En août 2000, Douglas Preston s’installe non loin de Florence dans l’intention d’écrire un roman policier. Afin de tout savoir des méthodes et des techniques d’enquête de la police italienne, il rencontre Mario Spezi, journaliste florentin de La Nazione, spécialiste des affaires criminelles. Celui-ci lui raconte l’histoire du Jack l’éventreur florentin, l’une des affaires criminelles les plus extraordinaires de tous les temps. Et toujours pas élucidée...
Entre 1974 et 1985, sept couples ont été assassinés alors qu’ils faisaient l’amour dans leur voiture au milieu des collines entourant la ville. Quatorze crimes, un nombre incalculable de suspects, des dénonciations, des folles rumeurs, des fausses accusations, plusieurs procès – les ratages monumentaux de la justice sont ici mis en exergue –, mais le coupable court toujours... Les deux hommes décident alors de reprendre l’enquête et de démasquer le Monstre. Une enquête qui dérange en haut lieu, au point que Preston a été accusé de complicité de meurtre, de détournement de preuves, de faux témoignage et d’entrave à la justice ; on l’a menacé d’arrestation s’il remettait les pieds en Italie. Les choses sont allées plus loin encore pour Spezi, puisqu’on l’a accusé d’être lui-même... le Monstre.
On en parle sur le forum : le Monstre de Florence, de Douglas Preston & Mario Spezi
Soumis le 03/01/2010 par El Marco