Danny Cartwright invite Beth au restaurant pour lui demander sa main. La soirée promettait d’être belle. Seulement voilà, ils se trouvaient tous deux au mauvais endroit au mauvais moment et Danny est accusé du meurtre de son meilleur ami. Simple garagiste dans l’East End, qui pourrait croire à sa version des faits alors que les quatre témoins de l’accusation sont un brillant avocat, un acteur à succès, un aristocrate et un talentueux agent immobilier.
Danny va devoir se battre pour prouver que l’on n’est pas nécessairement condamné toute sa vie à rester prisonnier de sa naissance.
L’idée de départ est fort simple et la suite est à l’avenant. On ne pourra pas accuser Jeffrey Archer de perdre son lecteur dans une intrigue des plus complexes.
Cependant, l’auteur parvient à amener ce dernier à suivre avec intérêt le parcours de Danny, par de bonnes descriptions psychologiques des personnages et une grande connaissance des milieux judiciaires. Bien que quelques rebondissements soient de très bonne facture, ceux-ci se font souvent désirer et n’apportent pas nécessairement le suspense escompté.
Au final, malgré un rythme assez lent et un manque de réelles surprises, Seul contre tous demeure un assez bon polar, simple et efficace.
Danny Cartwright invite Beth au restaurant pour lui demander sa main. La soirée promettait d’être belle. Seulement voilà, ils se trouvaient tous deux au mauvais endroit au mauvais moment et Danny est accusé du meurtre de son meilleur ami. Simple garagiste dans l’East End, qui pourrait croire à sa version des faits alors que les quatre témoins de l’accusation sont un brillant avocat, un acteur à succès, un aristocrate et un talentueux agent immobilier.
Danny va devoir se battre pour prouver que l’on n’est pas nécessairement condamné toute sa vie à rester prisonnier de sa naissance.
L’idée de départ est fort simple et la suite est à l’avenant. On ne pourra pas accuser Jeffrey Archer de perdre son lecteur dans une intrigue des plus complexes.
Cependant, l’auteur parvient à amener ce dernier à suivre avec intérêt le parcours de Danny, par de bonnes descriptions psychologiques des personnages et une grande connaissance des milieux judiciaires. Bien que quelques rebondissements soient de très bonne facture, ceux-ci se font souvent désirer et n’apportent pas nécessairement le suspense escompté.
Au final, malgré un rythme assez lent et un manque de réelles surprises, Seul contre tous demeure un assez bon polar, simple et efficace.