L'Espoir fait vivre

(Nothing to lose)

Reacher a 46 ans, 13 années de service à la police militaire, il en est sorti 10 ans plus tôt avec le grade de major.
Depuis, il mène une vie de nomade, aux quatre coins des Etats-Unis, et ne loue ses chambres que pour une nuit, soucieux de préserver à tout moment « la liberté absolue de partir ».
La seule chose qui puisse le retenir, c’est qu’on lui demande précisément de quitter les lieux…

Dans ce petit bourg nommé Despair (littéralement : « désespoir »), au fin fond du Colorado, les habitants sont peu amènes : sitôt entré dans un café on lui demande de partir sous prétexte que « les étrangers sont interdits ».
Intrigué, Reacher rebrousse chemin jusqu’au bourg voisin de
Hope (« espoir »), où il sympathise avec une policière locale et s’intéresse à l’énorme usine de retraitement des métaux (déchets radioactifs) qui assure la quasi-totalité des emplois de Despair.
L’usine est gérée par Thurman, véritable autocrate local.
Au cours d’une exploration nocturne du désert avoisinant, Jack découvre le cadavre d’un jeune homme apparemment mort de soif.
Lorsqu’il revient sur les lieux, le corps a disparu…

Espionnage

12e livre de la série Jack Reacher

On en parle sur le forum : L'Espoir fait vivre, le nouveau Lee Child

Soumis le 09/09/2010 par El Marco

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