Nul besoin de se retrouver, après un naufrage, sur une île déserte. Il suffit qu'un train de nuit s'arrête, inexplicablement, au beau milieu d'une plaine aussi plate et herbeuse qu'orientale, pour se sentir seuls, abandonnés, oubliés par les siens et le Monde. Alors, il faut s'organiser. Grouper ses maigres forces. Pour tenir. Pour tenter de comprendre. Et, bien sûr, pour espérer.
On en parle sur le forum : Train perdu wagon mort, de Jean-Bernard Pouy
Soumis le 20/11/2006 par Steve-O