« Il te reste une heure à vivre » : c’est ce que Justin Lanning s’entend dire au téléphone par un inconnu, et cette terrible menace s’accomplit. La commandant Helen Grace comprend vite que la victime n’est pas n’importe qui : il y a huit ans, elle et quatre de ses amis se sont retrouvés séquestrés par Daniel King, un psychopathe qui a tué l’un d’entre eux avant de disparaître. Le monstre serait-il de retour pour terminer son œuvre de destruction ?
Ce neuvième volet de la série consacrée à Helen Grace régalera certainement ses fans. On y retrouve avec un plaisir intact la plume et le style si caractéristiques de M. J. Arlidge : une écriture simple et efficace, des chapitres particulièrement courts – n’excédant que rarement les trois ou quatre pages, une histoire immédiatement addictive et une intrigue percutante. Ici, on est rapidement passionné par le sort de ces quatre rescapés qui, près d’une décennie plus tard, vont à nouveau tâcher de survivre à de sinistres ultimatums lâchés par un individu perspicace et très déterminé. Helen Grace s’illustre une fois de plus par sa finesse d’esprit, sa clairvoyance et sa pugnacité, tandis qu’on la trouve en couple avec le capitaine Joseph Hudson, Charlie enceinte jusqu’aux yeux et la journaliste retorse Emilia Garanita trouvant encore le moyen de faire des siennes. L’ouvrage réserve de bons moments de tension ainsi que des rebondissements habilement amenés. Résultat : les quelque cinq-cent-cinquante pages sont avalées plus qu’elles ne sont lues, à un rythme endiablé, sans jamais que le récit ne souffre du moindre temps mort.
Une mécanique implacable servant une histoire certes classique mais adroite et prenante : c’est presque la signature de M. J. Arlidge, un auteur décidément exceptionnel et au talent de conteur remarquable. Probablement l’une des meilleures séries policières actuelles !
« Il te reste une heure à vivre » : c’est ce que Justin Lanning s’entend dire au téléphone par un inconnu, et cette terrible menace s’accomplit. La commandant Helen Grace comprend vite que la victime n’est pas n’importe qui : il y a huit ans, elle et quatre de ses amis se sont retrouvés séquestrés par Daniel King, un psychopathe qui a tué l’un d’entre eux avant de disparaître. Le monstre serait-il de retour pour terminer son œuvre de destruction ?
Ce neuvième volet de la série consacrée à Helen Grace régalera certainement ses fans. On y retrouve avec un plaisir intact la plume et le style si caractéristiques de M. J. Arlidge : une écriture simple et efficace, des chapitres particulièrement courts – n’excédant que rarement les trois ou quatre pages, une histoire immédiatement addictive et une intrigue percutante. Ici, on est rapidement passionné par le sort de ces quatre rescapés qui, près d’une décennie plus tard, vont à nouveau tâcher de survivre à de sinistres ultimatums lâchés par un individu perspicace et très déterminé. Helen Grace s’illustre une fois de plus par sa finesse d’esprit, sa clairvoyance et sa pugnacité, tandis qu’on la trouve en couple avec le capitaine Joseph Hudson, Charlie enceinte jusqu’aux yeux et la journaliste retorse Emilia Garanita trouvant encore le moyen de faire des siennes. L’ouvrage réserve de bons moments de tension ainsi que des rebondissements habilement amenés. Résultat : les quelque cinq-cent-cinquante pages sont avalées plus qu’elles ne sont lues, à un rythme endiablé, sans jamais que le récit ne souffre du moindre temps mort.
Une mécanique implacable servant une histoire certes classique mais adroite et prenante : c’est presque la signature de M. J. Arlidge, un auteur décidément exceptionnel et au talent de conteur remarquable. Probablement l’une des meilleures séries policières actuelles !