Najiba se souvint d’un proverbe afghan qui disait « si le chien lape l’eau d’une rivière, elle n’en devient pas impure ». C’est ainsi qu’ils la voyaient ; une bête capable de pervertir leur environnement par sa seule présence.
Retour à Paris pour l’équipe de Jade qui doit remonter la piste d’assassins de migrantes. Difficile de traquer des tueurs quand on ignore tout des victimes. Des survivantes, plus effrayées par ce qu’elles ont quitté que du danger qui les guette.
Cette fois, l’unité spéciale de la PJ va devoir accepter de plonger dans les égouts de la ville et de l’âme humaine.
Un cloaque dont la puanteur est masquée par le parfum des cigares.
4e livre de la série Commandante Jade Fontaine
Il ne semble pas encore y avoir de sujet sur cet ouvrage sur le forum... Cliquez ici pour en créer un !
Soumis le 22/10/2023 par patoche77