Martha White a été la première victime : cette femme a été agressée chez elle par un cambrioleur qui l’a massacrée avec une hache. Rapidement, La commandant Helen Grace et son équipe en viennent à identifier un suspect, un homme avec qui la victime avait eu une brève liaison et qui la harcelait depuis. Mais le tortionnaire tue une nouvelle fois et l’investigation en cours va connaître bien des rebondissements.
M. J. Arlidge nous fascine encore une fois avec ce onzième tome des enquêtes d’Helen Grace. On retrouve instantanément ce qui marque si significativement le style de cet auteur anglais : des chapitres très courts et dynamiques (il y en a 151 dans cet ouvrage), un tempo trépidant, une alternance entre les divers protagonistes et un rythme si imprenable qu’il est difficile de reposer le livre avant de l’avoir terminé. Ici, Helen est confrontée à un tueur particulièrement brutal, mû par un mobile original que l’on ne découvre que dans les ultimes chapitres. Parallèlement, elle va devoir lutter contre des agressions orchestrées par Alex Blythe, le sinistre personnage psychopathe qui a juré sa perte, tout en essayant de préserver sa place au sein du service de police. C’est également l’occasion de retrouver Emilia Garanita, la journaliste si manipulatrice du Southampton Evening News, qui va ici se présenter sous un jour assez nouveau : elle dispose encore de son pouvoir de nuisance et compte bien s’en servir, mais il se pourrait également que sa malveillance fléchisse tandis qu’elle cède à l’amour. Comme d’habitude chez M. J. Arlidge, l’histoire est donc réussie, énergique et très intéressante, sans le moindre temps mort, et l’épilogue – pluriel – met autant l’accent sur le côté policier qu’émotionnel.
Une nouvelle réussite de la part de M. J. Arlidge, qui maintient la haute qualité littéraire des enquêtes menées par Helen Grace tout en se renouvelant.
Martha White a été la première victime : cette femme a été agressée chez elle par un cambrioleur qui l’a massacrée avec une hache. Rapidement, La commandant Helen Grace et son équipe en viennent à identifier un suspect, un homme avec qui la victime avait eu une brève liaison et qui la harcelait depuis. Mais le tortionnaire tue une nouvelle fois et l’investigation en cours va connaître bien des rebondissements.
M. J. Arlidge nous fascine encore une fois avec ce onzième tome des enquêtes d’Helen Grace. On retrouve instantanément ce qui marque si significativement le style de cet auteur anglais : des chapitres très courts et dynamiques (il y en a 151 dans cet ouvrage), un tempo trépidant, une alternance entre les divers protagonistes et un rythme si imprenable qu’il est difficile de reposer le livre avant de l’avoir terminé. Ici, Helen est confrontée à un tueur particulièrement brutal, mû par un mobile original que l’on ne découvre que dans les ultimes chapitres. Parallèlement, elle va devoir lutter contre des agressions orchestrées par Alex Blythe, le sinistre personnage psychopathe qui a juré sa perte, tout en essayant de préserver sa place au sein du service de police. C’est également l’occasion de retrouver Emilia Garanita, la journaliste si manipulatrice du Southampton Evening News, qui va ici se présenter sous un jour assez nouveau : elle dispose encore de son pouvoir de nuisance et compte bien s’en servir, mais il se pourrait également que sa malveillance fléchisse tandis qu’elle cède à l’amour. Comme d’habitude chez M. J. Arlidge, l’histoire est donc réussie, énergique et très intéressante, sans le moindre temps mort, et l’épilogue – pluriel – met autant l’accent sur le côté policier qu’émotionnel.
Une nouvelle réussite de la part de M. J. Arlidge, qui maintient la haute qualité littéraire des enquêtes menées par Helen Grace tout en se renouvelant.