Solidao

« J'ai entendu dire qu'il y a des endroits où les balles qui tuent les vagabonds sont facturées à leur famille, en échange du corps. Ce doit être pour ça que les policiers préfèrent les matraques. C'est moins cher, au cas où ils tomberaient sur un type des rues, quelqu'un de vraiment seul. Tout le monde n'a pas les moyens de se payer une balle. »

L'histoire d'un petit dur collectionneur de capsules de Guanara et fan de Ronaldo, au pays du Pain de sucre, du dieu Football et du Christ du Corcovado.

Roman noir

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Soumis le 03/01/2011 par Hoel

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