Le plaisir procuré par La Forêt des Ombres commence avant la première ligne écrite par Franck Thilliez. Là, sur la couverture, le décor du nouveau Thilliez est planté : au milieu d'une clairière recouverte par la neige, un chalet, traversé par un arbre centenaire. Tout autour, des arbres à perte de vue.
C'est là, dans ce décor mystérieux, à la fois fascinant et oppressant, que va se jouer l'intrigue du 4ème roman de Franck Thilliez. Dès les premières pages, les personnages prennent vie.
David Miller, thanatopracteur et auteur de polars, reçoit une étrange proposition de la part d'Arthur Doffre, un vieil homme riche et paraplégique : Doffre veut que Miller lui écrive une histoire. L'histoire bien particulière du Bourreau 125, un sérial killer mort depuis 27 ans. Pour le mettre dans les meilleures conditions possible, Doffre propose à David de passer un mois dans un chalet perdu au milieu de la Forêt Noire. La famille de David (sa femme et leur jeune fille) sont bien sûr les bienvenus...
Au bout de 60 pages, le lecteur se retrouve donc enfermé avec la famille Miller, Arthur Doffre et sa compagne, au milieu des arbres et de la neige. Rapidement, la psychose va s'installer, forçant chaque protagoniste à affronter ses peurs et ses pires cauchemars.
Le huis clos est un exercice périlleux pour les auteurs de polars. Franck Thilliez s'en sort haut la main. L'intrigue est passionnante, les personnages et leurs réactions sont toujours crédibles (comme toujours chez Franck), et l'ambiance est parfaitement rendue. Le mélange action-psychologie est bien dosé.
Bref, vous l'aurez compris, c'est encore une fois un grand thriller que nous sert Thilliez. Un livre qui laisse plâner certains mystères une fois la dernière page tournée, et qui évoque à la fois les ambiances de Shining (le film de Kubrick) et de Shutter Island (le roman de Lehane).
Le plaisir procuré par La Forêt des Ombres commence avant la première ligne écrite par Franck Thilliez. Là, sur la couverture, le décor du nouveau Thilliez est planté : au milieu d'une clairière recouverte par la neige, un chalet, traversé par un arbre centenaire. Tout autour, des arbres à perte de vue.
C'est là, dans ce décor mystérieux, à la fois fascinant et oppressant, que va se jouer l'intrigue du 4ème roman de Franck Thilliez. Dès les premières pages, les personnages prennent vie.
David Miller, thanatopracteur et auteur de polars, reçoit une étrange proposition de la part d'Arthur Doffre, un vieil homme riche et paraplégique : Doffre veut que Miller lui écrive une histoire. L'histoire bien particulière du Bourreau 125, un sérial killer mort depuis 27 ans. Pour le mettre dans les meilleures conditions possible, Doffre propose à David de passer un mois dans un chalet perdu au milieu de la Forêt Noire. La famille de David (sa femme et leur jeune fille) sont bien sûr les bienvenus...
Au bout de 60 pages, le lecteur se retrouve donc enfermé avec la famille Miller, Arthur Doffre et sa compagne, au milieu des arbres et de la neige. Rapidement, la psychose va s'installer, forçant chaque protagoniste à affronter ses peurs et ses pires cauchemars.
Le huis clos est un exercice périlleux pour les auteurs de polars. Franck Thilliez s'en sort haut la main. L'intrigue est passionnante, les personnages et leurs réactions sont toujours crédibles (comme toujours chez Franck), et l'ambiance est parfaitement rendue. Le mélange action-psychologie est bien dosé.
Bref, vous l'aurez compris, c'est encore une fois un grand thriller que nous sert Thilliez. Un livre qui laisse plâner certains mystères une fois la dernière page tournée, et qui évoque à la fois les ambiances de Shining (le film de Kubrick) et de Shutter Island (le roman de Lehane).
Vivement le prochain !