occasion de redécouvrir le texte d’Arthur Conan Doyle puisque Richard Unglik a eu le bon goût d’en conserver l’essence sans le simplifier par pure facilité éditoriale.
Il s’agit donc d’un album mémorable, s’adressant en priorité aux jeunes lecteurs, mais également aux adultes qui se délecteront de cette réinterprétation surprenante et mémorable. Et… en avant les histoires !