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7/10 Phileas Fogg ; 40 ans, demeurant au 7 Savile Row, l’ancienne résidence de Sheridan, n’exerçant aucun métier, pur rentier londonien, une fortune s’élevant à quarante mille livres déposées à la Banque d’affaires Baring, est un membre du cercle politique Reform Club, qu’il fréquente chaque jour. Le 12 octobre 1872, il apprend en lisant un article du Moning Chronicle qui est possible de faire le tour du monde en quatre-vingt jours. Une vive s’engage entre les membres présents au terme de laquelle Phileas Fogg parie la moitié de sa fortune qu’il fera le tour du monde en quatre-vingts jours faisant route vers l’est par Paris, l’Inde, Hong Kong, le Japon Il décrit comme un maniaque, est un excentrique, possédant une effrayante régularité. L’auteur le compare aux trains ou vapeurs qui partent à l’heure dite et arrivent à l’heure. C’est l’archétype du gentleman anglais. Lors d’une réunion au club après avoir lu un article dans le
A 20 heures 45 ce même jour, Fogg quitte Londres, traverse la Manche, gagne Paris et continue vers l’est (L’Inde Hong Kong, le Japon) en compagnie de son nouveau domestique, Jean Passepartout ancien chanteur ambulant, écuyer dans un cirque, professeur de gymnastique, pompier de Paris,
Fix, détective anglais qui soupçonne Phileas Fogg d’être le voleur de la Banque d’Angleterre est aux trousses du gentleman qui ne se doute de rien.
Le voyage va être jalonné d’embûches, de contretemps, d’affrontements, de rencontre avec une princesse d’une exceptionnelle beauté sauvée du bûcher, avec un colonel dans un train traversant les Etats-Unis.
Le scénario (malgré quelques impasses, raccourcis, oublis de certains épisodes) respecte la trame de l’intrigue, en moins de 50 planches.05/01/2025 à 17:27 Max (778 votes, 8.1/10 de moyenne) 1