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7/10 Une histoire agréable dans laquelle nous suivons un trio bien sympathique dont chaque membre à des motivations bien différentes des deux autres. De l'humour et de l'action sont au programme de cette aventure à travers le Maroc. Un style toujours aussi plaisant qui donne le sourire.
18/03/2021 à 11:43 Grolandrouge (1580 votes, 6.6/10 de moyenne) 1
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6/10 Un road movie que cet aller simple, en fait, une vrai comédie très folle et très rythmée. La portée du roman se fait à deux niveaux, les tribulations d'Octavio qui se découvre un nouvel homme après la mort de sa femme n'ont aucun sens sans l'humanité qui lui apparait, éclatante de possibilités, dans un ersatz de polar diablement enlevé.
Le tango constitue la bande son de ce livre, mais il m'a manqué quelques clés pour être adepte de ce voyage parfaitement barré.05/07/2019 à 11:55 clemence (339 votes, 7.7/10 de moyenne) 3
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8/10 Dorita n'est plus... Sonnez hautbois, résonnez musettes ! La détestable emmerdeuse qu'elle était a gagné les Enfers pour le plus grand plaisir de son mari, Octavio Rincón.
Vingt-deux ans que ce fonctionnaire espagnol se cogne cette mégère aux allures de Méduse castratrice.
Vingt-deux ans à supporter ces brimades et à souffrir sa présence déplaisante. Mais la vie fait parfois des cadeaux aussi inattendus et salvateurs qu'un chèque de remboursement des impôts suite à un trop-perçu. Partis en vacances au Maroc, le couple qui file le parfait désamour se voit dissolu par la mort brutale de Madame en pleine sieste (merci Morphée !). Octavio est libéré du rodéo infernal mené par sa grosse vache d'épouse. « Libéré », c'est vite dit ! le cadavre de l'horrible harpie est toujours là et il va falloir trouver une solution. Lui qui ne parle ni français ni arabe va devoir justifier l'état de sa moitié. Tandis qu'il active ses méninges pour trouver comment se débarrasser de ce lourd fardeau (au sens propre comme au figuré), Octavio voit s'opérer quelques changements en lui. Pareil au sphinx, cet esclave affranchi du joug du mariage renaît de ses cendres (enfin surtout de celles de Dorita !). Il devient combatif, gagne en assurance et voit ses attributs masculins, depuis plus de vingt ans au régime sec, affamés de chair tendre. Notre veuf , loin d'être éploré et plus fringant que jamais, se montre disposé à honorer toutes les gazelles du Maroc.
Dans un pays qui lui est totalement inconnu, les caprices du destin vont mettre sur sa route des situations et des personnages tous plus ubuesques les uns que les autres. A commencer par Soldati, escroc argentin et inventeur d'idées supposées géniales comme la vente de glaces aux touaregs. Octavio, entraîné par le filou sud-américain, ne tardera pas à se retrouver sur des pistes savonneuses voire casse-gueule. Faute de mieux, il ne peut que se fier à cet amateur de foot et de femmes. Croiseront entre autres aussi le chemin de ce duo hispanophone : un bolivien membre de la pègre, un vieil hippie désabusé prénommé Charly, un réalisateur de film qui tourne sans pellicule ou encore un chanteur de tango dont le seul but est d'envoyer Julio Iglesias dans un monde meilleur. du moins, s'il n'est pas « meilleur », dans un monde où l'hidalgo geignard sera réduit définitivement au silence.
Aller Simple porte en lui la démesure de la littérature hispano-américaine. On se laisse très vite embarquer dans cette épopée loufoque aux dialogues savoureux et aux personnages attachants. L'auteur, Carlos Salem, use et abuse de la dérision, du retournement de situation et d'un vent de folie aussi ardent qu'un sirocco. A tout cela déjà fort appréciable, il n'oublie pas d'y adjoindre ce supplément d'âme propre à certaines oeuvres d'auteurs sud-américains. Cette petite flamme qui, sans prévenir et au milieu d'une scène saugrenue, va vous atteindre et vous brûler un peu. Ainsi, si le comique est présent tout au long de cet attrayant roman, les sentiments ne sont jamais loin. Octavio qui goûte à cette liberté si longtemps désirée fait aussi l'expérience de l'amitié et de l'amour et découvre la vie avec un regard neuf.
Salem signe ici une oeuvre comme il en existe peu, capable de vous faire sourire et frissonner d'une page à l'autre.20/01/2016 à 08:00 BillieWild (24 votes, 8.2/10 de moyenne) 2
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8/10 Polar totalement déjanté et improbables mais très bien écrit. j'ai réellement pris beaucoup de plaisir à lire ce livre rafraichissant.
03/03/2012 à 13:27 rossonere (309 votes, 7.2/10 de moyenne)
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7/10 Plutôt sympa. Cavalcade picaresque à travers l'Atlas marocain. De moins en moins crédible au fur et à mesure de la narration, mais peu importe !
21/08/2010 à 10:13 Deepo (73 votes, 7/10 de moyenne) 1
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8/10 Aller simple est une très bonne découverte, avec son univers déjanté et décalé. Cela fait du bien de lire un polar différent et extrèmement bien construit, qui va au-delà de la simple blague. Je vous le conseille fortement. Un excellent polar qui n'est pas passé loin du coup de coeur.
31/01/2010 à 12:07 pif2501 (58 votes, 7.2/10 de moyenne) 1
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7/10 Un bon moment passé en compagnie de 3 loufoques, complètement déjantés et désinhibés. Le début est savoureux, même si j'avoue m'être un peu lassé à force de ces péripéties totalement improbables, il en reste un roman attachant, très dynamique, amusant et original. Terry Gilliam ou Kusturica en feraient une très bonne adaptation au cinéma, si ça peut donner une idée...
25/01/2010 à 14:31 Xave (233 votes, 6.9/10 de moyenne) 1
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10/10 Un roman fou qui casse les codes du roman noir avec trois personnages haut en couleur et déjantés dans un road moovie entre le Maroc, l'Espagne, le tango et l'Argentine. Sans oublier une portée lyrique et philosophique sur le temps, le tout dans un humour mâtiné d'une grande malice et d'un cynisme scalpants.
21/08/2009 à 13:10 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne) 1