Par un beau jour de printemps à Venise, le commissaire Brunetti et son adjoint Vianello font libérer Ribetti, un ami de Vianello qui s’est fait bêtement coffrer lors d’une manifestation écologiste contre la pollution des eaux de la lagune.
À sa sortie de prison, Ribetti est violemment pris à partie par son beau-père, propriétaire d’une des verreries de l’île de Murano. Hors de lui, le vieil homme profère des menaces de mort à l’encontre de son gendre.
Pourtant, le cadavre qu’on retrouve quelques jours plus tard est celui du gardien de l’usine. L’homme avait auprès de lui une copie de L’Enfer de Dante… Il collectionnait les petits carnets sur lesquels il inscrivait des notes codées… Et il était obsédé par la pollution des eaux de la lagune qui, selon lui, avait causé le handicap mental de sa petite fille. Sa croisade l’aurait-elle amené à découvrir des secrets qu’aucun des grands verriers de Murano ne souhaitait voir exposés ?
Si un homme est mort pour avoir dit la vérité, ne déploiera-t-on pas les mêmes forces pour faire taire Brunetti ?
15e livre de la série Commissaire Brunetti
On en parle sur le forum : Les romans de Donna Leon
Soumis le 22/03/2009 par El Marco