La Colline aux Suicidés

(Suicide Hill)

6 votes

  • 8/10 Au moment d’achever la trilogie, pour ma part, je ne peux m’éviter d’avoir une grosse pointe de tristesse en moi, m’étant attaché à ce personnage de Lloyd Hopkins, un individu complexe, plein de vice, empli de noirceur, toujours borderline, adepte de la méthode forte, à l’image d’un Vic Mackey dans la série tv ‘’The Shield’’, une personnalité cependant rendue attachante par Ellroy dans ce bourbier qu’est le Los Angeles qu’il décrit.
    A consommer sans modération, au moins pour découvrir les prémices du talent d’Ellroy puisque cette trilogie est son premier fait d’arme avant son quatuor consacré à Los Angeles (Le Dahlia Noir/Le Grand Nulle Part/L.A.Confidential/White Jazz).

    18/04/2016 à 14:05 VicMackey (52 votes, 7.5/10 de moyenne) 3

  • 8/10 3e et dernier roman de la trilogie, dans la lignée des précédents.
    Un style s'est affirmé.
    Cette trilogie est un régal de littérature noire...

    16/11/2010 à 21:19 mkl (178 votes, 7/10 de moyenne)

  • 8/10 toujours aussi noir. la fin de cette trilogie en annonce d'autre

    15/01/2010 à 15:44 eagle4 (793 votes, 7.3/10 de moyenne) 1

  • 9/10

    04/11/2007 à 21:44 balooo (169 votes, 7.7/10 de moyenne)

  • 8/10 J'ai du mal à faire un commentaire sur ce dernier opus de la trilogie Lloyds Hopkins.
    Si ce n'est que le style Ellroy que l'on retrouve par la suite dans le quatuor de Los Angeles, s'y affirme.

    08/07/2006 à 10:38 tduvi (405 votes, 7.5/10 de moyenne)

  • 8/10 Un classique dans la bibliographie d'Ellroy !

    24/05/2006 à 15:59 Fredo (1150 votes, 7.9/10 de moyenne) 2