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7/10 Une lecture agréable, des personnages bien décrits, ce n'est pas transcendant mais plutôt bien fait. Une histoire de casse bien trouvée, où les voyous amateurs, opportunistes, percutent les malfrats "professionnels".
05/11/2018 à 09:39 Polarbear (873 votes, 7.7/10 de moyenne) 3
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6/10 Peut-être leur vie manquait d'un peu de saveur ou alors ils se prenaient pour de véritables libérateurs. Trois mousquetaires, un riche as de l’informatique, un banquier et un professeur d’arts décident de libérer des chefs d’œuvres qui dorment dans les entrepôts nationaux. Pour l’affaire, le premier, Mac Kenzie va retrouver un ex-camarade de lycée, devenu un grand caïd d’Edimbourg. Son savoir faire va leur permettre d’opérer lors du Doors Open Day – équivalent à la Journée du patrimoine en France – et d’échanger quelques peintures contre des copiés réalisées par un étudiant débauché pour l’occasion, ainsi il sera difficile de faire la lumière sur ce braquage. Malheureusement, le parfait forfait n’existe pas…
Ian Rankin explique qu’il a fait son « Ocean’s Eleven ». Le Heist Movie est un genre centré sur un hold up ou un vol avec un ton humoristique, on pourra citer également « The Italian Job » ou « Touchez pas au grisbi ». L’écrivain a écrit une « heist story », "heist" signifie vol, hold up. Je dois avouer que je n’ai pas vraiment percuté et que je me suis un peu ennuyé, peut-être peu habitué à lire ce genre de livres. Je préfère une intrigue plus serrée. Par ailleurs, les personnages n’avaient pas la dimension des Rebus et Cafferty des précédents Rankin.
Doors Open est paru en 2008 en Grande-Bretagne et n'est pas encore traduit en français.07/01/2011 à 14:50 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne) 1