Mark Mellery, directeur d'un institut spécialisé dans le « renouveau spirituel », vient de recevoir une lettre étrange. Son mystérieux correspondant l'invite dans son courrier à penser à un nombre compris entre un et mille, le premier qui lui passe par la tête. Intrigué, Mellery se fixe sur 658, sans que ce nombre ait de signification particulière pour lui. En ouvrant la petite enveloppe jointe à la lettre, il découvre abasourdi un morceau de papier indiquant précisément le nombre 658. Pour résoudre cette énigme et parce qu'il se sent menacé, Mellery fait appel à un ancien camarade de fac, David Gurney, un détective réputé, depuis peu à la retraite. Mais à peine Gurney a-t-il accepté d'enquêter que Mellery est retrouvé assassiné...
Intrigant, le début de ce polar l'est assurément ! Dès les premiers chapitres, les énigmes se multiplient sans que l'on parvienne à trouver la moindre explication rationnelle aux faits étranges qui entourent cette affaire. Les questions s'accumulent, dans une ambiance délicieusement mystérieuse que n'aurait pas reniée Gaston Leroux : comment le meurtrier a-t-il pu prédire le choix du nombre 658 ? Et d'ailleurs, pourquoi en avait-il après Mark ? Comment expliquer toutes les incongruités relevées sur la scène de crime ? Le détective David Gurney — un personnage principal convaincant — devra faire appel à tout son flair et sa logique pour deviner les motivations et les tours de passe-passe du meurtrier.
Si la première partie du roman possède donc tout le charme du roman à énigmes, la seconde moitié verse malheureusement dans le thriller plus traditionnel. Pire encore, l'auteur accumule alors de nombreux clichés, en ce qui concerne la psychologie du personnage du meurtrier notamment. On ne peut donc que regretter que John Verdon, dont c'est ici le premier polar, ne se soit pas contenté du côté purement « énigme » du récit, pour lequel il est visiblement très doué et ingénieux.
Mark Mellery, directeur d'un institut spécialisé dans le « renouveau spirituel », vient de recevoir une lettre étrange. Son mystérieux correspondant l'invite dans son courrier à penser à un nombre compris entre un et mille, le premier qui lui passe par la tête. Intrigué, Mellery se fixe sur 658, sans que ce nombre ait de signification particulière pour lui. En ouvrant la petite enveloppe jointe à la lettre, il découvre abasourdi un morceau de papier indiquant précisément le nombre 658. Pour résoudre cette énigme et parce qu'il se sent menacé, Mellery fait appel à un ancien camarade de fac, David Gurney, un détective réputé, depuis peu à la retraite. Mais à peine Gurney a-t-il accepté d'enquêter que Mellery est retrouvé assassiné...
Intrigant, le début de ce polar l'est assurément ! Dès les premiers chapitres, les énigmes se multiplient sans que l'on parvienne à trouver la moindre explication rationnelle aux faits étranges qui entourent cette affaire. Les questions s'accumulent, dans une ambiance délicieusement mystérieuse que n'aurait pas reniée Gaston Leroux : comment le meurtrier a-t-il pu prédire le choix du nombre 658 ? Et d'ailleurs, pourquoi en avait-il après Mark ? Comment expliquer toutes les incongruités relevées sur la scène de crime ? Le détective David Gurney — un personnage principal convaincant — devra faire appel à tout son flair et sa logique pour deviner les motivations et les tours de passe-passe du meurtrier.
Si la première partie du roman possède donc tout le charme du roman à énigmes, la seconde moitié verse malheureusement dans le thriller plus traditionnel. Pire encore, l'auteur accumule alors de nombreux clichés, en ce qui concerne la psychologie du personnage du meurtrier notamment. On ne peut donc que regretter que John Verdon, dont c'est ici le premier polar, ne se soit pas contenté du côté purement « énigme » du récit, pour lequel il est visiblement très doué et ingénieux.