Et tenez, la femme tressaille des pieds à la tête ; la statue respire enfin ! La pâleur de ce visage de marbre, le gonflement de cette poitrine de marbre, jusqu’à la blancheur de ces pieds de marbre, on les voit s’animer tout à coup sous le flot d’une rougeur involontaire.
Un léger frisson parcourt son corps délicat, semblable aux beaux lis argentés qu’agite, au milieu de l’herbe, la douce brise du climat napolitain.
[…]
« Tu as vaincu, murmure-t-elle […], — tu as vaincu ! Une heure après le lever du soleil, je serai au rendez-vous. Soit ! »
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Soumis le 17/06/2020 par LeJugeW